sans cesse

popwar

samedi 29 novembre 2008

je suis coincé dans la photocopieuse. Les murs sont étroits mais long, et tout le monde lit. Ils lisent tous des romans photocopiés qui ont l'air vraiment interressants, Mais je suis un peu trop nerveux et anxieux pour me pencher et demander un bouquin a la personne qui se tient à ma droite. J'imagine que d'ici quelques minutes je me sentirai plus comfortable, je pourrais me tirer une chaise et peu être me joindre à une table pour découvrir un roman.

-Formidable !

Anyways, tout ca pour dire que Mon EP est maintenant en vente. La pochette est vraiment phoney et fragile, mais pour un 5dollars c'est la musique qui compte !

Dites-le moi si vous en voulez un exemplaire !

Send.

Le Sisteron

J'ai jamais aimé les matins, vivant dans une maison mobile, les planchers craques, les gens sont grognons et aiment pas être dérangés, il faut chuchoter, il faut bien manger, il faut baisser le son de la télé. Le matin, les gens sont marabout, endormis et sans vie, l'odeur du café qui me ronge le nez, pendant que je dois me forcer à me réveiller par moi-même. Depuis deux ans par contre, je suis un travailleur de nuit, je me lève à 3 heure de l'après-midi, vie jusqu'à 8 heure travail de 9 à 5 et m'endort vers 7 heure pour tous recommencer le lendemain (ou plutôt plus tard dans la journée). Bon vous vous dites sûrement que c'est pas si mal, que j'ai un bon train de vie, fini les matins vive l'après-midi. Je dirais oui si les fin de semaines n'était pas si détruisantes, voir les gens partir dans leur sommeil quotidien, dormir sur leur deux oreilles, me regarder, me dire bonne nuit, sourire en coin comme s'ils savaient trop bien dans quel gouffre ils me lançaient. Les gens s'endorme, les ronflements me hantes, la haine augmente pendant que ma compassion diminue. Je le sent grimper en moi, il est bien réel, et plus il prend de la place plus je me sent devenir fort, plus j'angoisse, plus il prend possession de mon corps. C'est le Sisteron, je sais il m'a parlé, il m'a dit son nom. 


Au début j'en avait peur, la première fois que j'ai croisé son regard, dans le miroir de ma salle de bain, une journée ou rien ne semblait aller bien. Il m'a rassuré, naïf comme je suis, je l'ai crue, il m'a conquis à coups de belle paroles qu'il était la pour mon bien, qu'il était mon ami. Ça c'est passé comme ça pendant quelque temps, quelques mois, ou lui et moi on c'est amusés, lui laissant de plus en plus de place dans ma vie, me faisant croire que c'est se que je voulais aussi. Jusqu'au jour ou cette jolie demoiselle a fait irruption dans ma vie. La plus belle fille que mon regard aie croisé, intéressée par moi, elle s'empara de mon coeur comme s'il était à donner. J'avais enfin trouvé la fille que j'avais besoin, et sans vraiment réfléchir, je dis à mon ami que lui et moi c'était fini, qu'il pouvait retourner de là ou il venait, que j'avais finalement une personne sur qui compter, quelqu'un de bien réel, quelqu'un à aimer. Là est l'erreur de ma vie. Dans une marre de larmes qu'il répandit, le Sisteron dit : "d'accord, qu'il en soit ainsi, si tu ne veux plus être mon ami je deviendrai ton ennemi!". Au début je souris, que peut il faire de toute façon, il n'est que le fruit de mon imagination. Cinq jours passèrent, une semaine de travail toute entière sans que j'entende parler de lui, jusqu'à ce que le Samedi matin suivant, première journée ou ma jolie fée eue couchée chez moi, je sente à mon réveil le Sisteron grimper en moi. Je n'arrivais pas à comprendre, jamais avant il n'avait tenté de sortir en présence d'autrui. Je sentis qu'il voulait faire du mal à ma fée, je lui est ordonné de s'en aller, c'est là que la lutte a commencée. de violent coups se sont donnés, tellement violent que mon corps c'est mit à trembler. Ma mère, ne sachant trop quoi penser appela l'ambulance, cela ne fit qu'empirer les choses, le Sisteron devint de plus en plus fâché et je ne pu faire autrement que de le lâcher. Soudainement je me sentis partir, le Sisteron avait gagné, une autre crise d'épilepsie et voilà c'est reparti, ils allaient m'enlever mon permis pour les douze prochain mois à venir. Alité à l'hôpital, en larmes, souhaitant mourir, il vint me chuchoter à l'oreille : "tu sais se que je veux, je sais se que tu veux, sois mon ami, je serai le tien aussi". Plus tôt j'avais comprit qu'il était plus fort que moi et essayer de résister ne ferais qu'empirer une situation déjà trop "piré" si vous me permettez l'expression. 


c'est donc comme ça que je suis devenu ce que je suis présentement, une loque humaine, une tête sans vie, les dernières goûtes de conscience qui me reste utilisées pour écrire cette lettre, avant qu'il vienne me chercher, je suis devenu sont jouet nocturne, il ne devrait pas tarder, 1:30pm, c'est habituellement sontgmnum6kb j ituyrtdgdfgbvx tekuyr u,ktjghfshte43yu7^p;ké zdsaSxz                     h

vendredi 28 novembre 2008

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La vie existe.
Si j'en ai la preuve?
J'guess que c'est le genre de truc qu'on peu affirmer sans en avoir.

Y fait chaud ici. J'ai vraiment très chaud. Ça doit être a cause de la soupe riz et poulet que je mange en ce moment. C'est vide.

Un grand calme plat... vraiment très calme... et très plat. Y'a deux ans j'ouvrai un livre. Je commencais le collège et j'me suis dit: Je m'achète un livre vierge et j'écrit mes pensées. J'ai écrit sans arrêt presque tout les jours pendant un an. J'écrivais sur tout ce qui me perturbais, sur ce qui me captivait sur le moment ou whatever.

Aujourd'hui... live maintenant a ce moment précis. J'me demande si j'suis apte a écrire. C,est sur que j'peut prendre une feuille et écrire. Mais j'ai pu l'impression que lorsque j'écrit je me parle et je sort des idées/images qui font sens a mon esprit. J'ai plus rien sur quoi écrire.

(Un jour (même plusieurs) j'ai expérimenter un état d'esprit pas très ordinaire. Ça s'apeller la dépersonnalisation. Je l'ai tellement expérimenter souvent que mes perceptions lors de ces états d'esprits étaient devenu pour moi source de réel et par le fait même, source d'inspiration. Le seul problème à provoquer ce genre de folie est que tu te paye graduellement un billet aller simple pour la schizophrénie ou bien toute autres trouble de la personnalité en lien avec la psychose).

Depuis que j'ai cesser de provoquer mon esprit... j'ai lentement perdu la fascination que j'avait devant mon incapacité a exprimer quelque chose par la parole ou l'écrit et par le fait même, perdu ce qui me captivait le plus dans mon écriture... ne pas être en mesure de bien traduire mes émotions vis-à-vis une situation ou une personne, etc.

Mon regard a changer, je suis plus critique, plus apte a créer... mais moin fasciner par mes propres actes.

Simon.
(J'aurais aimer signé Lazy Vomis)

jeudi 27 novembre 2008

La théorie de l'effet Koulechov.

(Parce qu'on me l'a demandé)

L'effet Koulechov c'est...

Une fille couchée dans son lit.
Un regard froid.
"Est-ce que je l'aime encore?"

Un joint entre deux doigts d'un chum.
Un regard froid.
"Putain que j'en aurais d'besoin, live..."

Un dude qui pense qui va révolutionner l'art cinématographique.
Regard froid.
"Crisse, y va tu s'la fermer?"

Un montage de documentaire trop pas fini.
Un regard froid.
"J'sens que si jcoule pas, chu luckeux en esti..."

...

Un texte écrit ya un boute, clean en sacrament.
Un regard froid.
"J'peux pas dépasser ça, j'arrête d'écrire pour de bon."

mercredi 26 novembre 2008

La théorie du fondu au noir.

Le fondu au noir c'est...

Moi, et mon t-shirt DeafJunkie, homemade, tout décrissé.
Moi, et ma vision pessimiste des gens que je côtoie.
Mon café frette qui goutte la merde...
Le téléphone sans fil... qui sonne en haut, dans ma chambre, quand j'suis en bas à l'ordi...
Une connection qui s'interromp de façon brutale. Jump cut.
Moi qui pisse contre un mur de Montréal. Square-Victoria.
Un char de niggas qui fade au loin, à S-F.
L'ordi qui s'éteint.
Une toune de oJo ben orchestrée.

Un enfant qui vire adulte dans un atmosphère d'éternels ados...

mardi 25 novembre 2008

Lykke Li - Breakin'it up

CECI EST UN AVIS PUBLIC.
À trop vouloir garder quelqu'un,
tu finis par l'emprisonner, par l'étouffer.
Y'a des gens comme ça, et par "ça" je veux dire "moi",
qui ont besoin de LIBERTÉ.
liberté; Nom féminin singulier
absence de contrainte
état d'une personne libre, non contrainte
état d'un individu qui n'est pas soumis à la servitude
possibilité de penser, d'agir, de s'exprimer selon ses propres choix
indépendance d'un peuple
état d'un pays gouvernant en pleine souveraineté
libertés : franchises et immunités
Tu vois? Même le mot est FÉMININ et SINGULIER.
Goodbye, i'm gone.

écriture automatique (ça fait du bien des fois)

Kuvaile tilanne tai tapahtuma tekstissä, joka järkytti 
tai ihmetellä sinua. Selitä, miten näkö-ja / tai sanallinen 
ominaisuuksia käytettiin tehdä sinusta tuntuu järkyttynyt tai 
yllättynyt. 

A järkyttävä tapahtuma elokuvaa "Heavenly Creatures" 
Ohjaus: Peter Jackson oli murhan Honora 
Rieper hänen tyttärensä Pauline ja ystäväni Juliet Hulme. 
Jackson käyttää äänen näkökulmasta kameran laukausta ja 
flash eteenpäin, jotta katsoja tuntea järkyttynyt ja 
kauhuissani murhasta. 

Käyttää ääni on ehkä parempi kuvattu kuten 
ilman ääntä. Murha kohtaus on eerily hiljaa. 
Jackson ei halua käyttää liian dramaattinen musikaali 
säestys, tai erityisen kovan äänen vaikutuksia
olisi yleensä odottaa, että ilmasto-kohtaus, joka 
elokuva. Kaikki, että katsoja kuulee on ääni ja 
tiili loisto osaksi Honora n kallo, ja tytöt 
huutaa ja huutaa kuin ne lyödä häntä. Jackson haluaa 
voimme kuulla näyttämölle Pauline ja Julia olisi. 
Kun he olivat murhaa Honora, siellä ei ollut 
orkesteri on taustalla. Jackson tekee tämän tapahtuman 
niin järkyttävää, antamalla meille kuulla sen, koska se olisi ollut 
kuuli. Murha tulee olla noin dramaattinen hetki, joka 
tarina, mutta todellinen tapauksessa, että tapahtui esivuoristo 
ja Christchurch. Se on niin järkyttävä, koska se tulee 
todellinen. 

Murha on osoittanut meille joukon näkökulmasta
kameran kuvaa, että shokki meille käy ilmi murhasta alkaen 
kaikki kolme merkkiä näkökulmista. Näemme läheltä 
laukausta ja veriset kasvot Pauline ja Julia, ja 
Honora makaa päällä, ja sen tiili on 
syrjäinen. Me emme vain kokemusta murhan kautta 
korvat läsnä, mutta Jackson häiriöihin meitä osoittamalla 
meille murhan kautta silmät myös. Kun näkee asiat 
kunkin merkin näkökulmasta, Jackson auttaa meitä 
ymmärrä, mitä merkkejä on 
tunne. Kuinka kauheaa se on ollut Honora on 
katsella hänen tyttärensä, peitetty vereen, flinging tiili 
omasta äitien pään. On järkyttävää meille, että 
tyttöjen voisi jatkaa murhan, kun näemme, 
kautta näkökulmasta laukausta, kuinka kauhea on 
ollut. Emme voi ymmärtää, miten ne voisivat sitoutua 
tällainen kauhea rikos. 

Jackson käyttää yleissopimuksen flash-välittämään edelleen 
shokki meille osoitteeseen raa'asta murhasta Honora. Vuoden 
alussa elokuva näemme, Juliet ja Pauline 
käynnissä mäkeä ylös, peitetty vereen. Pauline itkee 
"Se on äiti! She's hirvittävän loukkaantunut! "Katsoja ymmärtää 
siitä, että jotakin kauheaa on tapahtunut "äiti", ja 
Elokuvan edetessä havaitsemme suunnitelmia Pauline 
että "moider" hänen äitinsä. Mutta se on edelleen vaikea uskoa 
että hän itse suorittaa hänelle suunnitelma. Jackson käyttää 
flash eteenpäin osoittaa meille, että Pauline ei itse asiassa 
murha hänen äitinsä. Jotenkin, tietäen koko ajan, mitä 
tuloksista tulee tekee murhata vieläkin järkyttävä. 
Jackson haluaa meidän on kauhistunut siitä, että Pauline ja 
Juliet on rohkeutta mennä läpi murhan. 

Jackson tekee murhan Honora Rieper vieläkin 
järkyttävä avulla äänen näkökulmasta laukausta
ja Flash-eteenpäin. Hän osoittaa meille murhan kautta 
silmät ja korvat merkkejä, jotka auttavat meitä 
kokevat sen todellinen ja järkyttävä tavalla. Ja me 
järkyttynyt siitä, että kauhu, että me tiesimme on tulossa 
ei todella tapahtua, että Pauline ja Julia on 
tarpeeksi vihaa varten Honora mene läpi hänen murhan.

dimanche 23 novembre 2008

écriture automatique (ça fait du bien des fois)

Lavage anodin m’a attirer vers son subconscient. Dès lors j’ai compris qu’à la fin de toute chose, le rien n’est plus. Sens unique mais sans soutane je puise mes richesses dans l’artéfaque du crachoir magique. Houla, je me sent drole, qu’est ce qui m’ocru l’ascension supterfuge et divine? L’hermite peut-être? Nah, il est a l’algorithme au cent enfant et c’ette gravité jugulaire lui en a voulu pendant des portes et des tuyau. Mais qui ne l’aurait pas fait ainsi. Croire que l’on s’accouple sensiblement de la meme façon qu’un porc…c’est pitoresque mais ça vaut la chandelle. Car elle brule mais tellement sans le savoir. Sais-tu? Fardeau par-dessus phalange, il s’en ira vers l’inconnu, sans bruit, sans cape ni bouteille pour s’en laver l’armure. Mais oui, c’est claire maintenant! Victor tantouze est timbré et tu ne t’étais pas poivré. c’est si facile d’être artifice si l’on s’élance sur le coup de la chatte, mais si l’on s’octroit toute l’espace, elle t’ennivrera tel l’écarlate et givré vacancière sans crupule. Ainsi va la vie tant que vous la voyez comme traitresses et pecheresse du monde des affranchis. Sans mots…

Trouvaille et promo.

The Allen Symphony

Création de oJo. Savoureux folk aux paroles réfléchies.
Mon habileté à placer des mots un à la suite de l'autre est un peu limité, je ne saurai comment exprimer tout l,esprit et le génie derrière ses compositions, et donc, je me tais.

Milles monarques

Still pretty folk. J'écoute pas trop de indie/folk québécois, criss que j'manque dequoi. J'ai récemment entendu plus qu'un toune de Karkwa, pis la y'as eux. J'commence à y prendre goût.

Lazy Vomis

Electro Trash. Seule danse acceptable, le Zombie Dan. Chuis pas tant fan d'electro, mais j'dois avouer que j'savoure avec grand plaisir les compo plus Trash de ce cher Lazy Puke.

samedi 22 novembre 2008

Le jour ou j'ai failli mourrir comme Jim Morrison.

La langue épaissie par un nombre impressionnant de verres de vodka-punch aux fruits, je me regarde dans le miroir et ne me reconnait pas. Il y a des nuits comme celles-là, après,on sait qu'on ne saura plus pareil, et pas seulement parce que notre foie crie sa souffrance sous forme de borborygmes violents. En revenant chez moi en début d'après-midi, j'ai pris 2 advils extra-fortes et me suis couler un bain chaud. Une débarbouillette d'eau froide sur le crâne, étendue là, je me suis endormie. Je me suis endormie et ma tête a lentement glissé dans l'eau. Je me suis réveillé en sursaut, je suis vivante. (désolée jim) Mais j'aurais bien pu y rester je crois. Ça ne me ressemble pas de me défoncer comme ça, quelque chose cloche. Mon inconscient me crie de faire quelque chose et vite sinon je risque de sombrer, et pas juste dans l'eau parfumée au coconut de mon bain...Je cale donc ma boisson vitaminée comme si ça pouvait compenser d'une façon quelconque, en écoutant du Vampire Weekend. Je regarde leur vidéo coloré en me demandant ; mais ou sont donc passées mes couleurs à moi? Mon rire? Ma joie de vivre? Sûrement perdus quelque part in the land of la vie de couple, je me dis. Je me dis ; réagis.

jeudi 20 novembre 2008

souvent, j'ai eu l'impression d'écrire dans l'beurre ou de pleurer sur mon manque de confiance ambigue. Mais aujourdhui chers lecteurs, enfin depuis 4 jours, je suis non-stop sur un enregistrement de maquette qui ma fois est tellement savoureuse ! J'ai bien hate que vous soyez tous charmés par les sons qui emmanerons de vos appareil a écoute musicale.

merci d'avance d'être la pour supporter j'existe à cause des gens comme rabot et phéllé...



ojo.

mercredi 19 novembre 2008

http:/www.00essai.net


Meurci Meurci!

J'voudrais d'abord et avant toute chose indiqué la petite popularité grandissante du ce blog qui nous est tous très chère: 00essai!

A mis-chemin entre les vieux site de poésies 1998 fait par géocities, les forums d'échanges d'un jeune étudiant en lettres habitant la provence, les travaux d'arts-com et même a la limite un peu 4chan. J'dois avouer me faire un plaisir fou a lire, a poster, et a commenter.

Doum et son malin plaisir a nous provoquer de jour en jour avec ses pensées-anecdotiques cinglantes et douteuses.

Deaf Junkie et ses textes d'une longueur tel que la plupart des blogger ne lirais point mais qui ne manque pas d'un réalisme et d'un personnalisation bien à lui.

Le Félin qui fini toujours par écrire un petit message venant entre couper les autres de saveur hip-poétik nous faisant sourire en coin a chaque petite rymes.

Que dire de Allen Symphonie, qui met de l'espoir dans le 00essai en nous concoctant de petits courts textes improvisés et mystifiants.

Rabot laissant un commentaire par-ci par-là et qui je sens, n'a pas besoin de poster de messages pour s'amuser à tous nous lire sourire au lèvre ou non.

Dav... fidèle lecteur de tout les jours. Chacune de ses présences sur l'ordinateur commence par un tour d'horizon du blog.

Mlle.Art!!! nouvelle venue dans ce nouveau venu blog nous laissant sont opinion de temps à autre lorsque la verve se fait sentir.

Et je tien a ne pas oublier Fourchetta qui rira probablement un peu lorsqu'elle lira ce poste(désolez pour lé fotes d'ortogrphe fourchetta mai ci j'aurais été mélleur j'en aurais moin fète!)

See ya guys!
Keep posting everyday!
Paresse du Vomis!

mardi 18 novembre 2008

Moi je spit, pleurez, j'attaque premier niveau...

J'me revois, 

les deux ingénieurs travaillant sur les rouleaux qui transporte les caisses de bière vers la machine qui les empilles à ma job. Les deux gars prennant pas vraiment de précotions et portant pas attention à s'qui s'passe autour, trop occupés à esseyer de décoincer une caisse de travers dans le convoyeur. Je suis là, en haut, j'attends que le travail recommence, quand TOUS À COUP, j'apperçois une dizaine de caisses de 24 descendre à vive allure en direction des deux hommes. J'aurais pu faire quelque chose, j'aurais pu crier "ATTENTION", j'aurais pu agire mais je l'ai pas fait. J'aimerais vous dire que c'est parce que j'ai figé mais c'est pas ça, j'étais parfaitement conscient de s'qui se passait, je savais se qui allait arriver, et j'ai rien fait. Pourquoi? Parce que j'allais avoir ma dose de divertissement, celle que je mérite.Les caisses n'ont pas prit plus de 10 secondes pour se fracasser directement sur les 2 mains de l'ingénieur, le son de ses cries couvrant le son des sirènes d'arrêt d'urgence et le sang éclaboussant les alentours ne firent qu'emplifier mon bonheur d'avoir ENFIN s'que j'voulais, et sans la moindre émotion, fière de se que je venais d'accomplir, je suis allé m'assir sur une chaise plus loin pour apprendre par la suite que l'usine fermait pour la nuit, à fin de nettoyer l'endroit et laisser le temps au employés de se remettre de leurs émotions...

Mais ne vous en faite pas, c'était encore une fois qu'une expérience, pour connaître le seuil de tolérance à la douleur de mes confrères de travail. 

Niveau 1 completé

lundi 17 novembre 2008

Honnêtement, je dois être fou. Trop de sons d'objets et de couleurs disproportionner cohabitent avec mon concient puisqu'ils n'ont plus accès au club privé du subconscient. je ferme les yeux, je suis en sous-vêtements dans mon lit, collé près de ma copine, que j'ai d'ailleurs `choké` ce soir. Mais sporadiquement, les masses volatiles de fumigènes sans couleurs, portants avec elles l'angoisse de la folie me survolent le corps.

Une autre de mes phase de sommeils non-profond avancées, enfoncées, embutées, enterrées.
dors dors dors dors mort mord dors , dors donc calice. T'as déjà perdu suffisamment de temps à courir comme une poule morte pour faire les cent-cinquante et un trucs donc je m'en calice pour faire plaisir au roulement trop obstrué du travail et des emmerdeurs de j'me pogne le beigne. Tu cherche trop à savoir pourquoi tu ne comprend rien et pourquoi personne ne te comprends quand tu leurs déballe que tu ne peux comprendre pourquoi et/ou j'en ai rien a battre.

silence, balbutiement, silence, sarcasme.
silence et silence j'oublie et je monte une marche du sommeil.

le problème c'est que je dors chaque soirs. Done.




dimanche 16 novembre 2008

Vieillesse

Tout ce que je sais faire de ma journée, de ma vie, c'est de narrer ma journée, ma vie.
À la 3e personne? Oui, quelques fois. Avec émotions? Toujours, ça oui. Et ça entraine des suites? Des sequels? Non, mais des séquelles, oui. Quand je pense au bonheur que j'avais quand j'étais juste un kid, pis que j'avais pas à me soucier de "J'devrais-tu fumer une autre top, ou attendre?", j'me dis que j'ai vieilli pas mal con. Par contre, j'ai toujours été un esti d'hypocrite. J'souris, mon amour. Chu content que tu m'lâche un coup d'telephone en plein milieu d'mon film pour me dire que t'haïs ça quand j'te trouve belle pis que j'te l'dis. J'te l'dis pas par contre que j'haïs ça quand on est côte à côte pis que tu veux même pas m'regarder. J'me sens encore plus seul que si t'étais pas là pour m'ignorer. Au moins, j'pourrais m'imaginer que tu te soucie de moi. Parce que moi j'compte plus que toi. Que j't'écoute pas me parler de ton père pis de ses problèmes, que j'te dises à quel point t'es conne de penser juste au fric pis à l'horaire de travail, ou que j'te batte, ça a trop pas d'importance. L'important c'est que tu m'donnes l'affection que j'mérite. Ça fait quand même 19 ans que j'attendais que quelqu'un ouvre les yeux sur le fait que j'sois l'homme le plus doux et le plus sensible et que j'mérite qu'on m'aime et qu'on m'apprécie, à ma personne mais aussi à mes créations.

Moi, quand j'aurai vingt ans, je pensais que j'allais être moins con.
Moi, maintenant, je ne sais plus si je peux encore aimer une personne qui dit détester se faire aimer.
Moi, je ne pense qu'à moi. Ma survie. Mon bonheur. Mon art. Mes souvenirs. Mon enfance.
Moi, j'ai envie de me baiser, de me faire des enfants, de les étrangler, de les baiser, de la manger.
Je suis Saturne dévorant son fils, pour éviter une autre clique de mon genre.
Quand Goya a peint cette toile, le peuple criait "Vive nos chaînes".
Quand j'écris ce texte, mon "peuple" ne crie plus: il se branle. Soit en cachette de ses parents, Soit en cachette de ses enfants.

Si je ne peux plus te regarder avec des yeux compatissant et aimant,
Je ne puis plus te regarder... sans penser: tristesse, douleur, et vieillesse.
On ne se prend plus la main comme des enfants.
On se lâche la main comme des adultes.

-Rack Focus, sage petit neveu de Confucius

Essai#2 -


Thanks! Gratz Rob!
J'suis plutôt content de la présentation. Merci a ceux qui lirons ce post et qui sont venu.

Plutôt content des commentaires que nous avons eux et des discussions qui ont été généré par le visionnement.

Un grand merci a David Lamontagne qui ne cesse de m'inspirer lorsque j'ai besoin de m'exprimer dans une discussion d'après projection.

Voila j'ai tout dit!

vendredi 14 novembre 2008

la finale

J'ai écrit un poème, une sorte de texte qui tire un peu su'l'rap mais j'ai pas trop porté attention à ça. Y'a une certaine touche d'humour, j'ai d'la difficulté à échapper à ça, sa vient tous seul. Les gens aiment d'habitude cette fois parcontre, les commentaires étaient étranges, "c'est raide mais c'est bon, c'est raide mais c'est drôle... Donc, pendant quelques jours sa passe, jusqu'à ce que je fasse une crise d'épileptie à nouveau, qu'on m'alite et que je me mette à penser, à penser à tous et à rien à penser, juste pour pas trop penser. C'est là que le texte me revient en tête, ça et les commentaires bizard que j'avais eu raide-bon, raide-drôle... Comment ces deux adjectifs peuvent être ensemble pour décrire une même chose? Est-ce qu'on a tous un monstre à l'intérieur de nous, évolué à des niveaux différent? Finalement, une idée me vient en tête, je vais faire une expérience non-contrôlé sur mon entourage, tenter de connaître les limites du monstre qui se cache en eu. But ultime, me faire ban de 00essai ou me faire deleter mes posts car rapellez-vous se que Rob a marqué dans son intro de blog :j'imagine que certains posts seront dérangeant, je m'en excuse. Quelle est la limite de cette affirmation? J'aurai besoin de textes choquant, de quelque chose qui frappe fort et qui touche des sujets différent, tous considéré tabou. En plus, si le docteur me met en arrêt de travail pour 1 mois encore, QUE DE DIVERTISSEMENT. 

EDIT: Bonne nouvelle #1 on ne me met pas en arrêt de travail, mauvaise nouvelle #1 je retombe à 0 dans le décompte "1 an avant de pouvoir conduire après la dernière crise", bonne nouvelle #2 Pri m'aime vraiment 

2-1=1 LES BONNE NOUVELLES GAGNE!! Quelle belle journée


Premier texte: les homos

Sa parle beaucoup contre les homosexuels en général, sa rie d'eux, sa les rabaisse, les ridiculise. le texte à pas eu l"effet escompté, le sujet des homos est un peu banalisé, les gens en rie, encore une fois,  un peu irrité par les bons commentaires, je dois trouver quelque chose de moin beau, moin généralisé et plus stupide.


Deuxième texte: L'alcoolique au volant

Le sujet me semble bon, j'me dit j'ai juste à fitter quelques petites filles, un gars chaud en char et quelques mots méchant par-ci par là pour faire sauter un peu tous l'monde, Au pire j'm'était dit les amis les plus proche qui me connaissent bien risque de pas être dérangé mais c'est PIRE!!! PERSONNE N'A EU DE MAUVAISE RÉACTIONS. ENCORE UNE FOIS, c'est raide mais c'est drôle, c'est raide mais c'est bon.

JE FUME JE FUME

j'ai besoin d'être méchant, ce jeu devient déjà lassant. Je l'ai, fuck la structure, fuck le contexte, je drop d'la méchanceté pure et dure sure eu et je les regarde, sourire en coin, fondre comme de l'acide sur de l'allu.


Troisième texte: pèdophillie. zoophilie des pensées sombre

OUFFFF quelle réaction, cette fois j'ai vraiment touché une corde sensible de 95% des gens, HEY même les gens qui me disent ne pas être choqué disent : "Non j'suis pas choqué PARCE QUE J,SAIS QUE C'EST PAS VRAI S'QUE TU DIS" c'est claire que profondément en eux ils sont choqués. Ma blonde menace de m'laisser, Rob me diss sur msn, Phil Chill et jo pete veulent me pogner dans une ruelle sombre le soir, tous va comme prévu. Ya un seul hick, Simon qui semble pas être affecté pour 2 cennes, Il continue à me reply des GOOD JOB 

hahaha bon.... J'crois que ton monstre et le mien sont pas mal à l'âge adulte mon Simz, désolé.


Quatrième et dernier texte: l'assasinat et l'aggretion d'un p'tit gars

Ce texte j'ai pas vraiment eu l'temps de voir les réactions des gens, pourquoi? PARCE QUE ROB L'A DELETÉ ET A DELETÉ MES AUTRES TEXTES AUSSI!!!!! VICTOIREEEEEEEEE.

J'peux vous dire une chose, j'me rapelle même plus s'que j'avais écrit mais d'après l'sujet, c'était surment pas quelque chose de l'fun à lire.


Donc, pour conclure en beauté cette expérence qui n'a pas durée aussi longtemps que j'aurais cru (dieu soit loué, j'commencais à feeler croche à penser toujours à des choses aussi laide.), je dois dire que les gens sont bizard et que j'ai toujours rien compris. On lève le nez sur une fillette tué en voiture par un chauffard chaud et on pleure une fillette agressé sexuellement par un pédo. Pourquoi? Parce que le texte dans lequel je le dit est mieux structuré? 


P.S. Simz et Antho, trouvez-vous un psy et référez le moi svp salut les beuyzzzz



jeudi 13 novembre 2008

très cher lecteurs

notre cher dumby a souffert quelques problèmes niveaux censures.
pour toutes plaintes, veuillez vous adressez au commentaires.
merci.





et voila


et voila from Rabot on Vimeo.

mercredi 12 novembre 2008

Analyse d'un type no2 - sequel

Parce que toute bonne chose a une suite.

Bon, ce type est fatigué. Il est couché dans son lit, regarde la télé. Ce qui joue, c'est ce qu'il a filmé avec sa caméra vhs depuis qu'il l'a (disons 4 ou 5 ans). Ça commence avec un défilé de mode, son premier jet en tant que filmeux. Et ça paraît. Ça griche, ça bouche, il fait le rack focus sur les seins de la fille qui danse sur du hip-hop. Le type, il regarde la scène avec un haut-le-coeur. "C'est nul. Une chance que je me suis amélioré." Ah bon? Enfin, il s'est rafiné dans son style, il a trouvé son écriture, mais ça reste du caca. S'en suit une panoplie de petits souvenirs de vacances (la semaine qu'il avait passé seul avec ses parents dans un chalet miteux). Puis, une touche différente: il se voit danser et réciter de la poésie avec un comparse dans une chambre d'hotel. "Fun, ça. J'vais graver ça sur dvd pis j'vais appeler ça Dead Ol' Funk/Lazy Crap gone wild (poetry re-edit)." Après la scène finale, il tombe sur un party de chalet chez un type qu'il détestait. Malheureusement, une crampe envahit ses doigts et il est obligé de regarder 45 minutes de merde baignée de types et typettes complètement saouls après 2 coolers. Le type veut sortir son .45 et se flinguer. "Pourquoi?" se demande-t-il. C'est une erreur de jeunesse j'imagine. Ouin, exactement... M'enfin, le type reprend des forces et pèse sur ffwd jusqu'à la fin de la bobine (on l'on voit le type faire un remix d'un Essai cinématographique, puis se faire lui meme une version perso d'un essai, et encore le même fichu défilé).

Brûlé, il se mord les doigts, sort sa vingtième cigarette de la journée, l'allume, et décide de sortir ses vieux textes pour relire si ça suit l'ordre de sa cassette. Ça suit. C'est nul. "C'est d'la dompe. Il faut que je fasse de quoi de potable avant de crever." Ses premières nouvelles lui donne la gastro, ses premiers poèmes le font gerber, ses dessins impressionistes... ils les trouve réglo. "Ça suce pas trop." Il rit en lisant certains textes plus matures, verse une larme en retrouvant un texte plus vieux que vieux. Le type, il ne jettera jamais rien de tout ça. Un nostalgique.

Tout ce qui vient de se produire lui donne envie d'écrire et de créer. Mais la flamme est partie. Il a écrit ce qu'il avait à écrire. Les films qu'il a en têtes, c'est ses meilleurs nouvelles qu'il veut mettre en image. Du vieux stock. Il reste crissement pogné dans son univers d'avant. Même s'il le rend malade, par moments. La solution: créer des sequels. Tu reste dans l'univers, mais avec des situations adaptées à l'époque.

Ouais ok, reste avec tes mêmes esti de personnages. Fais tes ti montages cheapette.
C'qui reste pas trop à chier, c'est ton jam sur le key chord de sunshine, tu te dis.

Right... T'es gb, mon gars.
Le type sort au frette, s'allume une autre top. Pense à sa guit électrique qui a pas de cordes.
J'suis un cowboy; touche pas à ma guitare.

mardi 11 novembre 2008

INTERNET?



S'il vous plaît Dumb! POST RIGTH NOW RIGTH HERE!

Analyse d’un type no 2

Analyse d’un type no 2

Ce type vient de sortir d’une salle de cinéma. Sa copine était là (pour la première fois depuis 4 ou 5 semaines). Là, et maquillée. Autrement dit, jolie. Mais accompagnée de son ami (son premier vrai amour). Le type est mal à l’aise. En sortant de la salle, elle part avec son ami. Le type veut rester pour participer à la discussion qui suit les films projettes les lundis soirs. Il regarde alors sa copine partir au loin avec son ex. À l’intérieur, il est complètement bouleversé. Comme image, ya pas plus affreux…
Après la discussion, il sort prendre son autobus. Celui-ci ne passe que dans 30 minutes. Il finit sa cigarette, rentre se réchauffer. Puis… Figé là, il pense toujours à cette image. Accablé d’une musique de cirque dans sa tête, il fixe ses écouteurs et, nostalgique il fait jouer une musique triste. C’est pas les larmes, mais c’est dur pour lui. « C’est pas Tangerine, notre chanson. Ça, c’est la nôtre… » Si jamais j’écoute ça après notre rupture, pense-t-il, je vais en crever. Il n’aurait jamais cru cela possible, et pourtant…
Dans l’autobus, assis, il fait une playlist sur mesure, question de rester dans son mood. Il ferme les yeux. Ce type reste dans son monde un bon bout de temps. Disons cinq à dix minutes. Au bout desquelles il ouvre ses yeux et réalise que sa main droite est ouverte, bienveillante, mais froide d’un froid qui se réchauffe; sa main gauche, elle, est fermée en poing, comme si elle tentait de se réchauffer, sans réussir.

Le type s’analyse.
Vu que la main droite est sa principale, il suppose que sa forme ouverte et douce reflète l’impression qu’il veut laisser aux autres et à soi-même d’une personne aimante et sage. Sa main gauche représente plus son subconscient et ses envies les plus primales : son poing lui rappelle alors la soirée qu’il a passée avec sa copine, durant la fin de semaine. Une soirée de type romantique était prévue, mais elle était fatiguée. Dans le lit, durant un film qu’il avait choisi au club vidéo du coin, la copine se met à s’étendre du vicks sur le corps avec une lourdeur que le type ressent. Il décide de l’aider à lui en mettre, contrairement aux autres fois où ça l’emmerdait. « J’vais faire un bon move, pense-t-il encore, peut-être que j’vais l’avoir ma soirée romantique! » Échec. Après sa tentative, sa copine repose le pot sur sa table de chevet. Puis, elle commence à le faire rouler sur le côté. De plus en plus fort. Puis, elle le prend, le laisse tomber d’à peine un millimètre. Le laisse tomber d’à peine un millimètre. Le laisse tomber d’à peine cinq millimètre. Le laisse tomber d’environ un centimètre. Le type, épuisé, quitte la pièce. Sur le canapé du salon, il tente de penser à autre chose, de ne pas être miné par son agacement. Il entend quelque chose… Sa copine joue de plus en plus fort avec son pot. Avec une télévision qui joue à plein volume, il entend encore ce pot se fracasser contre la table de chevet. Complètement éreinté, il ferme les yeux avec force, serre les poings et vois une image qui le réveille : il avait imaginé avoir frappé à coups de poings sa copine, question de la raisonner.

Dans l’autobus, ce type garde son poing fermé et sa main ouverte. À son arrêt, il est troublé de défaire cet ordre momentané pour s’accrocher à un poteau et ouvrir la porte. Sa musique triste à souhait joue toujours. Il est rassuré en pensant à sa copine qui avait arrêté son jeu juste à temps. Mais il est toujours troublé à l’idée d’avoir imaginé la scène.

lundi 10 novembre 2008

ggjjjh

jtai comme toute tranquille
le nez collé dans l'écran
la fenêtre pop : eye phil!
sa fait donc bin longtemps

- comment tu va?
- bien toi?
- bien merci, koi dneuf?
- rien toi?
- ah pas grand chose la

...


...


...




wé wé



A court d’idée
Jme dit kchu poche
Jai beau essayer
Jmenfonce dans ma tete
Pis c creux la ddans la
Tellement creux que jvois pas lfond
Je cris des bêtises
Sans réponses
Meme l’écho ma lâché
A mtrouvais poche
J’essaye quand meme
Jtapote, jgribouille jlache keke wack
Sa sonne fucké, des fois jaime sa
Jlerfait…ah non finalement ctait pas hot
Do ré fa sol si si si la ré
Ayoye comment ki font pour etre bon eux autres
Les gars pas poches ki font dlart
Jmallume, p-e sa va mdonner des idées
Ou plus mal a gorge
Jferme mes yeux pis
L’option #2 mpop dans face
Sa mmet en criss
Fak jmécrase

Jpense a des affaires le fun :
Des ptit becs ou un rire tellement sweet
Une tape dans mite ou un headbang collectif
pis la mes levres sont comme stick position courbé up
jmen criss detre poche dans lfond, jel sais ka va etre la tantot
elle pis ses yeux
pi meme si est pas la
ya l’otre cave ou l’otre niaiseuse ki,
peut importe kelle sautise jdit kan chu sul bord de vomir,
m’apelle pour qu’on joue

sti ksé lfun jouer
jfrais sa toute ma vie
aik des mots, un ballon ou mon pen...sti ksé lfun jouer

fuck off l'inspiration, a viendra kan a l'aura faim
jlattendrai pas pour souper
anyway, jpas tu seul a table, pi lfridge yé plein


pour me racheter d'être un cinglé directement de l'asile

Un soir j'suis chez mon ami, elle m'appelle j'lui demande si elle veut coucher chez moi, ont est dans les alentours de minuit, j'lui dit j'mennuie elle me dit oui, j'vais être chez vous pour 2:00 SOIS LÀ elle me dit promet le moi jveux pas cogner. j'dis promis, la soirée continue jusqua s'que j'rèalise qu'y'est 1:54 et j'suis pas encore partie. Elle l'a jamais su mais j'ai couru comme jai jamais couru ce soir là, pas question d'être un menteur, j'suis arrivé avant elle.

Ce soir qui aurait cru
Me voir courir dans la rue
Dépasser le seuil de l'épuisement
Crier "JE L'AIME" à qui l'entends

Donne moi un p'tit quelque chose qu'ont en restent pas là
Donne moi une chance, j'ferai pas un menteur de moi
C'est impossible mais pourtant trop facile
J'arrive, crois moi, ce soir t'attendras pas

Rapelle moi ton sourire
Laisse moi une p'tite place dans ton avenir
Donne moi 100 ans, un droit d'rachat et un clin d'oeil de temps en temps
Ce soir c'est moi qui attends

Ya pas assez d'routes sur cette terre
Pour la promenade que j'tenmène faire
Pas assez d'verdure dans ce monde
Pour la beauté qu'il faut qu'j'te montre
Et si ont croisent un OVNI
T'inquiète, j'te protège promis

J'veux pas gagner c'est pire que perdre
J'veux juste qu'ont aillent se perdre, que Dieu nous cherche
Que j'te dise que t'es jolie
Que tu m'dises merci!

Rapelle moi ton sourire
Laisse moi une p'tite place dans ton avenir
Donne moi 100 ans, un droit d'rachat et un clin d'oeil de temps en temps
Ce soir c'est moi qui t'attends.

dimanche 9 novembre 2008

Dumby (Lazy RMX)



Fuck la vie, fuck l'ennuie ****** À s'qui parait si on fait le nombre de doigts doigts doigts doigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts goigts qui entre dans ton vagin divisé par ******************Être épileptique c'est pour la vie

Si le poid des responsabilitées m'écrase ///////&Après avoir tué 5 p'tites fille et si la haine semble être mon seul carburant pour ^^^^^^^^ 2 chiens et assez de p'tites grosse laides pour //**()() une pénurie de caissières au Métro





samedi 8 novembre 2008

feng shui home

Everyday I wake up to the sound of noise,
my head should be at north so its all wrong
and every furniture at home is right side up, and the colors match together

yes I do follow the pattern,
of how to be set at home
of how to keep my feng shui home
but I don't feel so good at all
since I'm alone in the kitchen
since I'm alone in the kitchen

Every morning my hair are completely messed up
but I never mind it feels just fine
and in every way when it's cahos I recognize myself
I know myself I'm just fine
I know myself I'm just fine

yes I do follow the pattern,
of how to be set at home
of how to keep my feng shui home
but I don't feel so good at all
since I'm alone in the kitchen
since I'm alone in the hallway
since there's no you in the kitchen
since there's no you in the hallway
in the hall hall hall
in the hallway.

send.
Au fond,

tout ce qu'ils ont de besoin, c'est un bateau. Une transportation antipathique et solitaire qui devrait, si le tout se passe bien, les amener où ils en ont envient au compte de quelques nœuds/secondes.

Bruit de fond tonnerres et orages boucan sons bruit rapprochés typhon, peu-être, selon les sons. Danger éminent et calvaire satirique de l'océan indien, à en croire la carte.
la carte déchire sous les orages et les bruits qui ont cessés d'approcher, ils se sont rendues. ils sont passés d'un sens intangible pour aboutir au sens le plus communément utilisé, la douleur.

Sans savoir ni comment ni pourquoi, ils n'ont soudainement plus besoin de rien. Le fardeau de la liberté qu'ils portaient tout les deux et qui était transcendé par l'objet bateau n'existe plus. Ils sont, selon ce que je constate, mort. Pourtant ils n'en savent rien. Jamais ni l'un/ni l'autre n'a été témoin du trépassement de l'autre. Comment alors moi, d'un de mes sens, puisse dire que l'esprit qui habitait c'est deux corps est morts? Ou comment même je pourrais prétendre le contraire de quelque manière soit-il ?

j'ai constaté que je ne constate jamais rien. Je ne suis qu'un corps mort qui se déplace sur un dolly relié à un manche a balais qui s'attache à ma colonne. un esprit nihiliste qui cherche à être actif mais qui semble demeurer passif.

Quelle foutaise.
Send.

FOUAKOFFF!


-I think you migth be deaf Frankie...

-What?

-You migth be deaf.

-WHAT?

You migth be deaf...

-WHAT?

-YOU ARE DEAF YOU FUCKER! WHO DO YOU THINK YOU FUCK SHITBAG!?

-...

vendredi 7 novembre 2008



territoire érité

Elle pousse encore sa cloppe jusqu'à ses levres pour en aspirer une boucane opaque qui, a son dire, tasse le stress. Le stress. Le stress. Elle est encore asise là, comme a tout les jours pendant les quinze minutes qu'elle s'obtroie pour défaire son cerveau de l'étaut qui force autour de sa boîte craniène; le monde du travail. Elle comme toi et comme moi, elle porte un name tag, ce qui donne droit au plus dâmné des chiens sales de l'appeller par son beau ptit nom quand il lui plotte les formes. De nom, elle sert les consommations alcoolisées dans un bar, de pratique elle se tue a essayer de payer ce qu'elle à dépensé sans compter, dans une vieille boîte de soulier qu'on a transformer en maison de rat pleine de pisse.

elle rêve
elle fume
elle crie
fume
tombe
tombe
fume
s'endort
rêve et crie
pour ensuite se lever
et fumer.

Pourtant elle a déjà oublier huit soirs précédent celui qu'elle est déjà en train de laisser disparaitre pour un prochain tout aussi ephemère.

Et moi je fume.

jeudi 6 novembre 2008

l'heure de rien

À l'heure du brouillard, quand y fait trop noir pour vouloir aller jouer dehors, mon corps est assis sur une chaise. J'ai eu l'idée d'en parler parce que c'est la seule base sur laquelle je peux vraiment archiver des histoires. Bref, assis sur une chaise devant une fenêtre qui, normalement donne sur une cours, mais qui donne sur le rêve ce soir. Je suis lourd et je n'y reflechi même pas.

Descente cervicale
idée nuancée,
un marteau phosphorescent
dans un bain de clous
assombrissement du train train
dans une valse du 15ieme siècle
qui pue l'esti vieillard.

Je touche pour la première fois la corde du moi qui fait que j'ai envie de me lever
pis j l'a menace de se la fermer ou de la couper.

j'ai eu des idées a propos de l'église,
mais j'en parlerai pas maintenant
j'verrai pas le but ni le temps de mettre a jour mon dégoût pour pas mal toute.

Send.


OK BYE BYE



montage 08 final sk8-wise, pomal de deja vu avec le nouveau shit plus recent.
ok bye bye l'manque d'imagination.

mardi 4 novembre 2008

leafhouse lazy mix


Leaf House h264 from Rabot on Vimeo.

same vieux footage
mix à saveur plus essai/rabot

Essai#2 + Throbbing gristle house RMx


EXPÉRIMENTAL FUTURISTIQUE HANG OUT
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Soirée chez Simz ou y'aura deux events au menu.
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Présentation de l'essai#2; ciné-vidéo trash pour les intéressés. Distanciation, voyage dans le néant, dans l'exérimental, dans l'essai.

SUIVI DE

Remix live d'un album live de Throbbing Gristle.
Le son industriel ambiant underground de 1981 mix avec du minimal,deep,prog,tech house. Le tout agrémenté d'une projection; PI, 1998, Daren Aronofsky, 84min.

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Probablement que le tout va se dérouler dans deux semaine. Reste a fixer une date et à voir si le papa de Lazy veut bien laisser cette soirée se dérouler chez lui.
J'vous revien avec la date etc etc.

Cordialement vôtre.
Vomis Paresseux.

samedi 1 novembre 2008

Thangz les boyz jvais tanter detre moin fail

J'déguste ma bière tranquillement

J'sirote tendrement, nah, j'cale, fuck that sa pas couté d'argent

Plus en extase que Wayne

Devant sa Stratocaster qui un jour elle sera sienne

Un sentiment fort de remords et d'angoisse qui m'dévore 

Quand j'me remémore s'qe l'neuro a dit

"Être épileptique c'est pour la vie

Fini les beuveries, fini l'permis, fini la poterie (what?) et sa commence aujourd'hui (OK BABYE)

Alcoolique, ouais c'est s'que j'suis

J'renies les règles établies 

"Prends pas d'alcool ou c'est la mort"

FUCK YEAH grosse salope tu viendras me pleurer

Quand mon coeur va lâcher de ça ou d'une overdose de 2 papiers

Fuck la vie, fuck l'ennuie

Fuck l'amour dans les films y nous prennes tu pour des caves?

Fuck l'ami Jo Flynn, tes mags sont tu peinturés à cacane?

Pis pendant qu'on est là, tes frites sont molles

Pis mets plus de sel, j'ai pas l'temps j'suis trop occupé à jaser avec Bell de 4 roues 2 temps

Oh fuck j'viens de drop une caisse de 12 par terre

Mais faut pas s'en faire, j'suis un bon employé

J'vais vérifier si l'produit est en bon état

J'vais faire même plus que ça

Mais ya pas d' tracas

Caleur professionnel, y s'en apercevront même pas

J'te méprise, j'te diss, j'te détruit et j'te pisse dessus

J'te traite de fils de pute parce que j'trouve sa flow bien avec mes insultes

J'me calisse de qui t'es, avec mon problême dans tête, mon avenir m'a quitté

Hey oh boulot, hey oh bourreau

En espérant qu'la police me cut taleur mek j'rentre bin chaud

Après avoir tué 5 p'tites fille, 2 chiens et assez de p'tites grosse laides pour qu'y'est une pénurie de caissières au Métro