sans cesse

popwar

mardi 31 mars 2009

un peu plus

jai quitté les mines avec un drole de sentiment, compassion? pitier? mais avec une grande satisfaction davoir vue.
La Capitale, Sucre, est jolie...sans plus, on y rencontre des boliviens simpas qui pratique une comédie musicale : Jesus Superstar, si je ne mabuse. on mange chez la familia de la metteur en scene, de lestomac de vache, gluant, épicé, cest degeu mais jme plaint pas, jsuis linvité!
La Paz, ville des claxons et du manque doxygene, on est hauts en altitude et les cotes me fende les poumons. Célina et David, un couple qui restera gravé dans ma mémoire, ma main est gravé sur son t-shirt! on bu, fumer, danser et ri a la tonne. nous disons aurevoir a Koichi, notre bitch du Japon que nous aimions tant...
Et Hop! dans la jungle... tout ce fait en bateau, nous nourrissons des singes, nageons avec des dauphins bossus, chassons lanaconda, pechons le pirana et trapons laligator, jme sent crissment Hot! genre lavanturier la tsé! jme fait bouffer par les moustike de partout et les piqure enfle a vue doeil!
retour a Lapaz...wéwé
non loin, 3h de bus, ma fois tres restreint dans son espace pour les jambes, on arrive a Sorata, la ville dans les montagnes. Frank, 51 ans, Colombien, nous vend des affaires ki se fument, il a vecu 4 ans au québec et vie grace au deal de cocaine, il ne connais que ca! il a fait la prison et tout le tralala! mais cest un gars tellement amical et simpa, il joue la guitare comme un fou et a des idées de films qui mépatte, je dois rester en contact avec lui. jai la grippe, faudrait jarette de fumer...wéwé
Copacabana et la Isla del Sol, du soleil et de leau, jai tremper mes pied dans le lac titikaka, jen suis fier, on marche on marche, je tousse je tousse, mais piqure son encore grosse, stressssss...

Je vien darriver au Perou, a Puno plus precisement, jaime deja, ma grippe est chill, les piqure sen vont, jmennui dlamour et de jouer avec dotres amis, 4 semaine et cest fini, mais y reste dotres affaires a vivre, pas le choix!

jmennui dvous gang de poel!

Y fait asser beau pour un rêve

pis moi j'vous racompte mon rêve de hier, parce que me lever a 8h30, qui reste juste du café frette, pis que je sache pas ou est mon p'tit livre a note du genre, ça fait chier.

Ça risque d'être déconstruit, j'me rappelle moyen d'la cronologie.

J'incarne mon propre role, nous somme au moyen orient (metton, y'as du sable, pis des maison sketch, mais un peu comme sur Rachel et St-André, ok pas le moyen orient mais genre le plateau plein de sable.), ma grand mère est souffrante, elle est démante , elle habite cher moi et je travaille pour la faire vivre. Enfait, lorsque je dis que je travaille, et que je fait ce dit travail, je vois " d'une vue cartographique" le dessus de la ville avec moi comme point mauve qui se dirige vers le burger king, puis qui attend des voyous "point gris" auquel je pete la yeule (?), lorsqu'il n'y plus de point gris, le point mauve revient au point de départ.

(je vais skip les notes qui pourrais donner plus de compréhension au rêve genre les relations avec les gens de ma famille mais si sa vous interesse vraiment j'pourrais les ajouter à la fin, c'est juste que je sais pas si sa va marcher avec le flow du reve)

Je suis aussi en couple avec Jab, qui habite avec quelques gens, ces colocs disont. Elle est rès malheureuse car elle n'arrive pas a payer son loyer. Elle ne me parle jamais. Enfait, je sais aps si je suis en couple avec ou si je ne fait que l'aimer.

Je me fait un peu chier avec ce boulot pour sauver ma grand mêre quand je peu l,aider elle, cependant mon pere me "force" en venant cher moi, et me disant que ce que je fait est pour le mieux.

Les colocs de Jab me disent qu'elle vire un peu folle aussi ce qui me fout un peu la pétoche.

L'endroit ou je chill avec dumby et certain copains, nous laissons nos planches au deuxième étage, un vieux, le proprio, nous suis discrètement lorsqu'on se dirige vers le rez de chaussé, on fout rien, on se sauve un peu d'lui. Un tempête de sable et des voyons, merde nos planches! On remonte, le mec nous avais bien avertis, mais elle sont encore la. Il nous watchais pourquoi au juste?

Moi je cherche quelque choses cher Jab, avec des gens, on fait notre plan et j'ignore Jab (?), l'autre bord de l'océan, il faut y aller, pour tourner notre film. Le plan, le plan, sans Jab sans Jab.

Ma grand mère décède, je suis triste, je me sens coupable. Il faut aller tourner ce film. C'est tout ce qui compte.

Ce boulot me tue. Et pourquoi les gars du mcdo viennent manger au burger king?

"parce qu'ils ont besions de changement"

Cette maison, elle me fait penser à ceux dans lesquelle on peu tourner, wow.

Il faut rassembler tout les joyaux de lumière, ça en prend 500. fastoche, y'en a plein la plage, je prend un bout de tissue qu'on remplie puis qu'on attache au 4 coins. y'en a bien plus encore.

L'on entre dans l'océan, puis on nage, et on nage, le fond de l'eau est vert turquoise et brille. On dirait des pepittes d'or, on dirait des étoiles. Le sol est composé de corails, de verre et d'emeraudes, de joyaux. Devant moi 6 autres poissons, et on nage vers l'autre rive. Banal. Qu'est ce qui nous illumine, qu'est qui nous motive. Dèja des jour que l'on nage. Tu fuis! Jab, ou est tu. Je la vois, elle est demente, j'suis coupable. Elle est perdu quelque part ou je pourrais plus la rejoindre. Qu'est ce qui fuit, la lumière?

Arrivée sur l'autre rive, on respire! J'me sens ailleur. Le baluchon s'est défait. Partout sur cette rive, les joyaux dans l'eau et le sable.

"Vite, sa nous en prend au moins 4 ou 5 cent pour payer notre voyage de retour."

Je les cherche, je les trouve, j'en ai trouver 4-20, mais c'est asser, qu'elle me dit.

Je vois une maison, des gens au travers d'un cadre de porte, mes amis, ma mère et Jab. Ils rient. C'est un belle image dans ma tête, je suis libre. C'est bien cadré aussi. On rient.

J'entend:

"Tourner des films, ça crée des belles familles"

samedi 28 mars 2009

Je crois que j'ai compris ce qu'était la photo cette semaine. Pour moi, c'est de faire vivre quelque chose de similaire à ce que j'ai ressenti. Si la photo me fait rien, c'est perdu. J'ai 9000+ photos dans mon ordi, mais j'ai reçu un set de 24 photos aujourd'hui et j'en trouve 4-5 de belles. Dans mes 9000, je crois qu'il y en a peut-être 20 photos de j'aime particulierement. Oui le débat du film vs. le digital s'impose. Mais je m'en criss pas mal. (En fait, je crois que le numérique dilue le talent créatif par une infinité d'espace.) La photo est la science du moment. On ne jamais la photo que l'on prend, le miroir est levé. Meilleure chance la prochaine fois. Le moment présent n'est jamais vécu jusqu'au boût. Cependant, il est imprimé, mais le temps est comprimé. Qu'il soit de 1/125e de seconde, on peut le regarder une éternité. C'est triste je trouve. En même temps je crois que l'humain a besoin de se souvenir de moments qui durent 1/125e de seconde pour se construire une réalité, un monde autour de lui. La photo m'aide à le comprendre un peu plus. À le déconstruire. À le reconstruire sur papier. Je suis seulement rendu au stade de photographier des lieux, des espaces et des amis. Mon rêve est de photographier des gens, n'importe lequel, ce sont des gens qui ont une histoire. Et l'histoire est importante derrière la photo. Tout le monde devrait remplir le dos de leur photo avec de l'écriture, que ce soit en rapport ou non avec.

éRA

vendredi 27 mars 2009

Des cans de thons...

C'est tout c'qui restera à Radio-Can, dans peu de temps... Les Invincibles ont quitté New Big City avant sa destruction quasi totale. On parle de 800 postes jettés à la porte, dont près de 300 francophones. La production se fera désormais avec des équipes et des budgets réduits.
...Merci au Big Brother Harper. Maintenant, j'ai vraiment envie de décrocher d'la télé. Malheureusement, lui c'est la bonne télé qu'il veut deplugger. Bientôt, Radio-Can va devenir un TVA sans saveur. La télé qui annonçait autrefois "Une émission en Couleur" sera maintenant monochrome. ...Ben bravo coudonc... Plus loin, dans les chaînes spécialisés, il y a Musique Plus qui a viré pour Mp. "Changement de voie" disait-on. Des émissions plus recherchées pour un public plus mature. On a eu droit entre autres à Radar, animé par le plutôt juvénil Mathieu Marcotte qui m'a surpris par son audace et ses recherches très poussées (pour la première fois à la télé, j'entendais parlé de Massive Attack! Zimaginez?!). Quess qu'on en fait? Poubelle: Radar a changé de cap avec les pré-pubères Babu et Iza qui niaisent avec des vidéoclips les plus poches... Ben bravo coudonc, crisse.

Pis si au moins, yen avait plus qui se servait de leur cervelle,
On aurait dedans la belle, dedans la belllle télévisssion
Des émissions plus culturelles
Jme sentirais MOINS CON!
Ben bravo coudonc.

Scuzez-la. Jt'en crisse.
-JD
(Merci à Éra pour ses posts qui m'font réfléchir)

Mature, contre nature

Debout le matin,
je m'en vais prendre le train.
Je dois me faire esthétique avant.
Je ne dois pas perdre de temps.

Dans le fond de mes tiroirs,
germent de partout les miroirs
réfléchissant mon enfance,
une époque de transe.

Avant, je rêvais tellement
maintenant, je ne perds plus mon temps
avant, tout était jeu.
maintenant, tout est devenu sérieux.

L'apparence, la responsabilité, les préjugés,
le travail, les études, à tout moment donnés,
on a décidé que j'étais devenu prisonniers,
que je ne pouvais continuer à m'évader.

On m'a secouer de mon sommeil.
On a détruit mes merveilles.
Je veux remettre mon pyjama,
décortiquer mes rêves en amas.

Je referme brusquement mes tiroirs
Je me regarde une dernière fois dans le miroir.
Bon dieu ce que je suis différent.
J'aurais dû rester enfant.

GUAL

mardi 24 mars 2009

LV coin du Crystal Meth.


Samedi 28/mars/09

POUR LE TOURNAGE DU MÉTRAGE DE L'ÉQUIPE À RABOT.
APRÈS LE FILMING ON AURA DROIT AU DANCE PARTY TRADITIONNELLE(?) DU COIN DU MET.
VOILA.
CA L'AIR QUE LE MIX RISQUE D'ÊTRE UN PEU PLUS ROCK POP TRASH NEO-METAL 98-03.
ANYWAYS.
J'VAIS ESSEYER DE PLUGGER UN PEU D'ÉLECTRO PAS TROP GLITCHER BEN A MODE GENRE DAVID GUETTA YO.

SEE YA THERE.

lundi 23 mars 2009

Mes excuses.

God Is An Astronaut - Suicide By Star


Désolé. J'ai complètement oublié de me présenter. Sydney. Voilà. Rabot c'est un e-copain a moi. éRa et moi on se fait des partouze à l'occasion. Tout est dit. Je suis à découvert.

Découverte musicale de cette semaine : God Is An Astronaut. Putain de bon progressif. Je vous en supplie d'écouter la chanson dans son intégralité, la montée vers le rush final est ahurissant. Depuis quelques temps, je me penche beaucoup vers des bands plus instrumentaux - Godspeed You! Black Emperor, This Will Destroy You, Explosions In The Sky, pour en nommer quelques uns. C'est cool de voir comment des artistes vont communiquer un feeling ou une pensée à travers des instruments, plutôt qu'avec l'usage de la parole. Et des fois, un bon mix des deux ne fait pas de mal. Si vous avez la chance de connaître MuteMath, vous savez de quoi je parle. Et des fois, des albums comme Labyrinthes de Malajube vont me faire apprécier les bonnes séquences de keyboard avec un accompagnement qui se rapproche du hard rock.

Niveau ontologique, je crois que les moments de marde nous font plus apprécier nos highs. Ou bien alors nos highs nous font réaliser à quel point il y a pas dequoi se sentir comme une marde. Juste le fait de découvrir un CD, de partir un petit sideproject, de rencontrer quelqu'un, de faire quelque chose pour la première fois, ça nous tire du trou.

samedi 21 mars 2009

jeudi 19 mars 2009

L'attitude solitude

Vautré dans mon espace souterrain,
cloué à ma fenêtre donnant sur un paysage pixelisé,
j'écoute la collectivité des animaux crier.
Solitude parfaite, l'univers extérieur ne peut m'interpeller,
ne peut me déroger de mes pensées.
Je m'assourdis sur divers bruits

Ma solitude, source exhaustive de maux,
de questionnements, de créativité,
est imperturbable.
Je lis, je lis, je lis.
J'écris, j'écris, j'écris
Les animaux crient, crient, crient.
Je me sens uni.

Une porte s'ouvre et se ferme! Clack!
Les animaux se taisent.
On m'interpelle, on me demande de vider la commande.
Je monte, feigne un sourire, voir même un rire.
Je réponds aux questions: oui/non.
Je redescends dans mon antre.

Je ne lis plus, je n'écris plus, les animaux ne chantent plus.
Je ne pensent plus.

Gual

mardi 17 mars 2009

Post sur l'essai: Mon rejet des normes établies.

L'essai est à la base ma façon de rejeter la culture populaire. C'est essentiellement de là que tout est parti. Ça c'est rapidement mélanger avec un envie de créer quelque chose qui découle de ma pensée mais au début, quoi que l'essai en est rien de moi encore qu'à ses début, tout était un rejet immense. L'essai#1 avait pas d'autre but que d'être de l'anti-cinéma. Ça devait même pas être beau à regarder. Voila.

L'essai n'est pas une recherche de la perfection. Celle-ci doit se faire au niveau personnel et seulement par rapport à des critères personnels. Ce n'est pas le but de l'essai d'être parfait. L'essai c'est plutôt un geste radical. Jouer avec les extrêmes et les différentes possibilités pour tenter de dénicher une nouvelle esthétique en ébranlant les standarts et les acquis. Repenser les façon de faire et en les remodelants, en les ignorants, en les testants.

Je ne veut pas trop m'avancer dans la provocation gratuite lorsque je parle de rejeter la culture populaire même si elle n'est pas étrangère à l'essai. Il faut plutôt savoir ciblé les standarts et les abandonner pour nous laisser voyager a travers un imaginaire plus grand.

La première étapes selon moi c'est de pensée les choses comme elle le sont avant de nous laisser tomber dans quelconque fantaisie. Ensuite, l'imaginaire fera sentir sont besoin d'entrer en scène.

//C,est court, c'est sketch, c'est construit sur un "frême de chat" mais pour l'instant j'aimerais que l'essai soit ce qu'il est. Un feeling, un besoin de trouver quelque chose, de toucher à ce que nous sommes: des créateurs, des penseurs, des être ayant besoin de communiquer et non pas de prétendre à l'art comme étant une entité intouchable. Je veut que l'essai nous permette à notre tour de montrer non pas ce que le cinéma ou l'art devrait être mais plutôt ce qu'il est et à quel point nous voudrions faire autre chose. Du moin c'est mon sentiment. Désoler pour le manque de clareté.//

Simon Chiasson-Greffard.

lundi 16 mars 2009

C'est comme ça!

J'ai eu pas mal d'emploi que j'ai pas aimer.
J'crois que c'est pour ca que j'aime pas les emplois en général.

Merci Jo pour les saveurs radio broadcasté!

Anger Management

Animal Collective - My Girls


C'est fou à quel point la perception qu'on a d'une chanson peut changer selon le nombre de fois qu'on l'écoute. Celle-ci m'a apparu assez banale la première fois, mais ça m'a pris quelques jours avant de vraiment comprendre le mood de la chanson. Et maintenant, je peux pas aller me coucher sans faire un tour dehors, fumer une cigarette et avoir "My Girls" dans l'oreille. Le simple bruit de basse et de symbale jumelé au cri du "woooh" vers les 3min15sec me font badtripper. I don't need to seem like I care about material things. I just want four walls and adobe slabs for my girls. Je trippe.

Sur un autre sujet, je sais pas trop si j'aime mieux vivre de la rage ou rien du tout. J'en parle dans le sens que souvent, rien ne se passe dans notre vie pour un certain temps, et on se sent blasés. Dans des cas comme ça, on dirait que je souhaite que quelque chose m'arrive, n'importe quoi. Et quand des choses arrivent, on dirait que c'est jamais souhaitable non plus. Une journée entière hantée par un sentiment de colère intense ne semble pas faire l'affaire. Oui je ressens quelque chose pour une fois. Oui ça me fait vivre quelque chose de probablement inoubliable. Oui des fois on se sent plus vivant quand il y a du drama. Mais quand la colère est renforcée à chaque seconde, quand l'incompréhension de devient exponentielle, ça donne juste le goût de sacrer. Avec les pires sacres du monde.

Ceci dit, j'aimerais voir New York. Anyone in?

dimanche 15 mars 2009

Ncité?

Plan in sans transition
Centre ville au loin, toutes les lumières.
+Titre. (Ncité?)

/Cut au noir
/Première histoire

Jo Peters pisse longtemps
Ensuite Maude lui parle et lui donne une capsule.
Si pas de toilette, ça se passe derniere un
commerce, très underground taste.

Shot du métro
Ensuite ils entrent à l'appartement.
Ne couche pas ensemble
Couche ensemble mais failed
Maude crisse son camp.
Il se dessine dans un miroir.
Appelle Maude.
S'assoit dans le couloir et fume.

Travelling de ville plus musique.
Transition dans la chambre de la jeune fille.

/Deuxième histoire

Retire le CD de son lecteur
Le change (nouvelle musique)
Fait des préparatif sur son ordinateur.
Se branche et se shoot.



L//VazyVme

samedi 14 mars 2009

Road trip en quatre temps


Nouveau scénar à réaliser (en tête depuis été 2007)

Jake, Mike, Karl, Yan. « Les KKK et leur grand chef ». Saouls dans un bar miteux. 3h du matin. À la fermeture du bar, Yan voit une voiture dans le parking. Il s'approche, regarde à l'intérieur... Il réfléchie... "Hey les gars! Amnez-vous vite!! La clé est dans l'contact! On crisse not' camp!"

En cavale dans les rues de Montréal depuis plusieurs heures, les quatre ados attardés regardent le soleil se lèver au loin, derrière les gratte-ciel. Yan demande au chauffeur de les conduire chez une ancienne amie. Karl opère. Vers 8h am, Yan sonne chez la fille qui hante son esprit depuis son plus jeune âge. "Excuse moi pour cque j't'ai dit ya quinze ans... C'est con que ça aie briser notre amitié pour si longtemps..." "Ok c'est correct... Quess tu deviens? Un job? Des responsabilités? Une blonde? Une famille?" "Wooow, tout doux... Pas de SCOP pour moi... La mort au Society Control On Population."

Il a fait sa psychanalyse. Il peut partir. C'est au tour de Karl d'aller voir sa soeur, rendue junkie et monoparentale, vivant de l'argent que lui donne une chaine télévisée pour faire un reportage sur son parcours troublé.

Chaque personnage y passe. Le tout dure une très longue fin de semaine... Au bout duquel on réalise que les 4 tarés ne sont qu'un seul et unique perso, en train d'écrire son fantasme d'en finir avec ses tourments et ses fantômes.
---
Dee Junk

mercredi 11 mars 2009

Dans mon ptit coeur, y fait frette...

Dans les bécosses,
Moi jpisse d'en bas, d'en haut.
La top dans yeule,
Collée dure après mes lèvres amochées.
Sont mouillées.

Moi pis mon ptit verre de vin dans l'corps,
J'me dis qu'j'ai l'goût d'encore plus boire.
Me saouler jusqu'à la mort.
Mais j'suis fidèle à ma promesse.
J'pense à ma maitresse qui m'dit "Fais pas d'folie".
À soir, dans mon ptit coeur, y fait frette.
Mais j'pense que c'est l'bon choix qu'on a faite.

À trois heure du mat'
Chu encore fébrile, j'réalise pas trop.
J'ai l'goût d'me foutre en l'air,
Mais j'me dis que j'm'en fais trop.

La vie passe, pis la vie casse.
Ça va s'règler dans l'temps de l'dire, j'me dis.
J'te souhaite le meilleur des bonheurs.
J'me dis que j'pourrai dormir tranquille
Tant que j'pourrai sortir en ville,
Boire avec mes chums, pis fumer des pétards une fois d'temps en temps.
Jaser de cinéma, p'têtre avec toi, p'têtre tuseul.
J'me dis que j'pourrai dormir tranquille
Le jour où on va réaliser que c'tait la bonne chose à faire.

J'ai crissement pas regretté le temps passé avec toé,
Mais c'tait v'nu l'temps de s'quitter.
Tu vas voir, on va sourire.
Dans ben longtemps, ça va juste être un autre crisse de bon souvenir.

---
11 mars 2009
Jean Derome, aka le sourd junkie de toi

mardi 10 mars 2009

ecrit bien vite dans lautobus, sans sens parfois...

mine de rien, la maison est loin
cest demain que jreferai le plein
mais vers quel chemin, vers quel chemin...

tant despace a remplir
tant dinstant perdu
jpx rien garantir
jmen rapelle meme pu

jles ouvrent grand
pour rien manquer
trop peu de temps
deja lheure de rentrer

mes cellules rayonnent
a la vue des souvenirs
mes cris resonnent
que me reservent lavenir

jen veux plus dvot argent
sque jveux cest le bonheur
je lsaurai pas maintenant
yest encore de bonheur

jlaisse le vent me guider
jai confiance en lui
jme sent si leger
jferme les yeux, joubli

ce que je sais cest que jaime
et qui a rien de plus beau
peu importe ou ca me mene
on va srevoir bientot

perte

si ya bin kkchose quon fait souvent dans une vie...cest perdre...
plus je grandi et plus je perd.
tout jeune, je naimais pas le sport, je perdait toujours
je matachais a mes jouets, mais finissait par les perdre
ensuite cest au tour des proches, ils meurent, perdu...

.... cycle sans fin ...


jai perdu mon chemin
jai perdu patience
jai perdu la face
jai perdu contact
jai perdu de vue des amis
jai perdu la voix
jai perdu mon calme
jai perdu ma lucidité
jai perdu ma virginité
jai perdu son numéro de tel
jai perdu ma chance
jai perdu sa confiance

et plus sa avance plus je perd des souvenirs...
et plus jecris plus je sent que je perd mon temps...

samedi 7 mars 2009

mon ptit bout

il y a 8 jours ke jai quitter l´Argentine
jai traverser a pied la frontíere vers la Bolivie.
jsuis arriver dans une ville ou yavais pas dguichet, donc pas dmonnaie.
5 piastre le bus vers Tupissa, sa brasse en sacrament, les routes cest dla roche, il pleut.
7h de cheval dans les canyons de Tupissa, mon cheval est violent et donne sidekick aux autres, mais les paysage sont fucked up, des formation rocheuse aux formes so weirds.
jarrive a Uyuni, on se book un tour de 3 jours, nous et 2 dames argentines et un funny japonais.
le tour est fuckin la coche, on vois trop de belles choses: un desert de sel, un cimetiere de train, une ile rempli de cactus, des laguna avec de leau verte, des flamand roses et jen passe...on mange bien, on dort mal, les étoiles sont innombrable le soir dans les villes perdu dont je ne connais meme aps le noms.
a 8h on part vers Potossi, 5h am on arrive apres une crevaison et plusieurs arrets inutiles, des bébés pleurent, des papis ronfles, nous somme finalement a la station de bus, évacher par terre, mort de fatigue, taxi vers lhotel, dodo...
ce matin je suis aller visiter une mine, il i faisait si noir, les minier sont si sale, il travail fort, je leur donne des topes, du jus et des feuilles de coca, ca leur fait plaisir, mais sa parait pas dans leur face, nous sommes ensuite aller voir Le Tio (le diable) pour lui prier de bonne recolte de minerais, pas daccidents, pas deboullement, je lui jette une gouttes dalcool 96% et en boit le reste. il venere le diable puisquil sont sous terre et que dieu ne peut plue les atteindre si bas. sa sent bizzare, ma gorge est bloqué...jen sort tout chambouler...

vendredi 6 mars 2009

Stabbers par The Allen Symphony

Futile, inutile...

Écrit durant une nuit d’insomnie/après une soirée débauchée (faux mensonge)
Futile, inutile, voilà comment je me sens devant l’œuvre : futile, inutile

Il/elle critique, analyse, suggère, propose…
Moi/je regarde, observe, reste muet face à…

Futile, inutile...

Comment ne pas commettre un suicide artistique/créatif face à une telle représentation, une telle précocité, une telle ingéniosité?

Futile, inutile...

La persévérance devient la seule option, l’atteinte de la perfection ou de l’idolâtrie suit le même chemin, le parcours.

Voici mon premier écrit. Sur mes angoisses, sur mes peurs, (celle de ne jamais exceller)

Ma peur et la vôtre….

jeudi 5 mars 2009

FAIRE RUGIR LE CIEL

Papier à la main, crayon à la bouche il réfléchit. Une idée l'inspire, un sourire déchire ses lèvres de constater qu'il écrit sur une feuille lignée à l'air du web et du clavier. Rapidement il se met à rédiger:


Dans l'immensité de l'espace je pense à toi, j'arrive à percevoir ton odeur, ressentir tes peines en orbitant autour de la terre, m'éloignant de plus en plus, j'arrive encore à tous mettre sur ta faute, te mentir en me mentant et déguster le fruit tendrement. J'ai seulement à fermer les yeux pour voir ma vie défiler, quand je pense à toi, les rues enneigées et ma fierté qui tombe, dans un sens émiettée, fait rugir le ciel. Je voudrais tellement dormir. Cette épreuve était impossible, on m'a tendu un piège sans chance de m'en sortir. Tends l'oreille et entends mon coeur battre une dernière fois pour toi. La peine a vaincu la haine qui a prit le dessus sur l'amour. Voilà, la fin commence, imagines, rappelles toi de moi comme dans les beaux jours, fermes les yeux et inspire moi ce dernier soupire comme mon premier respire, jusqu'à la fin.


il reste là, contemple et se dit : "Si j'avais le pouvoir d'être invisible, j'enverrais une lettre de suicide à mes proches et amis et je les regarderais souffrir en souriant".

 Il froisse la feuille et crayon à la bouche il réfléchit, fière de lui. 

lundi 2 mars 2009

LV at the Coin du Métro SexxX LOLOLOL


Ouin ben pour une troisième fois la paresseuse régurgitation se retrouve sur les modestes platines mp3 du Coin du Métro.

Jeudi 5 mars.
9h till 3h? I guess.
Anyays... J'ai la soirée entre les mains.

Une bunch de pop music dèg pour les gens la bas.
+
Sélection de Minimal/Tech House
+
Une bonne dose de défonce inégalé avec un soupçon de NuRave/FrenchWave/NuDisco

Soyez la gang de fou.

J'pense que c'est pour l'occasion du party de mi-session de ciné! Possible?

dimanche 1 mars 2009

Lazy Vomis - Totems

Nouveau release.

Totems 09
01-Mini Indu (Mini Mix)
02-DeepDeep
03-Feu de Tlvseurs
04-Totems (Jungle Original)
05-L'initiation

Les saveurs de la jungle lumineuse que forme mon sous-sol semi-éclairé.
Dispo sur http://www.akwd.com