sans cesse

popwar

mercredi 30 septembre 2009

page sur néoffice

C'est en regardant les photos d'une jeune filles vraiment fame sur facebook que j'me suis dit que j'aimerais être autant trash et glam que elle.

J'avais imaginer un truc à propos d'elle y'a quelques mois. J'était tomber sur une photo d'elle avec une autre fille fame de facebook. Les deux étaient assises dans de grandes marches en bois franc, habillé en robe très courtes noir. Maquillage un peu sombre. J'imaginais une princesse sortie tout droit d'un compte de disney (comme le film pourri donc je me rapelle plus le titre). Elle se retrouve dans notre monde bien réel à la recherche du prince charmant. Malheureusement pour elle, elle fait rapidement la rencontre brutal du monde de la drogue et du glamour. Elle devient très instable émotionellement et commence à avoir des relations douteuses avec des garçon bien fringuer; et pourquoi pas des filles aussi glamour qu'elle tant qu'a y être!.

Voila. J'avais pas de fin a mon histoire mais j'aurais pu écrire un roman complet sur ses mésaventures. Le sexe, la cocaïne, l'alcool, les clubs innaccessible, la célébrité, etc. Trash trash trash.

J'aimerais être cette fille j'imagine. Je m'indentifie souvent avec le sexe opposés. J'aimerais être cette fille comme j'aimerais être Beth ou bien la fille de Lost in Translation. Dès fois je m'imagine étant un rôle féminin d'un film de Wong-Kar Wai, ou bien Edie Sedgwick me shootant au speed dans la factory. Mon imaginaire semble parfois dérèglé... y'a quelque chose de faux dans tout ça. Comme une envie, une insatisfaction.

Mais tout ça c'est de l'image, mon imaginaire par rapport ce que l'ont me présente. La vrai vie c'est demain de 4h30 pm a 1h am... la vrai vie c'est quand la cloche sonne deux coups indiquant le moment ou tout le monde doit aller manger, ou bien fumer. La vrai vie c'est trier des produits rapidement sans erreur. Le reste c'est de l'imaginaire.

Je savait pas quoi répondre au texte a Rob et Era alors j'ai décider d'en faire un moi même.

dimanche 27 septembre 2009

ecrivez un page sur néoffice

C'est en voyant Céline Dion dans un texte d'Érazolle que m'est venu l'idée d'utiliser son exercice pour vous expliquer ma lâcheté vis à vis l'écriture en tous genres pour en suite me rendre compte que j'irais envers la première phrase.

Il est dégouté du reste, sauf ceux qui savent entretenir son envie de mystère, d'imaginer toujours plus. Roby n'aime pas le cinéma. Il aime résoudre des problèmes, même si certain son hors de son entendement. Roby se lève de la causeuse ou est couché confortablement Gabrielle en prétextant qu'il va se moucher. Il entre dans la chambre et se glisse sous les couvertes. Il prend son téléphone et vérifie ses courriels, histoire de voir si il recevra ou vendra bientôt quoi que ce soit. Il désarme l'alarme de son cellulaire, puis le pose sur la table à son coté.

Roby court dans les montagnes, affolé. Il cherche un endroit ou se cacher. Un loup vraiment plus gros que nature l'as dans les narines, pour le dessert. Roby trouve repère dans un petite maisonnette qui n'habite personne d'autre qu'un bon copain, Antho et du matériel scientifique.

Roby se fait demander pourquoi il est là. Il réponds qu'il était fatigué, et qu'il trouvait ça emmerdant. Il se rendort.

Trois personne dans une plaine, l'un aime, les autres en demandent trop. Il ne se connaissent qu'à peine. Ils sont anonymes, comme beaucoup d'autre de là. Leur but est aussi vague que réel. Il attirent le rêve et le mystère, le futur et l'incompris. La règle d'or de l'essai, le première donnée.

Il ne rendra jamais ce qu'il voudrait. Les rares moments ou on peu s'y approcher sont sacré. On entre dans la zone. Nos désirs ont intangibles et mes phrases simples. Merci Celine, pour la pop culture.

vendredi 25 septembre 2009

Vin.

VIN#1

Elle hais et aime la vie autant que moi. À peut près au même niveau. Mais elle, elle lui manque une famille. Moi j'en ai une. elle est plus malheureuse que moi. Par contre on ai autant désespéré. Elle à tout ce que je peut désirer et tout ce que je hais en même temps. Tout ce qui m'attire et me repousse. Elle est jolie, très intelligente et créative. Complexe comme j'aime que ça sois. De l'autre côté je sais qu'elle ne supporte pas mon genre semi-impulsif et elle déteste ceux qui n'ont pas d'avenir social ou professionnel.

J,aime son corps et quand elle me parle de ses problèmes. Ses hanches sont parfaites. Son visage rempli d'amour pour les hommes et aussi pour les femmes, laisse savoir son dégout pour l'humanité en général.

Je l'aime.

Si la situation change, c'est pour toujours. Y'a pas deux retour à la case départ. Y'en a jamais eu un seul. Parler c'est tout casser. "Une femme à marier". La marier c'est détruire ma vie et perdre ce que j'ai toujours désirer.

Nous ne sommes probablement pas compatibles mais c,est celle que j'ai le plus aimer depuis mon plus que modeste 21 ans. C'est celle que je risque d'aimer encore pour un grand moment et que je vais toujours désirer.

C'est malheureux.
Savoir que c'est vouer a l'échec émotif.
Peut importe.
Elle ne voudra jamais de moi.
Elle le sais bien.

Vino get me Emo.



VIN#2

Chaque fois c'est pareille
Quand je pousse la porte la peur me prend
Me ronge du début jusqu'a la fin
Le bonheur m'envahit

Chaque fois
Chaque fois

C'est comme ça
Pas autrement
Ça fait mal comme la peur
De pas savoir comment agir

D'en faire trop
D'une minute à l'autre

jeudi 24 septembre 2009

Écrivez une histoire d'une page sur word. Courrier, 12 pts, 1.5 interligne pas plus.

Début-milieu-fin, s'il vous plaît. C'est un exercice que j'ai fait dans mon cours de STratégies de dramatisation médiatique (cours de scénarisation...) On avait des début précis, prenez ce que vous voulez ou commencer avec celui-ci. «C'est en voyant Céline Dion dans _____ que _____

C’est en voyant Céline Dion dans son vidéoclip Incognito que je me suis souvenu que mon frère s’était caché dans la sécheuse. Il était là depuis une demi-heure. Je lui avais dit de se cacher là parce que l’on jouait à la cachette et que j’avais décidé de regarder la télé à la place. Ma mère haïssait quand on se cachait dedans parce qu’un jour, elle a presque parti la sécheuse alors que ma sœur était dedans. Elle a eu la frousse de sa vie. C’est pour cela qu’on n’a plus le droit de faire ce genre de chose dans la maison. Ma mère adorait Céline Dion. Elle collectionnait des photos d’elle avec Céline qu’elle avait pris à Las Vegas. Par exemple, elle l’avait croisée après un spectacle, Céline semblait épuisé, mais a accepté quand même. René n’était pas très loin et la pressait de partir pour leur chambre d’hôtel pour qu’elle se repose. Maman a toujours dit que Céline était une fille du peuple, simple et accessible. C’est vrai, je ne sais pas combien d’autographe et de souvenirs que Céline a pu donner à ma mère en guise de cadeau après ses spectacles. Ma mère a vu au moins cinquante spectacles de Céline. Que ce soit à New York, à Montréal ou à Las Vegas, elle les a tous vus. Depuis qu’elle est partie, les affaires de ma mère traînent dans le grenier de sa maison. Personne n’a eu le courage de s’y rendre pour faire le ménage. Elle a gardé le fort le plus longtemps qu’elle pu. Aujourd’hui c’est son enterrement. Je ne sais pas si je vais retourner voir sa maison. Céline Dion ne m’intéresse pas vraiment, surtout pas son vidéoclip Incognito.

lundi 21 septembre 2009

Les films qui m'ont marqués

1.Elephant de Gus Van Sant
2.Le Sacrifice de Andrei Tarkovsky
3.Les Ordres de Michel Brault
4.Gummo de Harmony Korine
5.Lost in translation de Sofia Coppola

(en ordre)

mardi 15 septembre 2009

Lazy Vomis - Empty Flow EP


Tracks:
1. Bass test #1
2. Empty Flow
3. It's over now

Tracker:
http://thepiratebay.org/torrent/5089752/Lazy_Vomis_-_Empty_Flow_EP

Minimal pas Légit Vol.2??... naah tu me niaise!



Nope.
Plus minimaliste que jamais.

Voila le tracker les amis!
http://thepiratebay.org/torrent/5089740

lundi 14 septembre 2009

.

Le matin nous nous levons
Nous allons tous travailler pour nous même
Nous nous aidons dans nos tâches
Et nos vie nous les partageons
Au gré des heures encore jeunes.

Après avoir mangé, nous nous reposons
Et nous parlons allongés sous les arbres
Nous fabriquons des objets utiles pour demain
En échangeant potins et autres choses.

La brunante qui commence à s'installer
Nous dansons pour le soleil
Les pieds dans le sable
Les visages et les cheveux dans la lumière
Nous dansons pour le soleil.

Et ensuite nous mangeons
Le fruit du labeur du matin
Nous en sommes fière
C'est pour nous même que l'ont travail.

Le soir venu
Les anciens chantent
Certain créer les rythmes et donnent des coups
Nous dansons pour le feu
Nous buvons nos liquides

Le soir achevé
Nous nous aimons
Et nous dormons.

jeudi 10 septembre 2009

Après un certain temps c'est juste différent.

Jeune homme à son ami:
Non... après un certain temps c'est possible de faire semi-abstraction de bien des choses et de juste être deux bon amis qui prennent un café et fume une top. Mais ça prend un long moment mort ou les deux vous vous parlez pas et vous vous voyez pas. Ensuite ça peut recommencer différement. Genre... Tu oublie pas ce qui s'est passé mais ça devient plus vraiment encombrant mentalement quand vous vous parlez.

Texto:
J'ai des amies qui vont être là ça dérange?

Texto back:
Nonon c'est okay! ;)

-C'était vrai, ça me dérangeais pas même que ça enlève un peu le genre de malaise qui peut planer de temps à autre. C'est rare que ça s'installe par contre. J'ai plus de contrôle sur mes émotions maintenant que avant.-

LE BONHEUR - LA chose que tout le monde cherche, inconditionnellement.

LE SEXE - Ça rend heureux.

Jeune femme à son ami:
Je sais ce qui t'allume comme genre de fille. Les cheveux courts, brun. Grande, élancé, maigre. Avec un peu de problèmes affectifs. Faut pas que ce sois trop facile psychologiquement. Faut que ça sois un peu complexe mais pas trop.

-À un moment de la soirée j'ai fait un folie de fantaisie. "J'ai envie d'avoir des enfants et de vivre avec elle. J'me suis sentis étrange. C'était loin d'être un certitude. C'était comme un guess, quelque chose qui t'intrigue et qui te donne envie d'essayer." Maintenant quand je fini de travailler j'ai envie de parler avec elle.-

TRAVAIL - C'est long et forçant. Ça donne un sens à la fin de semaine. Ça me fait penser à Albert Camus.

FIN DE SEMAINE - C'est fait pour les cauchemars, pour savourez l'alcool et danser.

DANSER - Pas fait pour parler. C'est de l'introspection, de l'oublie. C'est parfait en tribus.

-Sur une de mes images facebook j'ai un comment: "Les filles de riches et les actrices me branche!" C'était à la blague mais bon... desfois mes blagues sont pas des blagues. J'ai aussi oublié d'ajouté la chanteuse de potishead dans ma phrase. Je sais très bien quoi faire et comment le faire. Je sais très bien ce qui risque de se passer. Je connais mes fantaisies, je m'en créer de nouvelles mais elles restes néanmoin bâties sur les mêmes bases.-

BERGMAN: Est un fou. (Semi related)

KAR-WAI: Ma vie est un film de Wong Kar-Wai au ralenti. Sans le rythme c'est plate.

mercredi 9 septembre 2009

Cicéron avait vu juste

Citons Camus à tort et à travers:
"Question: comment faire pour ne pas perdre son temps? Réponse: l'éprouver dans toute sa longueur. Moyens: passer des journées dans l'antichambre d'un dentiste, sur une chaise inconfortable; vivre à son balcon le dimanche après-midi; écouter des conférences dans une langue qu'on ne comprend pas, choisir les itinéraires de chemin de fer les plus longs et les moins commodes et voyager debout naturellement; faire la queue aux guichets des spectacles et ne pas prendre sa place, etc." -Albert Camus, La Peste

Une autre, pour le voyage en train, long et interminable:
[...] peut-être devons-nous aimer ce que nous ne pouvons pas comprendre.
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Cet après-midi, en voiture avec le paternel pour se rendre à l'université, plusieurs pensées se sont ruées dans ma tête. L'une d'elles m'a complètement figé. Mais avais-je à peine le temps d'y penser que j'avais déjà autre chose en tête. Je ne pensais plus à ce qui m'avais rendu complètement muet et abasourdi, et pourtant je l'étais encore. Entre la peur et la frustration, je fixais le vide, pensant à mes cours, aux personnes que je connais, à celles que j'ai rencontrées à l'udm, à mes textes à lire que j'ai oubliés, à la réflexion elle-même. Et j'ai eu cette pensée: "la force de l'homme, mon cher ti-Jean, c'est de ne pas se laisser écraser par la pression, c'est de la surmonter". Ti-Jean de répondre: " Et si la force de l'esprit était d'observer cette pression intérieure slash mentale?"

Ce que Camus semble dire, dans cet extrait de La Peste, c'est: regarde le temps filer lentement. Le problème c'est que je suis toujours en train de penser à toute vitesse. Les grad-schools me fichent la trouille (même si je m'y sens bien...), et c'est aussi pire que d'arriver avant un examen slash dissertation qu'on a pas préparé, avec un début de fièvre: ton cerveau rush en malade et pourtant rien ne sort, que ce soit dû au trac, à l'impossibilité de se concentrer, ou des trucs du genre. Et pour une fois, j'avais envie d'observer l'évolution de cet état de "jam cervical" et, à la limite, d'apprécier le pestacle. En vain. C'est pénible, chiant, lourd, et ça ne mène nulle part. C'est juste étonnant. On est dans un espèce de cocon, mais il n'est ni confortable ni chaud. J'irais jusqu'à dire "borderline agressant". Et pourtant, suffit de se botter UN PEU le cul, et dire un mot! ...mais, non... C'est pas que j'peux pas; c'est juste... ya rien qui sort, point.
Alors qu'est-ce qui m'a mis dans cet état??? Serait-ce que j'ai repensé à mon rêve où des jeunes pré-pubères m'appelaient pour des conseils sur le sexe, sans que je sache que j'avais laissé une pub pour ça? non... Les textes que j'avais à lire? nah, ça jm'en kaaalisse. Humm.... aaah oui ok là jme souviens! J'avais pensé à *censuré pour la bonne cause*.
Réaction: aussitôt la source de l'état pseudo comatique trouvée, le jam a cessé. J'ai recommencé à sourire aussitôt, je répondais à mon père, j'ai ouvert la fenêtre de la voiture...

Étrange, quand même...

[...] peut-être devons-nous aimer ce que nous ne pouvons pas comprendre.

---

-L'illusion du mouvement de 24 images en une seconde. Une frame, sans son= une photo. 24 frames, plusieurs photos. Est-ce la même problématique dans le vidéo et le numérique, où généralement image et son sont déjà enregistrés par le même appareil?

-Peut-on considérer la vidéo comme cinéma si elle est uniquement, ou essentiellement, destinée à être jouée sur une télévision ou un ordinateur (ex: dvd des Essais (#au hasard)), en comparaison au cinéma en pellicule destiné à être projeté sur un écran large, destiné à un public (5 personnes en montant)? La solitude à l'ère du numérique?

-La bande magnétique et les disques durs remplacent peu à peu la pellicule. Celle-ci ne peut servir qu'une seule fois, à l'instar des deux autres supports qui permettent multiples réutilisations. Est-ce une raison pour affirmer pour autant que ce n'est pas du cinéma? Selon moi, en tout cas, c'est un art qui combine son et image. Point. Qu'il y ait public ou non. Et pourtant, youtube à son lot de vidéos qui ne pourrait être qualifié "cinéma". Et pourtant, un film qui n'a tout simplement aucun son, j'y pense. Plus souvent que je ne me laisse le croire.


...
Toutes ces questions vou' nzetes 'amais posées!

Deaf Junkie,
Revolution du 9/09.
(Vous pigez la référence?)

mardi 8 septembre 2009

dumby sa devrait prendre un d majuscule mais ca veut dire tapper 2 fois de plus

Non merci pour le coup d'main si tu veux m'en donner un. 
Non merci pour ton sourire si tu veux m'en donner un, mais surtout j'espère te voir tomber te casser quelque chose de blesser tant et aussi longtemps que je suis spectateur. comme un vampire je me nourrit du sang de mes victimes parcontre jamais je suis en contacte direct avec eux. Cest un peu mon coté voyeur qui ressort. un peu le même coté voyeur qui surgissait quand on espionnaient les filles de secondaire 5 se changer dans les locaux de l'école pendant leur défiller de mode. Parlant de défiller de mode c'est moi ou si les défiller de mode sont la mode ya personne sur terre qui est à la mode? mAIS bon c'est un autre sujet. Parlant d'autre sujet vous avez vu comment j'ai commencé le début de la phrase précédente? minuscule au début majuscule le reste du mot, c'est mon clavier qui fait défaut ou jai vraiment mal pesé? HAHA vous pouvez oublier ça si vous croyez que j'vais corriger ça. J'vais pas prendre MA SOURIE, cliquer le mot, l'EFFACER et reécrire ohhhhhhhhhh non. De toute façon j'suis sur le point de cliquer "publier ce message". Quoi? J'aurais pu juste peser sur la fleche back et revenir au mot? Yavoir penser plus tôt c'est sure j'aurais fait ça mais alors sur quoi j'aurais fondé le reste de mon poste? Dans quelle direction j'aurais été? Une faute de frappe a changé le destin complet de ce poste et j'espere pour toi et ton 2 minutes que c'était pour le mieu. Ok byebye à dans 6 mois ou 6 heures, d'ici là prends le temps de te questionner sur se que tu aurais pu faire pendant ce 2 minutes mais fais attention après tu devras te poser la question qu'aurais-tu fais si tu ne t'avais pas posé cette question? mais encore là tu devras te poser la question qu'aurais tu fais si tu ne t'avais pas posé cette question?

mercredi 2 septembre 2009

tabula rasa

Oublie père et mère et monde
et tout propos


On recommence.
Aucune référence à une autre œuvre ou expérience antérieure.
Aucun respect pour tes ancêtres.
Est-ce un crime?


/wake up fuckers!



WAKE UPP!