sans cesse

popwar

mardi 30 décembre 2008

Lazy Vomis / Under-NET


Premier album de Lazy Vomis.
Total indépendant; 6 de ses plus récentes créations dans un petit mix durant une 20aine de minutes pour vous messieurs, dames!

http://thepiratebay.org/torrent/4612764

Je sais pas si le download va bien marcher. J,ai de la misère a me connecter pour seeder depuis un petit bout.
Anyways! I hope so!
Enjoi.

lundi 29 décembre 2008

! Ça y'est !


Discutez!

dimanche 28 décembre 2008

Rofelmao

Pour ceux qui pourrait penser que sa me derange détromper vous mais :

je cite les plus actif, ou ceux qui en vallent la peine.

simz, phelley, oJo, dumb, bell, éra, josh, jab, MBT, plsh, max & tous ceux qui rep les chandails (merci).


Plsh vaut plus la peine que Dav sa l'air !




samedi 27 décembre 2008

jour 2 (dans cuba)


retour de la plage à la pluie

le réveil est dur. 10 heure. j'me lève et j'prend une grosse et longue douche. chez moi, j'aurai limité, ici, je gaspille presque malgré moi. j'ai participé au buffet seul. tous les autres étant déjà levé ou à la plage.

la nourriture est plutôt médiocre (en fait pas a mon goût, mais pour vrai le fromage est louche) au buffet, même le matin. tout ce qui est faire avec de la farine (muffins, pain, crêpes) est sec et pour accompagné, on a droit à toute une série de marmelades à la même couleur mais aux fruits différents.

au loin, y'as un autre bus de larves, ou de poissons qui s'en viens. j'vous dis, ça roule ici! tous les sourires sont les même, ceux des nouveaux venus; heureux, et ceux des cubains; trop souvent forcés.

hola.

j'suis gêné quand je quitte le buffet l'assiette à moitié pleine, le bedon beaucoup trop vide.j'suis probablement un des seul car tout le monde se promène toujours drink à la main.

on a fait une sirène dans le sable et quelques personnes se sont arrêtées pour nous regarder travailler. à ma grande surprise, beaucoup des gens ici sont québécois. cuba et québec, qu'avons nous?

on remarque visiblement les traces des récents ouragans. à la plage, on a essayé de patcher tous les arbres morts par une rangée de palmiers déjà mature. ça l'air de bien marché puisque personne ne s'en soucie. les arbres restant (d'après le sinistre) ont à peine de feuilles (ou de palmes?), les autres, déracinés, sont placé de façon extravagante en guise d'arbres exotiques (?). ça dérange pas grand monde tout ça de toute façon. vous avez déjà vu des plages avec un tapis de cailloux sur 30 pieds? c'est pas les vague qui amène des roches gros comme des ghettoblasters. de toute façon, les gens s'imaginent du sable et du soleil et ils en ont, le reste, on s'en fou. pourtant, ils séjournent ici pour un prix dérisoire, léchage de cul malgré leur impolitesse. bande d'ingrats.

1 peso sur la table, j'oublie tout.

c'est notre délivrance, fini la culpabilité. esclaves? voici ton dut. et encore là, c'est pour ceux qui en ont la conscience.

mon moi-même se plaît malgré tout. la solitude me fait réfléchir à quelque truc (autre que l'état de Cuba , aussi ). j'cherche les gens plus que je passe de temps avec eux. s't'un peu comme les foufs, mais sans musique, moins cher, alcool à volonté. dans l,fond s'pas tant comme les foufs.

j'ai l'temps d'écrire, ça, j'apprécie. j'ai souvent l'temps, mais j'le prend pas en fait. faut j'me rappelle de ça. j'essaie l'aquarelle a l'avenir.

gab, j'm'ennui.

gracias.

vendredi 26 décembre 2008

jour 1 (dans cuba)


pas tant de sommeil

les gens parlent de voyages comme de produits de consommation. dans l'avion, ils ne sont que des larves près à avoir leur petite semaine de confort. et dans le bus ils en parlent encore et moi, je vois les taudis à l'extérieur. entre ça et blau-costa-j'sais pas quoi, j'hésite. les gens ont l'air d'avoir la vie simple ici, ils travaillent pour eux (on s'entend...) ou font leur trucs. ils ont un pays a bâtir.

le paysage ici est fabuleux et j'envie les gens a vélo. vidéo-caméra, ou es-tu?

arrivé a l'hôtel. première constatation, dépaysement total. similaire a dropper un club-med dans un bidonville. on nous fait vraiment oublier que le pays ou on se trouve est en reconstruction totale. deuxième, je hais ce feeling de touriste, du tourisme. j'ai l'air d'une d'un filet de sole dans un banc de poisson exotique. tous ces gens s'amusent dans leur nouvel aquarium, oh qu'il s'amusent.

j'ai par contre ce sentiment de légèreté que j'apprécie, rien de spécifique à s'occuper. l'esprit vague dans le nouvel environnement et cherche a le décortiquer sans cesse.

le soleil est agréable, il serait probablement aussi agréable avec les gens du pays. on passe un moment sur leur territoire sans eux.

l'imitation de bouffe américaine est horrible, mais de toute façon le monde se gavent aux drinks, donc y'a pas à s'en faire. l'alcool coûte probablement moins cher que la bouffe ici anyway.

10;12pm, 4-5 de sommeil en 2 jours.

mercredi 24 décembre 2008

dans Cuba (in cuba)

Bonjournos a tous.
Ici le Rabot.

J'ai passer une semaine cher Fidel, et j'ai plein de chose a vous raconter.

Je tappe le tout demain. Pendant une semaine.

Plein d'amour a tous.

mardi 23 décembre 2008

outrouille

Les gens le regarde, l'allure tremblante, l'élan de rage qui l'habite depuis sa tendre enfance semble être sur le point d'exploser, il bouille, il fume il espère pouvoir se contrôler, car il sait que finalement ce bien lui ferait du mal d'un point de vu à long terme.

 Des pensées sadique semble défiler dans sa tête plus vite que sont sens de la compréhension arrive à les assimiler et ses mains crispées lui font tellement mal, mais de les relâcher serait fatal. Alors, au moment ou un grand homme passe par là, il se détend, relax, prend un grand souffle et dit calmement "non Maxime, ne joue pas avec ta tuque mon amour."


Et les deux continue leur route, l'un espérant être seul la prochaine fois, l'autre espérant pouvoir être aimé de son père un jour.

jeudi 18 décembre 2008

Je t'aimerai si tu n'étais pas si laid.

Si ça intéresse du monde de voir ce projet trop pas fini:

Film concu en décembre 2006, fini monté en déc. 2008, avec le scénar original, la miuze et 2 images steaze pour poster géant...

http://thepiratebay.org/torrent/4586577

dimanche 14 décembre 2008

Long time no see...

Trois hommes dans la soixantaine. Des intellos, à différents niveaux. Ils se retrouvent après 10 ans, sans s'être vu.

Au chalet, la retrouvaille commence bien: ils mettent de la musique classique et boivent un bon vin rouge. Les souvenirs les rattrapent et, avec l'alcool, les frappent.
"A-t-on fait de nos vies ce que l'on avait en tête, alors âgés de 20 ans?" de s'exclamer le plus strict des trois.
"Et après, on s'en fout! Moi j'aime mon présent, et ça me suffit" de répondre le comique.
"C'est mon fils qui me préoccupe... Il est mon avenir, et je ne sais même pas ce qu'il est devenu, depuis que ma femme est partie avec lui, au loin..." dit l'écrivain oublié.

Le strict se plaint de sa femme, trop grosse et trop inculte; il se fait tourner en ridicule par le comique qui lui fait avouer qu'il ne pourrait jamais tromper sa femme "t'es trop stick sur tes principes moraux de catholique"; l'écrivain s'esclaffe d'un rire jaune et critique sévèrement la religion qu'il a en horreur depuis longtemps. Après l'engueulade, le comique invite ses potes à le rejoindre sur le balcon pour fumer un bon joint. "En souvenir du buvard qu'on a pris à Paris, en 68". Le lendemain, le contact est froid. Personne ne s'excuse: ils ne font que réaliser à quel point leur amitié ne tient plus autant qu'avant...

Film qui risque sa chance d'être tourné la session prochaine.
Je n'avais rien d'autre à écrire sinon ce dans quoi je baigne depuis un fichu bout.
Malheureusement, il ne s'agira pas d'une production Deaf Junkie, mais bien J.D.
L'art ne mérite pas d'être sketch comme le Dead Junk l'est.

mardi 9 décembre 2008

À mon avis. C'est toujours a mon avis notre avis sur l'avis des autres. Opinions divergentes et conflits d'idées sont les toiles qui tapissent la vie. Quand même, on fini toujours par tomber dans un trou ou les gens nous font vraiment chier. Moi, Je suis déjà tombé dans un puits avec des gens qui discutaient de Jacques Brel. Bien sur je connais bien Brel, et bien que je n'était vraiment pas confortable parce que mr. Clampons était tombé dans ce même trou juste après moi; donc dire qu'il m'as tombé dessus le vieux radin, j'ai tenu part aux discussions. On était tous pas d'accord, mais moi j'avais un argument de taille; Je n'ai pas de moustaches. Dès que ces mots ont quittés ma bouche je me suis fait dévisagé comme Alfred hitchkock abuse de ses actrices. Ça n'as pas pris une semaine que j'ai sortis mon cellulaire de ma poche pour prévenir mon beau frère que j'était pris avec des rabats-joie. Il est venu me chercher

send.

dimanche 7 décembre 2008

Le jour où j'ai tenu M.K. dans mes mains.

J'étais un attardé. J'étais jeune.
Comment définir mon sentiment à ce moment...
Profondément troublé, et excité. Lecture avec un sentiment de faire quelque chose d'horrible.
Le genre d'item que l'on garde pour soi, bien protégé au fond de son sac d'école.
Le genre d'item qui, une fois acquis, cause le dérèglement permanent de sa psychologie.
L'objet est si noir qu'on ne s'attendrait pas à ce que la couverture soit orange...
Je préférais même le garder fermer, plutôt que de l'ouvrir et perdre une partie de mon âme.
Cela, même si j'étais déjà vendu quelque peu à la philosophie contenue dans l'item.

Le jour où j'ai tenu Mein Kampf dans mes mains, j'ai commencé à paranoïer au point de penser que tous allaient me voir avec ce livre et me jeter aux oubliettes. Tortures inclues dans le forfait.

Après m'être endormi sur le premier chapitre, le soir-même, j'ai décidé de rendre le livre le lendemain au pas de course.

...
J'vous avais dit que j'pouvais pas faire mieux que mes textes précédents.

samedi 6 décembre 2008

MINIMAL PAS LÉGIT


Okay...
Ça y'est!

Première compilation 2008 de Lazy Vomis.

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****************
MINIMAL PAS LÉGIT
Compilation 08
Mix: Lazy Vomis

Une demi année à mixer de la minimal, IDM et autres dérivés de la Glitch dance.
Voici le rapport pas très légal résultant de divers morceaux complètements piratés.

Enjoi.
L Vome.
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Vous pouvez vous procurer l'album sur piratebay en suivant le lien suivant:
http://thepiratebay.org/torrent/4559176
Ou bien sinon éventuellement en me le demandant format CD-R!

J'espère que vous apprécierai et que le tout vous donnera envie de tellement dancer sans arrêt que j'vais nécéssairement être obliger d'aller chez vous pour mixer une nuit entière tout en faisant BEAUCOUP d'extasy ou autre drogue psychédélique du genre.

See ya folks!

jeudi 4 décembre 2008

mercredi 3 décembre 2008

on est tu mort?

ou sans inspiration...

lundi 1 décembre 2008

Dragon - Sunset Rubdown



I'm sorry i late
I went blind
I got confetti in my eyes
I was held up at yesterdays parties
I was needed on the congo line

But my dear, oh my dear
I'd like to fight the good fight for another couple years
Cause to say the war is over is to say you are a widow
You're not a widow yet
You're not a widow yet
You're not a widow yet
You're not a widow yet

So this one's for the "cooks"
And their disappointed mothers
For cheapening down the "arts"
And throwing "?" at each other

There's no such thing as a saint
And there's such things as a sinner
Whoa-oa-oa

There's a swan amongst the pigeons on Barcelona's floor
There's a Samson with Delilahs lining up outside the door
If you are sharpening your scissors I am sharpening my scissors
I am sharpening my sword

So you can take me to the dragon's lair
Or you can take me to Rapunzil's windowsill
Either way it is time
For a bigger kind of kill
Bigger kind of kill

I see your face when I close my eyes
I see the muscles in your legs from the way you always rise
To the occasion of catching things that fall
Like the statue of some "?"
"?"

But I have "navigated" Iceland
Down one side of Portugal
I have seen into the wasteland
Of the future
Of the future
Of the future of us all

"?" country
"?" it is my fault

Dead leaves
Dead leaves
Dead leaves

Seen from the back of a train
I rode away from your station
They drifted in the air
Like memoirs of old conversations
Sprung from a leather case
You opened in the wind
To watch the papers chase each other
Into oblivion

You are the champion
You're such a champion
I hide behind your sun
You are the champion

You're such a champion
You're such a champion
I hide behind your sun
You are the champion

You're such a champion
You're such a champion
I hide behind your sun
You are the champion

So you can take me to dragons lair
Whoa-oa-oa
You can take me to Rapunzil's lair
Whoa-oa-oa
Either way it is time, it is time
For a bigger kind of kill
A bigger kind of kill
A bigger kind of kill
A bigger kind of kill
A bigger kind of kill kill kill kill
A bigger kind of kill
A bigger kind of kill
A bigger kind of kill
A bigger kind of kill
A bigger kind of kill
A bigger kind of kill
A bigger kind of kill
A bigger kind of kill
A bigger kind of kill
A bigger kind of kill
A bigger kind of kill
A bigger kind of kill

samedi 29 novembre 2008

je suis coincé dans la photocopieuse. Les murs sont étroits mais long, et tout le monde lit. Ils lisent tous des romans photocopiés qui ont l'air vraiment interressants, Mais je suis un peu trop nerveux et anxieux pour me pencher et demander un bouquin a la personne qui se tient à ma droite. J'imagine que d'ici quelques minutes je me sentirai plus comfortable, je pourrais me tirer une chaise et peu être me joindre à une table pour découvrir un roman.

-Formidable !

Anyways, tout ca pour dire que Mon EP est maintenant en vente. La pochette est vraiment phoney et fragile, mais pour un 5dollars c'est la musique qui compte !

Dites-le moi si vous en voulez un exemplaire !

Send.

Le Sisteron

J'ai jamais aimé les matins, vivant dans une maison mobile, les planchers craques, les gens sont grognons et aiment pas être dérangés, il faut chuchoter, il faut bien manger, il faut baisser le son de la télé. Le matin, les gens sont marabout, endormis et sans vie, l'odeur du café qui me ronge le nez, pendant que je dois me forcer à me réveiller par moi-même. Depuis deux ans par contre, je suis un travailleur de nuit, je me lève à 3 heure de l'après-midi, vie jusqu'à 8 heure travail de 9 à 5 et m'endort vers 7 heure pour tous recommencer le lendemain (ou plutôt plus tard dans la journée). Bon vous vous dites sûrement que c'est pas si mal, que j'ai un bon train de vie, fini les matins vive l'après-midi. Je dirais oui si les fin de semaines n'était pas si détruisantes, voir les gens partir dans leur sommeil quotidien, dormir sur leur deux oreilles, me regarder, me dire bonne nuit, sourire en coin comme s'ils savaient trop bien dans quel gouffre ils me lançaient. Les gens s'endorme, les ronflements me hantes, la haine augmente pendant que ma compassion diminue. Je le sent grimper en moi, il est bien réel, et plus il prend de la place plus je me sent devenir fort, plus j'angoisse, plus il prend possession de mon corps. C'est le Sisteron, je sais il m'a parlé, il m'a dit son nom. 


Au début j'en avait peur, la première fois que j'ai croisé son regard, dans le miroir de ma salle de bain, une journée ou rien ne semblait aller bien. Il m'a rassuré, naïf comme je suis, je l'ai crue, il m'a conquis à coups de belle paroles qu'il était la pour mon bien, qu'il était mon ami. Ça c'est passé comme ça pendant quelque temps, quelques mois, ou lui et moi on c'est amusés, lui laissant de plus en plus de place dans ma vie, me faisant croire que c'est se que je voulais aussi. Jusqu'au jour ou cette jolie demoiselle a fait irruption dans ma vie. La plus belle fille que mon regard aie croisé, intéressée par moi, elle s'empara de mon coeur comme s'il était à donner. J'avais enfin trouvé la fille que j'avais besoin, et sans vraiment réfléchir, je dis à mon ami que lui et moi c'était fini, qu'il pouvait retourner de là ou il venait, que j'avais finalement une personne sur qui compter, quelqu'un de bien réel, quelqu'un à aimer. Là est l'erreur de ma vie. Dans une marre de larmes qu'il répandit, le Sisteron dit : "d'accord, qu'il en soit ainsi, si tu ne veux plus être mon ami je deviendrai ton ennemi!". Au début je souris, que peut il faire de toute façon, il n'est que le fruit de mon imagination. Cinq jours passèrent, une semaine de travail toute entière sans que j'entende parler de lui, jusqu'à ce que le Samedi matin suivant, première journée ou ma jolie fée eue couchée chez moi, je sente à mon réveil le Sisteron grimper en moi. Je n'arrivais pas à comprendre, jamais avant il n'avait tenté de sortir en présence d'autrui. Je sentis qu'il voulait faire du mal à ma fée, je lui est ordonné de s'en aller, c'est là que la lutte a commencée. de violent coups se sont donnés, tellement violent que mon corps c'est mit à trembler. Ma mère, ne sachant trop quoi penser appela l'ambulance, cela ne fit qu'empirer les choses, le Sisteron devint de plus en plus fâché et je ne pu faire autrement que de le lâcher. Soudainement je me sentis partir, le Sisteron avait gagné, une autre crise d'épilepsie et voilà c'est reparti, ils allaient m'enlever mon permis pour les douze prochain mois à venir. Alité à l'hôpital, en larmes, souhaitant mourir, il vint me chuchoter à l'oreille : "tu sais se que je veux, je sais se que tu veux, sois mon ami, je serai le tien aussi". Plus tôt j'avais comprit qu'il était plus fort que moi et essayer de résister ne ferais qu'empirer une situation déjà trop "piré" si vous me permettez l'expression. 


c'est donc comme ça que je suis devenu ce que je suis présentement, une loque humaine, une tête sans vie, les dernières goûtes de conscience qui me reste utilisées pour écrire cette lettre, avant qu'il vienne me chercher, je suis devenu sont jouet nocturne, il ne devrait pas tarder, 1:30pm, c'est habituellement sontgmnum6kb j ituyrtdgdfgbvx tekuyr u,ktjghfshte43yu7^p;ké zdsaSxz                     h

vendredi 28 novembre 2008

///

La vie existe.
Si j'en ai la preuve?
J'guess que c'est le genre de truc qu'on peu affirmer sans en avoir.

Y fait chaud ici. J'ai vraiment très chaud. Ça doit être a cause de la soupe riz et poulet que je mange en ce moment. C'est vide.

Un grand calme plat... vraiment très calme... et très plat. Y'a deux ans j'ouvrai un livre. Je commencais le collège et j'me suis dit: Je m'achète un livre vierge et j'écrit mes pensées. J'ai écrit sans arrêt presque tout les jours pendant un an. J'écrivais sur tout ce qui me perturbais, sur ce qui me captivait sur le moment ou whatever.

Aujourd'hui... live maintenant a ce moment précis. J'me demande si j'suis apte a écrire. C,est sur que j'peut prendre une feuille et écrire. Mais j'ai pu l'impression que lorsque j'écrit je me parle et je sort des idées/images qui font sens a mon esprit. J'ai plus rien sur quoi écrire.

(Un jour (même plusieurs) j'ai expérimenter un état d'esprit pas très ordinaire. Ça s'apeller la dépersonnalisation. Je l'ai tellement expérimenter souvent que mes perceptions lors de ces états d'esprits étaient devenu pour moi source de réel et par le fait même, source d'inspiration. Le seul problème à provoquer ce genre de folie est que tu te paye graduellement un billet aller simple pour la schizophrénie ou bien toute autres trouble de la personnalité en lien avec la psychose).

Depuis que j'ai cesser de provoquer mon esprit... j'ai lentement perdu la fascination que j'avait devant mon incapacité a exprimer quelque chose par la parole ou l'écrit et par le fait même, perdu ce qui me captivait le plus dans mon écriture... ne pas être en mesure de bien traduire mes émotions vis-à-vis une situation ou une personne, etc.

Mon regard a changer, je suis plus critique, plus apte a créer... mais moin fasciner par mes propres actes.

Simon.
(J'aurais aimer signé Lazy Vomis)

jeudi 27 novembre 2008

La théorie de l'effet Koulechov.

(Parce qu'on me l'a demandé)

L'effet Koulechov c'est...

Une fille couchée dans son lit.
Un regard froid.
"Est-ce que je l'aime encore?"

Un joint entre deux doigts d'un chum.
Un regard froid.
"Putain que j'en aurais d'besoin, live..."

Un dude qui pense qui va révolutionner l'art cinématographique.
Regard froid.
"Crisse, y va tu s'la fermer?"

Un montage de documentaire trop pas fini.
Un regard froid.
"J'sens que si jcoule pas, chu luckeux en esti..."

...

Un texte écrit ya un boute, clean en sacrament.
Un regard froid.
"J'peux pas dépasser ça, j'arrête d'écrire pour de bon."

mercredi 26 novembre 2008

La théorie du fondu au noir.

Le fondu au noir c'est...

Moi, et mon t-shirt DeafJunkie, homemade, tout décrissé.
Moi, et ma vision pessimiste des gens que je côtoie.
Mon café frette qui goutte la merde...
Le téléphone sans fil... qui sonne en haut, dans ma chambre, quand j'suis en bas à l'ordi...
Une connection qui s'interromp de façon brutale. Jump cut.
Moi qui pisse contre un mur de Montréal. Square-Victoria.
Un char de niggas qui fade au loin, à S-F.
L'ordi qui s'éteint.
Une toune de oJo ben orchestrée.

Un enfant qui vire adulte dans un atmosphère d'éternels ados...

mardi 25 novembre 2008

Lykke Li - Breakin'it up

CECI EST UN AVIS PUBLIC.
À trop vouloir garder quelqu'un,
tu finis par l'emprisonner, par l'étouffer.
Y'a des gens comme ça, et par "ça" je veux dire "moi",
qui ont besoin de LIBERTÉ.
liberté; Nom féminin singulier
absence de contrainte
état d'une personne libre, non contrainte
état d'un individu qui n'est pas soumis à la servitude
possibilité de penser, d'agir, de s'exprimer selon ses propres choix
indépendance d'un peuple
état d'un pays gouvernant en pleine souveraineté
libertés : franchises et immunités
Tu vois? Même le mot est FÉMININ et SINGULIER.
Goodbye, i'm gone.

écriture automatique (ça fait du bien des fois)

Kuvaile tilanne tai tapahtuma tekstissä, joka järkytti 
tai ihmetellä sinua. Selitä, miten näkö-ja / tai sanallinen 
ominaisuuksia käytettiin tehdä sinusta tuntuu järkyttynyt tai 
yllättynyt. 

A järkyttävä tapahtuma elokuvaa "Heavenly Creatures" 
Ohjaus: Peter Jackson oli murhan Honora 
Rieper hänen tyttärensä Pauline ja ystäväni Juliet Hulme. 
Jackson käyttää äänen näkökulmasta kameran laukausta ja 
flash eteenpäin, jotta katsoja tuntea järkyttynyt ja 
kauhuissani murhasta. 

Käyttää ääni on ehkä parempi kuvattu kuten 
ilman ääntä. Murha kohtaus on eerily hiljaa. 
Jackson ei halua käyttää liian dramaattinen musikaali 
säestys, tai erityisen kovan äänen vaikutuksia
olisi yleensä odottaa, että ilmasto-kohtaus, joka 
elokuva. Kaikki, että katsoja kuulee on ääni ja 
tiili loisto osaksi Honora n kallo, ja tytöt 
huutaa ja huutaa kuin ne lyödä häntä. Jackson haluaa 
voimme kuulla näyttämölle Pauline ja Julia olisi. 
Kun he olivat murhaa Honora, siellä ei ollut 
orkesteri on taustalla. Jackson tekee tämän tapahtuman 
niin järkyttävää, antamalla meille kuulla sen, koska se olisi ollut 
kuuli. Murha tulee olla noin dramaattinen hetki, joka 
tarina, mutta todellinen tapauksessa, että tapahtui esivuoristo 
ja Christchurch. Se on niin järkyttävä, koska se tulee 
todellinen. 

Murha on osoittanut meille joukon näkökulmasta
kameran kuvaa, että shokki meille käy ilmi murhasta alkaen 
kaikki kolme merkkiä näkökulmista. Näemme läheltä 
laukausta ja veriset kasvot Pauline ja Julia, ja 
Honora makaa päällä, ja sen tiili on 
syrjäinen. Me emme vain kokemusta murhan kautta 
korvat läsnä, mutta Jackson häiriöihin meitä osoittamalla 
meille murhan kautta silmät myös. Kun näkee asiat 
kunkin merkin näkökulmasta, Jackson auttaa meitä 
ymmärrä, mitä merkkejä on 
tunne. Kuinka kauheaa se on ollut Honora on 
katsella hänen tyttärensä, peitetty vereen, flinging tiili 
omasta äitien pään. On järkyttävää meille, että 
tyttöjen voisi jatkaa murhan, kun näemme, 
kautta näkökulmasta laukausta, kuinka kauhea on 
ollut. Emme voi ymmärtää, miten ne voisivat sitoutua 
tällainen kauhea rikos. 

Jackson käyttää yleissopimuksen flash-välittämään edelleen 
shokki meille osoitteeseen raa'asta murhasta Honora. Vuoden 
alussa elokuva näemme, Juliet ja Pauline 
käynnissä mäkeä ylös, peitetty vereen. Pauline itkee 
"Se on äiti! She's hirvittävän loukkaantunut! "Katsoja ymmärtää 
siitä, että jotakin kauheaa on tapahtunut "äiti", ja 
Elokuvan edetessä havaitsemme suunnitelmia Pauline 
että "moider" hänen äitinsä. Mutta se on edelleen vaikea uskoa 
että hän itse suorittaa hänelle suunnitelma. Jackson käyttää 
flash eteenpäin osoittaa meille, että Pauline ei itse asiassa 
murha hänen äitinsä. Jotenkin, tietäen koko ajan, mitä 
tuloksista tulee tekee murhata vieläkin järkyttävä. 
Jackson haluaa meidän on kauhistunut siitä, että Pauline ja 
Juliet on rohkeutta mennä läpi murhan. 

Jackson tekee murhan Honora Rieper vieläkin 
järkyttävä avulla äänen näkökulmasta laukausta
ja Flash-eteenpäin. Hän osoittaa meille murhan kautta 
silmät ja korvat merkkejä, jotka auttavat meitä 
kokevat sen todellinen ja järkyttävä tavalla. Ja me 
järkyttynyt siitä, että kauhu, että me tiesimme on tulossa 
ei todella tapahtua, että Pauline ja Julia on 
tarpeeksi vihaa varten Honora mene läpi hänen murhan.

dimanche 23 novembre 2008

écriture automatique (ça fait du bien des fois)

Lavage anodin m’a attirer vers son subconscient. Dès lors j’ai compris qu’à la fin de toute chose, le rien n’est plus. Sens unique mais sans soutane je puise mes richesses dans l’artéfaque du crachoir magique. Houla, je me sent drole, qu’est ce qui m’ocru l’ascension supterfuge et divine? L’hermite peut-être? Nah, il est a l’algorithme au cent enfant et c’ette gravité jugulaire lui en a voulu pendant des portes et des tuyau. Mais qui ne l’aurait pas fait ainsi. Croire que l’on s’accouple sensiblement de la meme façon qu’un porc…c’est pitoresque mais ça vaut la chandelle. Car elle brule mais tellement sans le savoir. Sais-tu? Fardeau par-dessus phalange, il s’en ira vers l’inconnu, sans bruit, sans cape ni bouteille pour s’en laver l’armure. Mais oui, c’est claire maintenant! Victor tantouze est timbré et tu ne t’étais pas poivré. c’est si facile d’être artifice si l’on s’élance sur le coup de la chatte, mais si l’on s’octroit toute l’espace, elle t’ennivrera tel l’écarlate et givré vacancière sans crupule. Ainsi va la vie tant que vous la voyez comme traitresses et pecheresse du monde des affranchis. Sans mots…

Trouvaille et promo.

The Allen Symphony

Création de oJo. Savoureux folk aux paroles réfléchies.
Mon habileté à placer des mots un à la suite de l'autre est un peu limité, je ne saurai comment exprimer tout l,esprit et le génie derrière ses compositions, et donc, je me tais.

Milles monarques

Still pretty folk. J'écoute pas trop de indie/folk québécois, criss que j'manque dequoi. J'ai récemment entendu plus qu'un toune de Karkwa, pis la y'as eux. J'commence à y prendre goût.

Lazy Vomis

Electro Trash. Seule danse acceptable, le Zombie Dan. Chuis pas tant fan d'electro, mais j'dois avouer que j'savoure avec grand plaisir les compo plus Trash de ce cher Lazy Puke.

samedi 22 novembre 2008

Le jour ou j'ai failli mourrir comme Jim Morrison.

La langue épaissie par un nombre impressionnant de verres de vodka-punch aux fruits, je me regarde dans le miroir et ne me reconnait pas. Il y a des nuits comme celles-là, après,on sait qu'on ne saura plus pareil, et pas seulement parce que notre foie crie sa souffrance sous forme de borborygmes violents. En revenant chez moi en début d'après-midi, j'ai pris 2 advils extra-fortes et me suis couler un bain chaud. Une débarbouillette d'eau froide sur le crâne, étendue là, je me suis endormie. Je me suis endormie et ma tête a lentement glissé dans l'eau. Je me suis réveillé en sursaut, je suis vivante. (désolée jim) Mais j'aurais bien pu y rester je crois. Ça ne me ressemble pas de me défoncer comme ça, quelque chose cloche. Mon inconscient me crie de faire quelque chose et vite sinon je risque de sombrer, et pas juste dans l'eau parfumée au coconut de mon bain...Je cale donc ma boisson vitaminée comme si ça pouvait compenser d'une façon quelconque, en écoutant du Vampire Weekend. Je regarde leur vidéo coloré en me demandant ; mais ou sont donc passées mes couleurs à moi? Mon rire? Ma joie de vivre? Sûrement perdus quelque part in the land of la vie de couple, je me dis. Je me dis ; réagis.

jeudi 20 novembre 2008

souvent, j'ai eu l'impression d'écrire dans l'beurre ou de pleurer sur mon manque de confiance ambigue. Mais aujourdhui chers lecteurs, enfin depuis 4 jours, je suis non-stop sur un enregistrement de maquette qui ma fois est tellement savoureuse ! J'ai bien hate que vous soyez tous charmés par les sons qui emmanerons de vos appareil a écoute musicale.

merci d'avance d'être la pour supporter j'existe à cause des gens comme rabot et phéllé...



ojo.

mercredi 19 novembre 2008

http:/www.00essai.net


Meurci Meurci!

J'voudrais d'abord et avant toute chose indiqué la petite popularité grandissante du ce blog qui nous est tous très chère: 00essai!

A mis-chemin entre les vieux site de poésies 1998 fait par géocities, les forums d'échanges d'un jeune étudiant en lettres habitant la provence, les travaux d'arts-com et même a la limite un peu 4chan. J'dois avouer me faire un plaisir fou a lire, a poster, et a commenter.

Doum et son malin plaisir a nous provoquer de jour en jour avec ses pensées-anecdotiques cinglantes et douteuses.

Deaf Junkie et ses textes d'une longueur tel que la plupart des blogger ne lirais point mais qui ne manque pas d'un réalisme et d'un personnalisation bien à lui.

Le Félin qui fini toujours par écrire un petit message venant entre couper les autres de saveur hip-poétik nous faisant sourire en coin a chaque petite rymes.

Que dire de Allen Symphonie, qui met de l'espoir dans le 00essai en nous concoctant de petits courts textes improvisés et mystifiants.

Rabot laissant un commentaire par-ci par-là et qui je sens, n'a pas besoin de poster de messages pour s'amuser à tous nous lire sourire au lèvre ou non.

Dav... fidèle lecteur de tout les jours. Chacune de ses présences sur l'ordinateur commence par un tour d'horizon du blog.

Mlle.Art!!! nouvelle venue dans ce nouveau venu blog nous laissant sont opinion de temps à autre lorsque la verve se fait sentir.

Et je tien a ne pas oublier Fourchetta qui rira probablement un peu lorsqu'elle lira ce poste(désolez pour lé fotes d'ortogrphe fourchetta mai ci j'aurais été mélleur j'en aurais moin fète!)

See ya guys!
Keep posting everyday!
Paresse du Vomis!

mardi 18 novembre 2008

Moi je spit, pleurez, j'attaque premier niveau...

J'me revois, 

les deux ingénieurs travaillant sur les rouleaux qui transporte les caisses de bière vers la machine qui les empilles à ma job. Les deux gars prennant pas vraiment de précotions et portant pas attention à s'qui s'passe autour, trop occupés à esseyer de décoincer une caisse de travers dans le convoyeur. Je suis là, en haut, j'attends que le travail recommence, quand TOUS À COUP, j'apperçois une dizaine de caisses de 24 descendre à vive allure en direction des deux hommes. J'aurais pu faire quelque chose, j'aurais pu crier "ATTENTION", j'aurais pu agire mais je l'ai pas fait. J'aimerais vous dire que c'est parce que j'ai figé mais c'est pas ça, j'étais parfaitement conscient de s'qui se passait, je savais se qui allait arriver, et j'ai rien fait. Pourquoi? Parce que j'allais avoir ma dose de divertissement, celle que je mérite.Les caisses n'ont pas prit plus de 10 secondes pour se fracasser directement sur les 2 mains de l'ingénieur, le son de ses cries couvrant le son des sirènes d'arrêt d'urgence et le sang éclaboussant les alentours ne firent qu'emplifier mon bonheur d'avoir ENFIN s'que j'voulais, et sans la moindre émotion, fière de se que je venais d'accomplir, je suis allé m'assir sur une chaise plus loin pour apprendre par la suite que l'usine fermait pour la nuit, à fin de nettoyer l'endroit et laisser le temps au employés de se remettre de leurs émotions...

Mais ne vous en faite pas, c'était encore une fois qu'une expérience, pour connaître le seuil de tolérance à la douleur de mes confrères de travail. 

Niveau 1 completé

lundi 17 novembre 2008

Honnêtement, je dois être fou. Trop de sons d'objets et de couleurs disproportionner cohabitent avec mon concient puisqu'ils n'ont plus accès au club privé du subconscient. je ferme les yeux, je suis en sous-vêtements dans mon lit, collé près de ma copine, que j'ai d'ailleurs `choké` ce soir. Mais sporadiquement, les masses volatiles de fumigènes sans couleurs, portants avec elles l'angoisse de la folie me survolent le corps.

Une autre de mes phase de sommeils non-profond avancées, enfoncées, embutées, enterrées.
dors dors dors dors mort mord dors , dors donc calice. T'as déjà perdu suffisamment de temps à courir comme une poule morte pour faire les cent-cinquante et un trucs donc je m'en calice pour faire plaisir au roulement trop obstrué du travail et des emmerdeurs de j'me pogne le beigne. Tu cherche trop à savoir pourquoi tu ne comprend rien et pourquoi personne ne te comprends quand tu leurs déballe que tu ne peux comprendre pourquoi et/ou j'en ai rien a battre.

silence, balbutiement, silence, sarcasme.
silence et silence j'oublie et je monte une marche du sommeil.

le problème c'est que je dors chaque soirs. Done.




dimanche 16 novembre 2008

Vieillesse

Tout ce que je sais faire de ma journée, de ma vie, c'est de narrer ma journée, ma vie.
À la 3e personne? Oui, quelques fois. Avec émotions? Toujours, ça oui. Et ça entraine des suites? Des sequels? Non, mais des séquelles, oui. Quand je pense au bonheur que j'avais quand j'étais juste un kid, pis que j'avais pas à me soucier de "J'devrais-tu fumer une autre top, ou attendre?", j'me dis que j'ai vieilli pas mal con. Par contre, j'ai toujours été un esti d'hypocrite. J'souris, mon amour. Chu content que tu m'lâche un coup d'telephone en plein milieu d'mon film pour me dire que t'haïs ça quand j'te trouve belle pis que j'te l'dis. J'te l'dis pas par contre que j'haïs ça quand on est côte à côte pis que tu veux même pas m'regarder. J'me sens encore plus seul que si t'étais pas là pour m'ignorer. Au moins, j'pourrais m'imaginer que tu te soucie de moi. Parce que moi j'compte plus que toi. Que j't'écoute pas me parler de ton père pis de ses problèmes, que j'te dises à quel point t'es conne de penser juste au fric pis à l'horaire de travail, ou que j'te batte, ça a trop pas d'importance. L'important c'est que tu m'donnes l'affection que j'mérite. Ça fait quand même 19 ans que j'attendais que quelqu'un ouvre les yeux sur le fait que j'sois l'homme le plus doux et le plus sensible et que j'mérite qu'on m'aime et qu'on m'apprécie, à ma personne mais aussi à mes créations.

Moi, quand j'aurai vingt ans, je pensais que j'allais être moins con.
Moi, maintenant, je ne sais plus si je peux encore aimer une personne qui dit détester se faire aimer.
Moi, je ne pense qu'à moi. Ma survie. Mon bonheur. Mon art. Mes souvenirs. Mon enfance.
Moi, j'ai envie de me baiser, de me faire des enfants, de les étrangler, de les baiser, de la manger.
Je suis Saturne dévorant son fils, pour éviter une autre clique de mon genre.
Quand Goya a peint cette toile, le peuple criait "Vive nos chaînes".
Quand j'écris ce texte, mon "peuple" ne crie plus: il se branle. Soit en cachette de ses parents, Soit en cachette de ses enfants.

Si je ne peux plus te regarder avec des yeux compatissant et aimant,
Je ne puis plus te regarder... sans penser: tristesse, douleur, et vieillesse.
On ne se prend plus la main comme des enfants.
On se lâche la main comme des adultes.

-Rack Focus, sage petit neveu de Confucius

Essai#2 -


Thanks! Gratz Rob!
J'suis plutôt content de la présentation. Merci a ceux qui lirons ce post et qui sont venu.

Plutôt content des commentaires que nous avons eux et des discussions qui ont été généré par le visionnement.

Un grand merci a David Lamontagne qui ne cesse de m'inspirer lorsque j'ai besoin de m'exprimer dans une discussion d'après projection.

Voila j'ai tout dit!

vendredi 14 novembre 2008

la finale

J'ai écrit un poème, une sorte de texte qui tire un peu su'l'rap mais j'ai pas trop porté attention à ça. Y'a une certaine touche d'humour, j'ai d'la difficulté à échapper à ça, sa vient tous seul. Les gens aiment d'habitude cette fois parcontre, les commentaires étaient étranges, "c'est raide mais c'est bon, c'est raide mais c'est drôle... Donc, pendant quelques jours sa passe, jusqu'à ce que je fasse une crise d'épileptie à nouveau, qu'on m'alite et que je me mette à penser, à penser à tous et à rien à penser, juste pour pas trop penser. C'est là que le texte me revient en tête, ça et les commentaires bizard que j'avais eu raide-bon, raide-drôle... Comment ces deux adjectifs peuvent être ensemble pour décrire une même chose? Est-ce qu'on a tous un monstre à l'intérieur de nous, évolué à des niveaux différent? Finalement, une idée me vient en tête, je vais faire une expérience non-contrôlé sur mon entourage, tenter de connaître les limites du monstre qui se cache en eu. But ultime, me faire ban de 00essai ou me faire deleter mes posts car rapellez-vous se que Rob a marqué dans son intro de blog :j'imagine que certains posts seront dérangeant, je m'en excuse. Quelle est la limite de cette affirmation? J'aurai besoin de textes choquant, de quelque chose qui frappe fort et qui touche des sujets différent, tous considéré tabou. En plus, si le docteur me met en arrêt de travail pour 1 mois encore, QUE DE DIVERTISSEMENT. 

EDIT: Bonne nouvelle #1 on ne me met pas en arrêt de travail, mauvaise nouvelle #1 je retombe à 0 dans le décompte "1 an avant de pouvoir conduire après la dernière crise", bonne nouvelle #2 Pri m'aime vraiment 

2-1=1 LES BONNE NOUVELLES GAGNE!! Quelle belle journée


Premier texte: les homos

Sa parle beaucoup contre les homosexuels en général, sa rie d'eux, sa les rabaisse, les ridiculise. le texte à pas eu l"effet escompté, le sujet des homos est un peu banalisé, les gens en rie, encore une fois,  un peu irrité par les bons commentaires, je dois trouver quelque chose de moin beau, moin généralisé et plus stupide.


Deuxième texte: L'alcoolique au volant

Le sujet me semble bon, j'me dit j'ai juste à fitter quelques petites filles, un gars chaud en char et quelques mots méchant par-ci par là pour faire sauter un peu tous l'monde, Au pire j'm'était dit les amis les plus proche qui me connaissent bien risque de pas être dérangé mais c'est PIRE!!! PERSONNE N'A EU DE MAUVAISE RÉACTIONS. ENCORE UNE FOIS, c'est raide mais c'est drôle, c'est raide mais c'est bon.

JE FUME JE FUME

j'ai besoin d'être méchant, ce jeu devient déjà lassant. Je l'ai, fuck la structure, fuck le contexte, je drop d'la méchanceté pure et dure sure eu et je les regarde, sourire en coin, fondre comme de l'acide sur de l'allu.


Troisième texte: pèdophillie. zoophilie des pensées sombre

OUFFFF quelle réaction, cette fois j'ai vraiment touché une corde sensible de 95% des gens, HEY même les gens qui me disent ne pas être choqué disent : "Non j'suis pas choqué PARCE QUE J,SAIS QUE C'EST PAS VRAI S'QUE TU DIS" c'est claire que profondément en eux ils sont choqués. Ma blonde menace de m'laisser, Rob me diss sur msn, Phil Chill et jo pete veulent me pogner dans une ruelle sombre le soir, tous va comme prévu. Ya un seul hick, Simon qui semble pas être affecté pour 2 cennes, Il continue à me reply des GOOD JOB 

hahaha bon.... J'crois que ton monstre et le mien sont pas mal à l'âge adulte mon Simz, désolé.


Quatrième et dernier texte: l'assasinat et l'aggretion d'un p'tit gars

Ce texte j'ai pas vraiment eu l'temps de voir les réactions des gens, pourquoi? PARCE QUE ROB L'A DELETÉ ET A DELETÉ MES AUTRES TEXTES AUSSI!!!!! VICTOIREEEEEEEEE.

J'peux vous dire une chose, j'me rapelle même plus s'que j'avais écrit mais d'après l'sujet, c'était surment pas quelque chose de l'fun à lire.


Donc, pour conclure en beauté cette expérence qui n'a pas durée aussi longtemps que j'aurais cru (dieu soit loué, j'commencais à feeler croche à penser toujours à des choses aussi laide.), je dois dire que les gens sont bizard et que j'ai toujours rien compris. On lève le nez sur une fillette tué en voiture par un chauffard chaud et on pleure une fillette agressé sexuellement par un pédo. Pourquoi? Parce que le texte dans lequel je le dit est mieux structuré? 


P.S. Simz et Antho, trouvez-vous un psy et référez le moi svp salut les beuyzzzz



jeudi 13 novembre 2008

très cher lecteurs

notre cher dumby a souffert quelques problèmes niveaux censures.
pour toutes plaintes, veuillez vous adressez au commentaires.
merci.





et voila


et voila from Rabot on Vimeo.

mercredi 12 novembre 2008

Analyse d'un type no2 - sequel

Parce que toute bonne chose a une suite.

Bon, ce type est fatigué. Il est couché dans son lit, regarde la télé. Ce qui joue, c'est ce qu'il a filmé avec sa caméra vhs depuis qu'il l'a (disons 4 ou 5 ans). Ça commence avec un défilé de mode, son premier jet en tant que filmeux. Et ça paraît. Ça griche, ça bouche, il fait le rack focus sur les seins de la fille qui danse sur du hip-hop. Le type, il regarde la scène avec un haut-le-coeur. "C'est nul. Une chance que je me suis amélioré." Ah bon? Enfin, il s'est rafiné dans son style, il a trouvé son écriture, mais ça reste du caca. S'en suit une panoplie de petits souvenirs de vacances (la semaine qu'il avait passé seul avec ses parents dans un chalet miteux). Puis, une touche différente: il se voit danser et réciter de la poésie avec un comparse dans une chambre d'hotel. "Fun, ça. J'vais graver ça sur dvd pis j'vais appeler ça Dead Ol' Funk/Lazy Crap gone wild (poetry re-edit)." Après la scène finale, il tombe sur un party de chalet chez un type qu'il détestait. Malheureusement, une crampe envahit ses doigts et il est obligé de regarder 45 minutes de merde baignée de types et typettes complètement saouls après 2 coolers. Le type veut sortir son .45 et se flinguer. "Pourquoi?" se demande-t-il. C'est une erreur de jeunesse j'imagine. Ouin, exactement... M'enfin, le type reprend des forces et pèse sur ffwd jusqu'à la fin de la bobine (on l'on voit le type faire un remix d'un Essai cinématographique, puis se faire lui meme une version perso d'un essai, et encore le même fichu défilé).

Brûlé, il se mord les doigts, sort sa vingtième cigarette de la journée, l'allume, et décide de sortir ses vieux textes pour relire si ça suit l'ordre de sa cassette. Ça suit. C'est nul. "C'est d'la dompe. Il faut que je fasse de quoi de potable avant de crever." Ses premières nouvelles lui donne la gastro, ses premiers poèmes le font gerber, ses dessins impressionistes... ils les trouve réglo. "Ça suce pas trop." Il rit en lisant certains textes plus matures, verse une larme en retrouvant un texte plus vieux que vieux. Le type, il ne jettera jamais rien de tout ça. Un nostalgique.

Tout ce qui vient de se produire lui donne envie d'écrire et de créer. Mais la flamme est partie. Il a écrit ce qu'il avait à écrire. Les films qu'il a en têtes, c'est ses meilleurs nouvelles qu'il veut mettre en image. Du vieux stock. Il reste crissement pogné dans son univers d'avant. Même s'il le rend malade, par moments. La solution: créer des sequels. Tu reste dans l'univers, mais avec des situations adaptées à l'époque.

Ouais ok, reste avec tes mêmes esti de personnages. Fais tes ti montages cheapette.
C'qui reste pas trop à chier, c'est ton jam sur le key chord de sunshine, tu te dis.

Right... T'es gb, mon gars.
Le type sort au frette, s'allume une autre top. Pense à sa guit électrique qui a pas de cordes.
J'suis un cowboy; touche pas à ma guitare.

mardi 11 novembre 2008

INTERNET?



S'il vous plaît Dumb! POST RIGTH NOW RIGTH HERE!

Analyse d’un type no 2

Analyse d’un type no 2

Ce type vient de sortir d’une salle de cinéma. Sa copine était là (pour la première fois depuis 4 ou 5 semaines). Là, et maquillée. Autrement dit, jolie. Mais accompagnée de son ami (son premier vrai amour). Le type est mal à l’aise. En sortant de la salle, elle part avec son ami. Le type veut rester pour participer à la discussion qui suit les films projettes les lundis soirs. Il regarde alors sa copine partir au loin avec son ex. À l’intérieur, il est complètement bouleversé. Comme image, ya pas plus affreux…
Après la discussion, il sort prendre son autobus. Celui-ci ne passe que dans 30 minutes. Il finit sa cigarette, rentre se réchauffer. Puis… Figé là, il pense toujours à cette image. Accablé d’une musique de cirque dans sa tête, il fixe ses écouteurs et, nostalgique il fait jouer une musique triste. C’est pas les larmes, mais c’est dur pour lui. « C’est pas Tangerine, notre chanson. Ça, c’est la nôtre… » Si jamais j’écoute ça après notre rupture, pense-t-il, je vais en crever. Il n’aurait jamais cru cela possible, et pourtant…
Dans l’autobus, assis, il fait une playlist sur mesure, question de rester dans son mood. Il ferme les yeux. Ce type reste dans son monde un bon bout de temps. Disons cinq à dix minutes. Au bout desquelles il ouvre ses yeux et réalise que sa main droite est ouverte, bienveillante, mais froide d’un froid qui se réchauffe; sa main gauche, elle, est fermée en poing, comme si elle tentait de se réchauffer, sans réussir.

Le type s’analyse.
Vu que la main droite est sa principale, il suppose que sa forme ouverte et douce reflète l’impression qu’il veut laisser aux autres et à soi-même d’une personne aimante et sage. Sa main gauche représente plus son subconscient et ses envies les plus primales : son poing lui rappelle alors la soirée qu’il a passée avec sa copine, durant la fin de semaine. Une soirée de type romantique était prévue, mais elle était fatiguée. Dans le lit, durant un film qu’il avait choisi au club vidéo du coin, la copine se met à s’étendre du vicks sur le corps avec une lourdeur que le type ressent. Il décide de l’aider à lui en mettre, contrairement aux autres fois où ça l’emmerdait. « J’vais faire un bon move, pense-t-il encore, peut-être que j’vais l’avoir ma soirée romantique! » Échec. Après sa tentative, sa copine repose le pot sur sa table de chevet. Puis, elle commence à le faire rouler sur le côté. De plus en plus fort. Puis, elle le prend, le laisse tomber d’à peine un millimètre. Le laisse tomber d’à peine un millimètre. Le laisse tomber d’à peine cinq millimètre. Le laisse tomber d’environ un centimètre. Le type, épuisé, quitte la pièce. Sur le canapé du salon, il tente de penser à autre chose, de ne pas être miné par son agacement. Il entend quelque chose… Sa copine joue de plus en plus fort avec son pot. Avec une télévision qui joue à plein volume, il entend encore ce pot se fracasser contre la table de chevet. Complètement éreinté, il ferme les yeux avec force, serre les poings et vois une image qui le réveille : il avait imaginé avoir frappé à coups de poings sa copine, question de la raisonner.

Dans l’autobus, ce type garde son poing fermé et sa main ouverte. À son arrêt, il est troublé de défaire cet ordre momentané pour s’accrocher à un poteau et ouvrir la porte. Sa musique triste à souhait joue toujours. Il est rassuré en pensant à sa copine qui avait arrêté son jeu juste à temps. Mais il est toujours troublé à l’idée d’avoir imaginé la scène.

lundi 10 novembre 2008

ggjjjh

jtai comme toute tranquille
le nez collé dans l'écran
la fenêtre pop : eye phil!
sa fait donc bin longtemps

- comment tu va?
- bien toi?
- bien merci, koi dneuf?
- rien toi?
- ah pas grand chose la

...


...


...




wé wé



A court d’idée
Jme dit kchu poche
Jai beau essayer
Jmenfonce dans ma tete
Pis c creux la ddans la
Tellement creux que jvois pas lfond
Je cris des bêtises
Sans réponses
Meme l’écho ma lâché
A mtrouvais poche
J’essaye quand meme
Jtapote, jgribouille jlache keke wack
Sa sonne fucké, des fois jaime sa
Jlerfait…ah non finalement ctait pas hot
Do ré fa sol si si si la ré
Ayoye comment ki font pour etre bon eux autres
Les gars pas poches ki font dlart
Jmallume, p-e sa va mdonner des idées
Ou plus mal a gorge
Jferme mes yeux pis
L’option #2 mpop dans face
Sa mmet en criss
Fak jmécrase

Jpense a des affaires le fun :
Des ptit becs ou un rire tellement sweet
Une tape dans mite ou un headbang collectif
pis la mes levres sont comme stick position courbé up
jmen criss detre poche dans lfond, jel sais ka va etre la tantot
elle pis ses yeux
pi meme si est pas la
ya l’otre cave ou l’otre niaiseuse ki,
peut importe kelle sautise jdit kan chu sul bord de vomir,
m’apelle pour qu’on joue

sti ksé lfun jouer
jfrais sa toute ma vie
aik des mots, un ballon ou mon pen...sti ksé lfun jouer

fuck off l'inspiration, a viendra kan a l'aura faim
jlattendrai pas pour souper
anyway, jpas tu seul a table, pi lfridge yé plein


pour me racheter d'être un cinglé directement de l'asile

Un soir j'suis chez mon ami, elle m'appelle j'lui demande si elle veut coucher chez moi, ont est dans les alentours de minuit, j'lui dit j'mennuie elle me dit oui, j'vais être chez vous pour 2:00 SOIS LÀ elle me dit promet le moi jveux pas cogner. j'dis promis, la soirée continue jusqua s'que j'rèalise qu'y'est 1:54 et j'suis pas encore partie. Elle l'a jamais su mais j'ai couru comme jai jamais couru ce soir là, pas question d'être un menteur, j'suis arrivé avant elle.

Ce soir qui aurait cru
Me voir courir dans la rue
Dépasser le seuil de l'épuisement
Crier "JE L'AIME" à qui l'entends

Donne moi un p'tit quelque chose qu'ont en restent pas là
Donne moi une chance, j'ferai pas un menteur de moi
C'est impossible mais pourtant trop facile
J'arrive, crois moi, ce soir t'attendras pas

Rapelle moi ton sourire
Laisse moi une p'tite place dans ton avenir
Donne moi 100 ans, un droit d'rachat et un clin d'oeil de temps en temps
Ce soir c'est moi qui attends

Ya pas assez d'routes sur cette terre
Pour la promenade que j'tenmène faire
Pas assez d'verdure dans ce monde
Pour la beauté qu'il faut qu'j'te montre
Et si ont croisent un OVNI
T'inquiète, j'te protège promis

J'veux pas gagner c'est pire que perdre
J'veux juste qu'ont aillent se perdre, que Dieu nous cherche
Que j'te dise que t'es jolie
Que tu m'dises merci!

Rapelle moi ton sourire
Laisse moi une p'tite place dans ton avenir
Donne moi 100 ans, un droit d'rachat et un clin d'oeil de temps en temps
Ce soir c'est moi qui t'attends.

dimanche 9 novembre 2008

Dumby (Lazy RMX)



Fuck la vie, fuck l'ennuie ****** À s'qui parait si on fait le nombre de doigts doigts doigts doigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts qui entre dans ton vagin divisé par ******************Être épileptique c'est pour la vie

Si le poid des responsabilitées m'écrase ///////&Après avoir tué 5 p'tites fille et si la haine semble être mon seul carburant pour ^^^^^^^^ 2 chiens et assez de p'tites grosse laides pour //**()() une pénurie de caissières au Métro





samedi 8 novembre 2008

feng shui home

Everyday I wake up to the sound of noise,
my head should be at north so its all wrong
and every furniture at home is right side up, and the colors match together

yes I do follow the pattern,
of how to be set at home
of how to keep my feng shui home
but I don't feel so good at all
since I'm alone in the kitchen
since I'm alone in the kitchen

Every morning my hair are completely messed up
but I never mind it feels just fine
and in every way when it's cahos I recognize myself
I know myself I'm just fine
I know myself I'm just fine

yes I do follow the pattern,
of how to be set at home
of how to keep my feng shui home
but I don't feel so good at all
since I'm alone in the kitchen
since I'm alone in the hallway
since there's no you in the kitchen
since there's no you in the hallway
in the hall hall hall
in the hallway.

send.
Au fond,

tout ce qu'ils ont de besoin, c'est un bateau. Une transportation antipathique et solitaire qui devrait, si le tout se passe bien, les amener où ils en ont envient au compte de quelques nœuds/secondes.

Bruit de fond tonnerres et orages boucan sons bruit rapprochés typhon, peu-être, selon les sons. Danger éminent et calvaire satirique de l'océan indien, à en croire la carte.
la carte déchire sous les orages et les bruits qui ont cessés d'approcher, ils se sont rendues. ils sont passés d'un sens intangible pour aboutir au sens le plus communément utilisé, la douleur.

Sans savoir ni comment ni pourquoi, ils n'ont soudainement plus besoin de rien. Le fardeau de la liberté qu'ils portaient tout les deux et qui était transcendé par l'objet bateau n'existe plus. Ils sont, selon ce que je constate, mort. Pourtant ils n'en savent rien. Jamais ni l'un/ni l'autre n'a été témoin du trépassement de l'autre. Comment alors moi, d'un de mes sens, puisse dire que l'esprit qui habitait c'est deux corps est morts? Ou comment même je pourrais prétendre le contraire de quelque manière soit-il ?

j'ai constaté que je ne constate jamais rien. Je ne suis qu'un corps mort qui se déplace sur un dolly relié à un manche a balais qui s'attache à ma colonne. un esprit nihiliste qui cherche à être actif mais qui semble demeurer passif.

Quelle foutaise.
Send.

FOUAKOFFF!


-I think you migth be deaf Frankie...

-What?

-You migth be deaf.

-WHAT?

You migth be deaf...

-WHAT?

-YOU ARE DEAF YOU FUCKER! WHO DO YOU THINK YOU FUCK SHITBAG!?

-...

vendredi 7 novembre 2008



territoire érité

Elle pousse encore sa cloppe jusqu'à ses levres pour en aspirer une boucane opaque qui, a son dire, tasse le stress. Le stress. Le stress. Elle est encore asise là, comme a tout les jours pendant les quinze minutes qu'elle s'obtroie pour défaire son cerveau de l'étaut qui force autour de sa boîte craniène; le monde du travail. Elle comme toi et comme moi, elle porte un name tag, ce qui donne droit au plus dâmné des chiens sales de l'appeller par son beau ptit nom quand il lui plotte les formes. De nom, elle sert les consommations alcoolisées dans un bar, de pratique elle se tue a essayer de payer ce qu'elle à dépensé sans compter, dans une vieille boîte de soulier qu'on a transformer en maison de rat pleine de pisse.

elle rêve
elle fume
elle crie
fume
tombe
tombe
fume
s'endort
rêve et crie
pour ensuite se lever
et fumer.

Pourtant elle a déjà oublier huit soirs précédent celui qu'elle est déjà en train de laisser disparaitre pour un prochain tout aussi ephemère.

Et moi je fume.

jeudi 6 novembre 2008

l'heure de rien

À l'heure du brouillard, quand y fait trop noir pour vouloir aller jouer dehors, mon corps est assis sur une chaise. J'ai eu l'idée d'en parler parce que c'est la seule base sur laquelle je peux vraiment archiver des histoires. Bref, assis sur une chaise devant une fenêtre qui, normalement donne sur une cours, mais qui donne sur le rêve ce soir. Je suis lourd et je n'y reflechi même pas.

Descente cervicale
idée nuancée,
un marteau phosphorescent
dans un bain de clous
assombrissement du train train
dans une valse du 15ieme siècle
qui pue l'esti vieillard.

Je touche pour la première fois la corde du moi qui fait que j'ai envie de me lever
pis j l'a menace de se la fermer ou de la couper.

j'ai eu des idées a propos de l'église,
mais j'en parlerai pas maintenant
j'verrai pas le but ni le temps de mettre a jour mon dégoût pour pas mal toute.

Send.


OK BYE BYE



montage 08 final sk8-wise, pomal de deja vu avec le nouveau shit plus recent.
ok bye bye l'manque d'imagination.

mardi 4 novembre 2008

leafhouse lazy mix


Leaf House h264 from Rabot on Vimeo.

same vieux footage
mix à saveur plus essai/rabot

Essai#2 + Throbbing gristle house RMx


EXPÉRIMENTAL FUTURISTIQUE HANG OUT
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Soirée chez Simz ou y'aura deux events au menu.
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Présentation de l'essai#2; ciné-vidéo trash pour les intéressés. Distanciation, voyage dans le néant, dans l'exérimental, dans l'essai.

SUIVI DE

Remix live d'un album live de Throbbing Gristle.
Le son industriel ambiant underground de 1981 mix avec du minimal,deep,prog,tech house. Le tout agrémenté d'une projection; PI, 1998, Daren Aronofsky, 84min.

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Probablement que le tout va se dérouler dans deux semaine. Reste a fixer une date et à voir si le papa de Lazy veut bien laisser cette soirée se dérouler chez lui.
J'vous revien avec la date etc etc.

Cordialement vôtre.
Vomis Paresseux.

samedi 1 novembre 2008

Thangz les boyz jvais tanter detre moin fail

J'déguste ma bière tranquillement

J'sirote tendrement, nah, j'cale, fuck that sa pas couté d'argent

Plus en extase que Wayne

Devant sa Stratocaster qui un jour elle sera sienne

Un sentiment fort de remords et d'angoisse qui m'dévore 

Quand j'me remémore s'qe l'neuro a dit

"Être épileptique c'est pour la vie

Fini les beuveries, fini l'permis, fini la poterie (what?) et sa commence aujourd'hui (OK BABYE)

Alcoolique, ouais c'est s'que j'suis

J'renies les règles établies 

"Prends pas d'alcool ou c'est la mort"

FUCK YEAH grosse salope tu viendras me pleurer

Quand mon coeur va lâcher de ça ou d'une overdose de 2 papiers

Fuck la vie, fuck l'ennuie

Fuck l'amour dans les films y nous prennes tu pour des caves?

Fuck l'ami Jo Flynn, tes mags sont tu peinturés à cacane?

Pis pendant qu'on est là, tes frites sont molles

Pis mets plus de sel, j'ai pas l'temps j'suis trop occupé à jaser avec Bell de 4 roues 2 temps

Oh fuck j'viens de drop une caisse de 12 par terre

Mais faut pas s'en faire, j'suis un bon employé

J'vais vérifier si l'produit est en bon état

J'vais faire même plus que ça

Mais ya pas d' tracas

Caleur professionnel, y s'en apercevront même pas

J'te méprise, j'te diss, j'te détruit et j'te pisse dessus

J'te traite de fils de pute parce que j'trouve sa flow bien avec mes insultes

J'me calisse de qui t'es, avec mon problême dans tête, mon avenir m'a quitté

Hey oh boulot, hey oh bourreau

En espérant qu'la police me cut taleur mek j'rentre bin chaud

Après avoir tué 5 p'tites fille, 2 chiens et assez de p'tites grosse laides pour qu'y'est une pénurie de caissières au Métro 

vendredi 31 octobre 2008

WTF

Je revient d'une sesh en me disant: criss pour une fois j'était pas sketch.
J'appelle mon chum de gars pour y dire que jai chier un autre bord sur un kick mal lander.
Sa mere répond sur son cell WTF?(c bizzard a cause que c comme pas la personne que je mattendait a repondre.)
Je catch pas full quoi qui arrive sa mere a l'air confuse...
Son pops pogne la ligne et me dit dom va te rappeller, Au début je pensait qui se pognait avec ses parents ,mais abuse!
J'essaye de call kass depuis se matin a répond pas WTF?
Vers 4h30 je recoit un appelle d'une fille (qui est pas ma blonde)
C alex qui me shoot dom ya encore fait sa maladie.
Je lui claim RLY?
Elle me dit YA RLY!
Je lui dit WTF.
Elle me dit que c a cause du changement de Médoc.
Yer partit right pine chez le doc!
J'men fais pour lui (chu pas gay ok merci BABYE)
Chtrouve sa vrm wack de work le vendredi!
J'irait bin le voir dans son lit (chu pas gay encore)
Pour y dire yo le gros tentot jai fait nosegrind pis jl'ai attérie!
Mais a place de sa jvais aller laver une caliss de machine en tole toutes la nuit!

Je peux poster!

Je peux poster maintenant Sick!

jeudi 30 octobre 2008

Partyz

Réunion au bar Dallas, 31 octo. à partir de 21h genre.

Désolé d'être autant late. J'étais plus primz le mois dernier pour passer le message.

Là chu pu primz pasque ya une gang de youpins avec dla grosse pub à 1000$ le flyer qui font le party un jeudi soar... Moi jy va pas: cours le lendemain. C'est pour ça que jai proposé le vendredi.

Mais l'monde s'en crisse. Faq moé tou

C'est un party si ya plus que 10 personnes. C'est pour sa que jai claim "reunion"...

dead old funk

mercredi 29 octobre 2008

QWERTYQWERTYQWERTYQWERTY

De retour! C'est pas comme si l'absence avait fait un plie à qui que se soit...

Mon buzz j'le prends de mon manque de sommeil quotidien.
 J'sais pas trop si c'est ça ou les 10 pilules que j'menvoie chaque matins. 
Certainement un mélange des deux, fuck that au point ou j'en suis.
 On m'a enlevé mon permis, trop de problêmes à la coconut, j'bois, j'conduit
 j'conduit saoul pas d'permis, crises d'épileptie au rendez-vous, tasse toé mémé
 j'suis inconscient, convulsant jusque dans ta yeule de vieille peté de 100 ans.
 On rock le Yeah Bwoy sourire sarcastique au lèvres. amène moi des double cheese Bell.
 J'paye pour tous l'monde j'men calisse J'veux du Mcdo dans mon trou d'face au plus vite.
 J'dépense mon argent pour... AHH non attends j'ai rien à faire avec mon argent j'suis trop avare j'compte mes billets, j'vois le monde tourner HÉHÉ wasap with that!? Des milliers!! 
De l'argent aussi sale qu'un vole de banque.
 Dance par-ci dance par-là tu t'en calisse t'es même pas là, tu vois pas. 
J'me convainc que c'est pas important, Youporn sera toujours là pour moi! 

Les deux couilles d'la même grosseur ESTI qu'est ce qui s'passe ici?
 j'y touche j'ai l'feeling d'un gars qui vient de s'faire kick par une grosse salope à qui j'aurais fait des winks
"HEY SALUT HEN! À s'qui parait si on fait le nombre de doigts qui entre dans ton vagin divisé par le nombres de doigts qui entre dans ton anus, sa donne le nombre d'heure que t'es willing à fourrer LOL".
 Les deux chevilles plus grosses que les mollets, OU OUI le skateboard c'est le sport parfait.
C'est juste que j'suis charcuté comme un veau chez Écolait.
 À force de tomber j'ai prit un tint bleuté, le monde me demande plus pourquoi j'ai un bleu, asteur c'est pourquoi t'as un beige?
 Chevilles cassée j'replace ça à main GROS DÉGEUX ESTI T'ES DÉGEUX T'ES UN DÉGEUX! T'ES DÉGEUX!
 J'peux pas m'permettre de m'faire arranger j'suis déjà en arrêt d'travail pour mal de dos généralisé.
 Pas grave lève toé l'gros, à soir tu travail sur ton ESTI d'passerelle pas d'barrots.
 Espère une crise, tu finis ça steez en bas, sur une palette de Coro.

J'aime ça les blogs Emzzzz.


OOOOOOOOOOOOO...

OOOOO...

Une crisse d'année...
One fuckin' fuckin' fuck fuck year.

Ho peut être dans pas long; j'aurais besoin d'un peut de drame juste pour me changer les idées au pire. J'dit ça comme ça, peut être que rendu la j'vais me dire... hoo fuck c'était ben mieu quand j'avais la paix. C'est bien avoir la paix... mais pas trop longtemps. Ça devient ennuyeux.

En fait quand c'est trop longtemps paisible... ça devient lourd...
J'aurais besoin d'un peu de drame.

La première qui pense pouvoir m'en donner qu'à lève la main pis j'men caliss.

mardi 28 octobre 2008

ohhh...

AHHHHHH j'suis épuisé.

J'ai l'goût de dormir seulement quand on m'offre un projet à grande échelle, j'ai l'goût de casser des objets dure à casser habituellement quand on m'fait chier et c'est drôle, toute me fait chier, ça commence à couter chere d'objets dure.
Pourrais-tu s'il te plaît DÉCALISSER de ma vie? Deux semaines et on dirait que j'ai 10 ans de méprit pour toi. S'qui est mal vu c'est quelle apporte du bonheur et du malheur à grandcoups de pédale de gaz. Tu me tire mon énergie mais tu m'en donne en même temps. C'est tellement frustrant comme situation.

Sinon de quoi j'pourrais me plaindre un peut pour faire changement? "Ah Dom t'as que des choses sul coeur ou quoi?" En faite, c'est plutôt que s'que j'ai pas sul coeur j'ai pas besoin de l'écrire dans un élan de frustrations. "Quand ça va bin, ça va bin." De quoi j'me plain finalement? C'est correcte' ça va bien. Pourquoi j'suis en train d'écrire un texte sur mes malheurs?
 FUCK ces esti d'usines à drame, attends Pops, j'arrive pour ton film, Shotgun le coin du sofa, on est crissement bin là!

dimanche 26 octobre 2008

Rappy rap

Yavait ça aussi qui traînait depuis près d'un an. Enjoy. Much shorter.

Have you ever been told...

Look me through your eyes
These magestic lies.
They shouted out loud
What they were all about
But you still don't see me.
Yeah, seek right through me.
Place your soft skined head
In my arm pits, in my bed.

They gave out free records
When I was drinking Richards...
Soft nights of dancing in hotels
"Don't frown", as he tells
But 3D's out of my memories
I left my families
To gain some of humanity
Down, down, it's some kind of sanity...

(Have you ever been told...)

Secrets from the past
Flew down, so fast
Watch us hit the flow
Watch it waver, so
None of the above will blow
We'll always be so.
Consider us as taken
But not as some tokens...


Leave out, cooly ways
Catch the wind like the waves
The sun's burning bright
Still not feeling right
Kind of blue questions
From our reincarnations
Backward sucking and cool monsoon
Wheel get on track, it's never too soon.

Hier encore... et toujours

Pensé le 25 août 2008, écrit sur papier le 1er sept (1ere partie), le 19 et 20 octobre (2e partie)

Hier Encore...

1ere partie (1er sept)
« Hier encore, il y a deux jours », j'en ai profité, pour mes 20 ans...
(25 août) J'ai pris mon vélo, et j'ai été me promener où j'aurais voulu revenir tout l'été... Bon, quelques places que je n'ai pas visitées, je n'y ai pas pensé sur le coup, j'aurais dû... La rue des Charmes (surtout), ainsi que le Lac-de-Mai et l'école Twin Oaks... Mais bon, il faisait tout de même bon de revoir les rues adjacentes de Sainte-Rose, comme la rue de Gènes, Matawa, la ferme Sainte-Thérèse, ainsi que (de l'autre bord de Montrougeau) Liverpool et la berge-des-Milles-Îles et revenir sur Marian! Je n'ai pas visité Our-Lady-Of-Peace, c'est vrai...
Pas grave! J'en ai eu pour mon cash!

(23 août) Show hommage au DeadWolf, à Montréal. Avec une amie chix. On s'est un brin perdus, mais on s'est jasé, passant même devant un temple bouddhiste à quelques mètres du pont Jacques-Cartier. Arrivés à bon port, j'ai eu l'heureux cadeau de deux bières (que j'ai bues relativement très vite). Le show était cool, j'ai bien aimé "Voyager". On est revenu en métro et en voiture (avec Cat Stevens) jusqu'à notre quartier général.

Mardi, 26 août 2008: Libération!
De quoi? Des gouttes! Le mal infâme des problèmes occulaires.
Depuis près d'un mois ou deux s'abattait sur moi une terrible infection à l'oeil droit (depuis un terrible accident de "R'garde Lacia: je pointe mon doigt dans l'oeil et je l'enfonce directement sur la pupille! Ouch!") et depuis, la souffrance continua... Bref.

Retour vers le futur.
J'avais quand même mal à l'oeil, le 26. Pour le reste de la journée, "Nul souvenir, je crois avoir trop bu hier soir"
Ah oui! C'était mon premier cours de la session (cinéma américain, pour la 4e fois)! (Pour m'en souvenir, il a fallu penser "Mais pourquoi, di-able!, ai-je tant détesté le jour de ma fête?!?... C'était mon cours de doc...Ah.") Donc, après mon cours, j'avais rejoint ma copine au centre d'achat, et j'avais décidé de coucher chez elle ce soir-là, question que le lendemain elle soit la première à me souhaiter bonne fête (c'est elle qui a insisté sur ce point, z'le zure!).

MERCREDI 27 AOÛT 2008! 20 ANS, DÉJÀ! ... ouin, ok...
A fallu se lever tôt, question d'arriver pour 8h30 à la job de Lacia. À ce moment précis, le dernier repas dans mon estomac remontait au midi de la veille: deux hot-dogs. Remarque: quand je suis chez Lacia, rien ne me donne envie de manger... Rendu à sa job, j'ai acheté un jus d'orange, pensant ainsi remplacer un déjeuner. Rendu au cégep, j'attendais un vieil ami. Lorsqu'il fit son apparition, ce fut cigarettes sur cigarettes... (tôt le matin, je buzz juste avec une indienne. Avec les siennes, c'est le buzz total, même avec l'estomac plein). La dernière fut fatale: malaise jusqu'à en être malade dans les toilettes (cabine fermée = criss de tbk, c bo, jprends le lavabo!!!!!!)... Ça commençait bien mon 1er cours de 2e année officielle de DEC en cinéma. Encore mieux: le prof commença en nous invitant à aller marcher à une manifestation, Sainte-Catherine, Montréal. Le but: faire réaliser à Harper que la coupe dans les subventions pour la culture, c'est nul, voyez? Bref, on finit tous au centre-ville à se balader au grand soleil. D'environ 11h du matin (sans avoir déjeuner) jusqu'à environ 13h30, nous essayâmes d'entendre le discours pro-arts du porte-parole et cie.

2e partie (19-20 oct)
On a finit par marcher un bon 2h et par se réunir au métro Berri St-Denis. Moment: une mère a passé un coup de fil à un téléphone public. C'est banal. Puis, elle s'est mise à pleurer. Sa fille demande à parler au téléphone, elle aussi déjà en train de pleurer. Ont-elles fuient un père trop authoritaire? Est-il en prison? Parce qu'il les volait/violait/battait?
Bref, je suis revenu chez moi chambranlant... Ma fête.
Mes 20 ans. En famille. A-t-on commandé une pizz, comme d'hab? Oui, je crois. Le cadeau? M'en souviens pu... c'était drabe pour sûr...

Après avoir décidé de continuer ce texte (oublié depuis plus d'un mois et demi), j'arrêtais pas de me demander: "Mais putain! Pourquoi c'était si nul?" Et la dernière ligne du paragraphe précédent, je l'ai écrite en sachant enfin la raison. Le cadeau, c'était un étui rose en plastique cheap pour le iPod de la famille. "Si tu l'aimes pas, y en avait un noir, en cuir, mais un peu plus cher" Vous blaguez? Fanx...
Jeudi soir, j'allai me plaindre à ma chum de fille, Mélissa. Elle aussi trouve que la vie est jaune plate et qu'elle vire au brun. Au St-Sulpice, bières et Smirnoff. Discutions interminables, toujours fluides, comme respirer de l'air pur pour l'intellect. Pas de "pourquoi ça te tente pas, ce soir?" Juste parler et apprécier son interlocuteur/trice. Là, j'avais ma fête.
On a deux vies drabes, et on aime le dire ensemble.
C'était le 28 août. Il y a un an, j'avais été voir The Prime Time of My Life, i.e. Daft Punk au centre bell. Le 30 août 2008, ç'allait être Jean Leloup, Colisée de Québec. Le chiar, pour un show correct...
M'en souviendrai p'têtre pas d'mes 20 ans...

Désolé aux hôtes officieux si ça ressemble trop à un fuckazz journal.
C'est juste pour montrer que les gros chiffres, ça veut pu rien dire, en vieillissant.

vendredi 24 octobre 2008

Un feu et des plumes New wave


J'ai mal d'envie d'pas être la
Faire la fête
Créer sans cesse et finir le tout par une dance tribal qui en fini jamais... le soleil ce lève et toute la tribue se déchaîne dans l'espoire de libéré une forme d'énergie contenu de jour en jour.

Plus besoin d'être calme parce-qu'on l'ai. On ai calme et serein; une sorte d'agressivité transcendantale. Les yeux ne sont plus la pour fixer mais pour percevoir, les oreilles captes la rythmique constante et les autres sons qui permettents de s'élevé jusque sur les lunes de saturnes ou de mercure. La chaleur augmente, les coeurs battent le tempo mais personne ne pense même à arrêter la trance qui unis les différents univers-îles réunis en quête d'une liberté, d'une communion presque spirituelle.

Je pensais que c'était juste une activité social comme une autre. Je pensais qu'au pire ça devenait une expérience personnelle exclusivement. Mais finalement ont peut facilement ressentir tout ceux qui tourne autour de nous pendant un instant. Mi-sérieux, mi-grotesque, comme les tribues anciennes et leurs Shamans, sorciers et autres représentants spirituelles quelconques, les pieds tappent le sol, les mains s'agitent dans les airs sans logiques autre que cette seul et unique pulsation qui nous fait fermer les yeux, mais nous laissent tout d'même nous percevoirs les uns et les autres.

Le Vomis Lâche
Le Vomis paresseux
Mais le Vomis qui aiment à ne pas être là.

Le vomis en bagechnolle. Pt.2


C'était sick!
J'ai hâte voir le footy et un montage.

Merci encore a tout ceux qui était la ... ça décrisser pas mal. Si vous voulez la playlist dite le moi j'vais vous l'écrire quoi que je doute que vous la vouliez lol^^

La prochaine fois j'vais organiser un truc plus intime. Du genre entre 5 et 10 personnes dans une petites pièces avec des lumières de couleurs pis des divans heh.

Anyways... thanks a ceux qui ont aprécier et qui était là!

pourquoi pas?

Des obligations, des obligations, c'est comme ça la vie qu'on m'dit. Bin si c'est comme ça moi sa m'intéresse pas, FUCK THAT, j'aime mieu faire des choses amusantes que des choses PLATE. J'dois être pas normal, j'sais pas...Haha le gars veut s'amuser comment ça? Quelqu'un l'a manqué en quelque part, ça s'peut pas! Non, et si j'entends quelqu'un dire quoi que ce soit sur mon éducation familiale, j'ause même pas imaginer s'qui pourrait arriver.

Plus le temps avance et plus la vie devient chargé, rendez-vous par-ci, travail par-là, entretenir des conversations avec des gens qui ne t'intéresse pas, du temps pour toi t'en a pas. Arrêtez de m'direfaut profiter du temps qu'on est enfant, ce temps là est passé et j'peux même pas me permettre de dire ça au plus jeunes, parce que de toute façons je sais trop bien qu'ils sont pas assez vieux pour comprendre. Ils vivent au jour le jour. Finalement, c'est peut-être ça profiter de sa jeunesse... Chaque jours tu te lève et tu fais s'que tu veux, et quand ta routine de non-routine est brisée par une obligation, c'est comme si la terre entière s'écroulait, un peu comme moi en s'moment, sauf que maintenant au lieu de m'faire félicité par les gens qui me disaient de profiter de ma jeunesse avant qu'elle soit partie, je m'fais traiter de lâche et de tous croche sans but. C'est vous qui avez échangé vos rêves contre de l'argent.

Mais biensûr, puisque la masse pense autrement, je suis dans le tord, ÉVIDAMENT.

Dommage pour la masse que j'en aille RIEN À FOUTRE.

mardi 21 octobre 2008


Si le poid des responsabilitées m'écrase sans arrêt et si la haine semble être mon seul carburant pour avancer.

lundi 20 octobre 2008

Hiphop


Sofa surfers...
J,fume ma top ... ma top ... mon dernier paquet mental qy'ai pas tent le dernier que ça. J'le fume toujours toujours mon dernier paquet. Sorry Doum... j'guess que mon fuckin post a biter les post que tu fait d'habib. Anyways. Y va être pris au sérieux de toute façon. Probablement qui va être full art pis toute. Probablement que j'suis vraiment art. au dernière nouvelle j'était pas mal art. Tellement que J,ai oublier qy'avait d'autre genre et nombre dans les conjugaise de verbe. Du genre jejejejejejee... pis rien d'autre? ha peut-être! Peut etre que toi, vous , ou bien NOUS ça me rejoint pas tent. Peut être que oui. Anyways... Quand j'passe une journée de marde j'me sens pas tellement bien... pas tellement sick... mais j'men caliss en même temps. Pis quand j'passe une bonne journée j'me sens bien et vraiment chill mais j'men caliss en même temps. Mais j'men caliss en même temps. Qu'es-tce que je criss... qu'est-ce que j'attend? Probablement d'être art... mais faire trois posts en une nuit ca gosse. J,dois feeler bad j'guess. Anyways... Appart J' j'pense pas être capable de dire autre chose. Ça commence a me faire chier.

Sorry pour le plagia de post dom. Anyways... c'est excuse la sont oas destiner a toi... probablement a moi... ou a quelqu'un d'autre.

dimanche 19 octobre 2008

Le vomis en bagechnolle.


OUAIS OUAiS OUAIS!
Bon... ont dit Jeudi soir?
J'vien de décider ça rigth pine.

Okay voila les infos de façon plus officielle:

JEUDI:
jour - filming en char.
soir(9 à 10) - set d'environ une heure au parc de planche.

Au menu... nu tribal trash rave assisonné d'un peu de neo disco glitchy qui semblerais tomber dans l'itelligence dance music.
C'est un rendez-vous à tout les adeptes de 00essai.

Lazy Vomis

samedi 18 octobre 2008

J'aimerais ben.



"Quand j'avais 4 ou 5 ans j'ai fait une overdose d'identité. J'suis tellement fucker que j'ai même fait tatoué mon nom en anglais."

Des fois je rencontre des gens... plus vieux, du même âge ou ben plus jeune. Pis j'aimerais crissement ça être eux. Ou du moin avoir leur mindings. Ont me parle de pleins de trucs, ont discute, j'écoute, je rétorque. Mais chaque mots, chaque phrases et chaques idées... même si j'suis en désacord semble tellement bien assumé que j'me trouve con, vide, imprécis. C'est la que j'me demande à quoi je pense. Qu'est-ce que j'criss any fucking ways?!

vendredi 17 octobre 2008

pour le fun

le gros chu tellement fat
kdans une piscine jfait jamais dflat
(jsaute pas jai bin trop peur)
bro chu comme trop chill
que kan sjort jfait pas la file
(jdonne 20$ au doorman)
yess chu bin trop hot
paske yo jfume plein djoint dpot
(c hot ca hen)
yo chu telmment yo
ke jai mon chauffeur perso
(jpas alaise en char pi jsais pas conduire manuel)


libre a vous de continuer le rap du gars chill yo G star





nitrate d'espoir

sans progresser
je miroite
dans un reflet sans fuckin fond
j'oubli, enfin j'essaye
mais le vent me rattrape
sa me seche les dents
a un tel point que j'en crache du sang
il est gris
pas noir, pas blanc mais surtout pas rouge
j'accepte, enfin je crois
et la roue tourne
mais tourne si vite
ke jcatch pu rien
je m'asseoit
j'en profite
je sais qu'elle est la
pas trop loin
mais mon cul est trop lourd et trop bien

qu'en adviendra-t-il?

who cares

LOL a ça




LOL@ sonner comme un emoxz


no emo shit right here.

jdis juste sque jai a dire lol sa gosse les bruit msn de gurdz que tu veux pas entendre ya 3 fille qui me msn et de ces 3 filles ya 0 fille que jaimerais lire leur ESTI  de dump lol. 

I DONT GIVE A FUCK


jmen calisse ferme ta yeule crisse de torche pourquoi jsuis meme embarqué dans des histoires comme ca CALISSE. Crisse moi patience putenegre NEGRE NEGREEEE fuck you crisse ton camps vien pas FUCK YOU MANGE MOI LE PENIS PAS AVEC TES DENTS PARCONTRE. PARCE QUE SA FAIT MAL. JAI PAS LGOUT DE MSN CHAT AVEC TOI CALISSE. 

et non ce nest meme pas de LA fille que je parle LOL les filles et moi cest comme lol 

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