sans cesse

popwar

samedi 28 février 2009

DFJNKPRDCTN - La Compil

Enfin le tout est empilé.
Il ne reste qu'à le distribuer.
S'agit de copier l'original.
Moi j'me retape pas tout le boulot.
Trop chiant...
Mais quelle bonheur de regarder ça :D

Dès que je crée le fichier torrent,
Je vous donne l'adresse.

P.S.: Simz. Quiconque VHS -->DiViDi
P.p.s.: le video DFJNK PRODUCTN est différent de l'autre version ^^

lundi 23 février 2009

Les mots

Plusieurs fois, toujours, dans ma vie, j'ai manqué de mots, d'expressions, de verbes, d'imagination pour raconter une histoire. N'importe qui qui me connais un peu sais de quoi je parle. Je met ça sur la faute de mes non-lectures, de mes non-écoutage-dans-les-cours-de-français. Ou simplement le fait de vouloir mieux parler la belle langue qu'est le français. Il y a une infinité de mot pour tout. J'aimerais tout les savoir, les penser, les dire pour pouvoir passer mon message clairement. Quand quelqu'un s'exprime bien, je suis jaloux automatiquement. L'élocution est quelque chose d'important dans ma vie, même si je ne maîtrise pas bien la méthode. Le discours me donne des frissons. Un enfant de 12 ans pourrait mieux s'exprimer devant une classe. Les mots, lorsqu'ils sont connus et maitrisés sont une arme beaucoup plus forte qu'un sacre crié haut et fort.  J'aimerais avoir une bonne diction. Parler comme les français, dire toutes les syllabes, lettres. Les langues sont précieuses, surtout celle que vous avez en bouche. Préservez-là. Ne la donner pas à manger comme les porcs.

Bonne nuit.


Francis «Le petit orateur» Erazola

Le Allen Connu

Salut à tous, je rappel que je suis en spectacle ce dimanche soir au bar les pas sages sur rachel en face de la banquise. C'est a 20 heures et c'est 7$....pour les enfants handicapés mentaux du camp de jour mariste.

merci. no offend.

dimanche 22 février 2009

Film à tendance apocalyptique

Laissez-moi vous montrer une vision anarchique semi-accoustique de la sci-fi... en attendant que Lazy Vee ou Rabot me montre leur scénario ^^... voici:

"The campfire headphase" - Le Film
Durée: 62min 05

Into the rainbow vein (44sec): Générique d'ouverture. C'est l'été. Du ciel clair, pan vers le bas, la forêt. Au loin, une faible pluie crée un arc-en-ciel des plus radieux...

Chromakey dreamcoat (5min 48): On se retrouve au coeur de la forêt. Plusieurs jeunes adultes (entre 25 et 35 ans, hommes et femmes) font leur chemin à travers les arbres gigantesques. Le soleil réussi à percer leur feuillage, mais personne ne perd patience/courage: ils suivent un mince ruisseau aussi pur et clair que l'air. Ils marchent toute la journée, puis s'arrêtent, forment un campement temporaire, le temps de relaxer, jouer de la guitare autour du feu et de dormir à la belle étoile. ... Alors qu'ils dorment, un satellite américain passe au-dessus du ciel étoilé. X, le leader du groupe, le remarque et s'endorme sur cette magnifique image... Le satellite en question provient du futur, d'où l'on entend des cris de mort et de panique concernant un bombardement...

Satellite Anthem Icarus (6min 05): C'est le réveil. Le vent est frais, les campeurs sont bien regénérés. Lorsqu'ils reprennent tranquilement la route, un autre satellite apparaît dans le ciel, mais son message est plus confus, peronne ne le comprend. X raconte alors aux autres celui qu'il a aperçu dans la nuit précédente. Toujours sur le chemin en sentier de la forêt, un des campeurs annonce qu'à quelques kilomètres, ils seront devant un élargissement du ruisseau où il fera bon se baigner, ce qui réjouit bien des gens. La chaleur commence à en affecter certains, mais personne ne le fait remarquer.

Peacock tail (5min 25): Arrivés à l'élargissement, X décide de plonger en premier, et attend à ce que sa copine plonge après lui, et évidemment pas la « princesse » élégante du groupe. Surprise : c’est bien elle qui saute, qui délaisse son image de paon fière, ce qui séduit X.

Dayvan cowboy (5min): Lorsqu’un camionneur roule sur une route de campagne, une attaque nucléaire se prépare… Le suspense se retient jusqu’au moment où les missiles sont lancés sur l’ensemble du pays, éliminant ainsi la majeure partie de la civilisation ainsi que quelques-uns des campeurs.

A moment of clarity (52sec): L’attaque est finie, mais les nuages de fumée créés par les bombes couvrent le ciel. X et sa troupe sont détruits par la perte qu’ils subissent.

’84 pontiac dream (3min 50): X rêve de la Pontiac de son père qui viendrait le chercher, loin de tout ce massacre.

Sherbet head (2min 42): c’est un peu la déprime au sein du groupe, mais tous restent bien ensemble.

Oscar see through red eye (5min 09): X trouve le corps d’un homme sévèrement blessé à la tête, au bord de la route. Chacun tente de faire sa part pour aider l’homme en question.

Ataronchronon (1min 14): Ils sortent enfin de la forêt. Bien que les journées se faisaient ensoleillées, la sécheresse semblait être produit par une radiation total des humains.

Hey Saturday sun (4min 57): le groupe (beaucoup plus réduit qu’au début) sont rendu en voiture, grâce à un bon samaritain qui passait par là, en voiture. Tous semblent réaliser à quel point il est étrange de voir tant de gens dehors (chaque voyageur voit un souvenir d’enfance de leurs voisins, arrosant leur pelouse, en banlieue), dans une sorte de village. X et la belle sont maintenant ensemble depuis un bon bout, sous le regard nonchalant de l’ancienne copine de X.

Constants are changing (1min 42): Il pleut à sciau, et X propose au chauffeur de conduire à sa place, sachant où aller pour continuer sur la bonne voie, afin que ce dernier prennent du repos. Scènes de discussions intérieur, parfois douces, parfois alimentées, commentées par X.

Slow this bird (6min 09): Point tournant, bien qu’étant à la presque fin du film : X décide de stationner la voiture à un motel afin de se reposer et de ne pas mettre leurs vies en danger, avec la pluie qui coule toujours. Mais voilà que, rendu dans sa chambre (avec la belle, dans la salle de bain), X, assis ou à moitié couché sur son lit, observe une vague image se diriger vers sa fenêtre. Un oiseau vient se fracasser le crâne contre la fenêtre de sa chambre! Au même moment, X perd contrôle de ses membres, a des étourdissements, et tombe du lit… Quelques membres du groupe (à peine 3) reprennent la route pour se diriger vers une pharmacie, ou une clinique, afin d’aider leur ami, qui ne semble pas voir son cas s’améliorer.

Tears for the compund eye (4min 04): X prend la forme, et en laissant le volant à sa compagne, il décide quand même d’arrêter le voyage à nouveau : cette fois-ci, c’est pour entrer dans une Église. Les autres attendent près de 5 à 10 minutes avant de tenter leur chance. X (revenu à l’entrée presqu’aussitôt) les introduit à tous les vitrails, leur signification, des informations sur le christianisme en général, et de manière absolument ébahi! Plus loin, il prend la main de sa compagne et lui demande de ressentir… l’oiseau. Elle ne comprend pas sur le coup, mais fait semblant pour ne pas l’embêter, ce que X ressent, sans en être blessé. « Juste, regarde-moi dans les yeux… » (« C’est complètement ridic… Et puis, pourquoi pas?! » pense-t-elle). Et elle lui donne exactement le regard attendu, ce qui émerveille en silence le leader de la troupe.

Farewell fire (8min 26): Les membres du groupe, à part X, rentrent dans la voiture. Celui-ci les informe qu’il continue la route seul, qu’il y a un sanctuaire non loin et qu’il préfèrerait y tenter sa chance, afin d’être vraiment heureux. Il suggère à son ancienne copine de le suivre, ce qui surprend la belle. Cette dernière demande pourquoi. Lui de répondre : « Tout au long de notre voyage, elle avait ce regard, celui que tu as su donné à la dernière minute. Je suis content que tu l’aies affiché. Profites-en et enseignes le à quelqu’un d’autre, afin que celui-ci puisse aussi l’enseigner. » …Aucune chicane, aucun haussement de voix : elle souri timidement (ébranlée) et lui souhaite bonne chance. X part.


Pour de plus amples informations:
http://bocpages.org/wiki/The_Campfire_Headphase
http://en.wikipedia.org/wiki/The_Campfire_Headphase

vendredi 20 février 2009

Art ou pas, jcrée pas plus...

Dans un récent article, j'ai dû écrire certaines choses sur moi, mais cependant, plusieurs manquent à l'appel... J'ai décrit mes passions artistiques de façon beaucoup trop sommaire, et je tenterai ici de me racheter.

Un de mes bonheurs quotidiens, c'est d'associer. Par exemple... J'me fais un rotteux dans le four grilloire et jmet le timer. Celui-ci fait "tic-tac-tic-tac"... automatiquement, jme met a tapper du doigt sur le comptoir, j'pars un beat, j'entends le scratch divaguer, et la guitare zigner. Jme créer une toune avec le ventilateur, avec des pas qui courent, des enfants qui rient pis des gens qui crient. Quand j'écoute dla miuze, en général, soit jpars des riffs absents dla toune originale, mais surtout, je vois des images.
J'crée un vidéoclip dans ma tête quand j'écoute Blue in Green, Black and White World, No money no home, etc. Et dans le cas de l'album "Campfire Headphase" de Boards of Canada, c'est juste carrément un film complet à saveur Amérique post-apocalyptique.

Le plus dur, c'est de regarder un film qui dit tout... Juste à penser à "Lumière Silencieuse" vu au cinéclub récemment... En voyant un film que je croit qui dit tout (thèmes, écriture, dialogues, images), jme dit que jpeux pas faire mieux, alors jme dis: "Fuck off, jpeux pas dépasser ça. J'arrête de faire du ciné..." Comme le fait que le seul scénario que jtrouve potable n'a pas fonctionner (j'ai tourner 2-3 scènes, le son est glitched, etc), jme tourne plutôt vers des courts métrages, sans début, sans fin... Le scénario que je réalise cette session, je l'avoue ouvertement, je le trouve pas tant bon... la fin suck en crisse, chu pas capable de voir comment jpourrais faire de quoi de potable avec. Moi jveux faire Sergio, mon mexicain à muustache molle qui joue mal de sa guit, dans les rues poussièreuses de sa ville natale, qui pense à rien sinon de faire plaisir aux passants avec sa musique maladroite.

En général, c'est à peu près la même chose pour l'écriture. Faut que jm'y remette, mais c'est ruff... Quand je lis du Salinger, ou Phelley en voyage, ou n'importe qui, j'fais souvent d'la déprime... Comment dire de quoi de différent? Et que ça soit bon?? J'associe l'écriture au cinéma, surtout en tant qu'adaptation: un bon texte, avec une bonne toune ben placée, pis des images qui touchent...

(5-10 minutes passent)

Ok là par contre j'écoute 'I Will Sing you Songs' pis jpeux juste pas penser à autre chose que la poudreuse avec des kids qui font du snowskate.... Rob... t'as faite dla crisse de bonne job sur ce video, surtout avec l'histoire qui vient avec... C'est ça que jveut faire...
Me souvenir d'un évenement dma jeunesse, l'avoir sur tape, pis foutre une toune salement ben attaché au mood.

P.s.: je dessine aussi, mais c'est pas la coche... mais étonnemnt jai trouvé 2 cahiers avec des sketchs que j'aimais crissement regarder, dont un qui me fait penser au oJo Art Style. voir cette page: http://radiovideoelectrotechno88.blogspot.com/2009/02/dessins.html

jeudi 19 février 2009

Du vomit et encore du vomit!

Mardi je décide d'aller chez gilles sans avoir meme l'idée d'etre packter.
On s'achete 2 quilles chacun(mon dieu des Quilles aurais-je 15 ans ?)
On fait les gars full fat qui boie de la biere (ou je sais pas comment sa s'appelle de la 8.5% la mais bon).
On fini par s'envoyer sa en comme 45 min les deux se qui est deja tres mal pour mon petit estomac . Ensuite la bonne idée du gars saoul qui arrive a je dirait presque chaque soirée , aller s'acheter d'autres pisse en bouteilles.
Rendu au dep jai genre un cerveau de larve, mais mon corps marche encore malheureusement . Je décide donc de m'acheter une autre 8.5% et gilles aussi.
Aussitot rentrer chez gilles , aussitot la pisse est consummer et se a une vitesse vulgurante.
Environ une demi heure apres Tremblement de terre inexpliquer, je vois un peu bizzard , les je déparle comme ta jamais vue , pas capable d'enligner un pied sur lautre.
Je décide donc avec ma jugeote de garcons naissant de m'en n'aller a pied chez nous , mais le seul hik cest que jhabite a 100 lieu de chez gilles et que j'ai juste mon chandail a manche longues vans. Je commence donc a ramper sur le chemin du retour. Apres au moi je dirait 3/4 heures de marche j'était rendu au premier stop a coter de chez gilles , mick pis yan m'offre un lift (jlai ai meme pas vue arrive en fait). J'embarque , jme rend pas trop trop compte du chemin , un moment donner pouuf maison chu dehors en avant de chez nous.

mardi 17 février 2009

Je suis un prêtre conservateur ontarien.

...
Quand ma blonde parle avec un autre gars, pour moi, c'est comme l'infidèlité... Qu'elle baise avec, c'est tant mieux pour elle, jsuis nul dans c'domaine là. Mais la jasette par contre...

Moi, mes amours, je les ai vécus par écrit, on se dit ce qu'on est, ce qu'on veut, ce qu'on ressent... On se raconte des histoires, pis on finit par se parler de tout et de rien jusqu'aux aurores. Pis là, le feeling que tu fais quelque chose de tellement nice, qui t'fait sentir bien en crisse: partager ses expériences pis ses opinions. Moi, le physique est tellement secondaire et irréel, jme sens mal presqu'à chaque fois que j'y suis confronté. Par exemple: hier, une fille me parle de sa gorge enflée par le froid/la maladie/ganglions/jsais-tu-moé! et me dis: "Touche, à quel point c enflé." J'tais genre à un mètre d'elle. A s'approche. (Crisse j'vais être obligé dla toucher, sinon a va penser qu'j'ai peur d'elle). Ça fait que j'lui ai toucher le cou. ... D'habitude, j'associe "toucher le cou" à "go! met ta main dans ses cheveux, c'est l'moment! EMBRASSE-LA, CRISSE!" ... Esti que jme sentais gamin. Tellement pas à l'aise avec sa sexualité de ti-gars qui a jamais évolué, et qui saura jamais comment s'y prendre avec une fille.

Un autre affaire: si tu baises avec une autre fille que ta blonde, c'est poche pour elle... J'viens encore de penser comme un curé... J'explique ma pensée de conservateur ontarien pogné dans l'cul: jme disais "Anyways, la baise avec une autre, c'est, jsais pas, l'adultère, mettons. C'est pas cool. Tu la trompe, ta blonde. PÉCHÉ!!" Faque c'est claire que la blonde est en crisse. Mais si le gars fait juste tomber amoureux d'une autre personne... Crisse! Non mais c tu plate faire dla peine à quequn parce que t'aime?! J'haïs vraiment ça de parler comme un flot avec tout l'temps l'esti de question du love power, mais ça me trotte tellemnt dans la tête... Meme dans mes rêves j'refuse l'avance des autres filles, de peur defaire dla peine à ma blonde! Quand j'lui ai dit ça, a m'a rit au nez...
Solution?
La théorie du panoramique latéral:
Un couple, dans un lit queen, le bras du gars par-dessus l'épaule dla fille collée sur son chest.
Pan vers la droite: costume d'écolière qui traînent sur le sol avec un télé qui passe un film de Lindsay Lohan.

...
héhé

lundi 16 février 2009

Cosmic LV SL set.


Je sais qu'ici tout le monde se criss pas mal de SL mais j'tien quand même a souligner que Jeudi y'a un event dans mon petit club virtuel que je vien de terminer.
Au menu:

Cosmic Yatsenko(Lazy V);Canada; Minimal, NuRave.
Laureen Korhonen;France; Pure tech, Hard house, Hardstep.
Frederick Heberle;France; Electropunk, FrenchWave.
Radi Rofo;Japon; Minimal tek, Minimal house.

Ca se passe au club Le sous-Sol
De 9h30am jusqu'a 3h00pm.

ceux qui sont interesser a venir jeter un coup d'oeil et écouter un peu de musique électronique mixer par quelques Djs worldwide juste contacter avec moi j'vous dit comment le tout fonctionne.
See yaaazz!

dimanche 15 février 2009

vendredi 13 février 2009

Dessin d'humeur. Humeur chiante, vraiment...

gabrielle et roby, à new york.



footy random, montage Rabot.
checker les en HD sur le site.

Nowadays even the babies got guns.


L'autre jour, avant hier, 11 février 2009, à 8h44, dans le métro, station beaubien à peu près. (l'unité de mesure du peu est une station de métro. C'est rare que l'on mesure en station de métro. Métro métro.) J'étais, avec beaucoup d'autres gens, silencieux, lecteurs, écouteurs de musique(s) et surtout muet. C'est alors que l'on arrête tous, comme à chaque station de métro prévue sur notre trajet de la vie (ligne orange) que, nous aperçevons un rassemblement syndical d'enfants. Tout le monde lève la tête comme si quelqu'un était en train de se faire tabasser à l'extérieur. C'était pour les enfants. Alors ils entrent tous et chamboulent la vie de tout ces voyageurs. Ça m'a fait bien rire. La réflexion est que tout ces gens n'avait pas l'air à vouloir que ces enfants détruisent leur petit banc de paix. Le métro est un endroit public, visité par des centaines de milliers d'usagers chaque jour, mais dans les wagons, c'est le silence complet. Ça m'impressionne. Plein de personnes, personne se regarde. Peut-être que dans ma parole il y a un discours de communautariste. Loin de moi l'idée que tout le monde devrait communiquer, et véhiculer leur petit bobos à la société, c'est que le silence dans le métro me surpasse.

On est tous des tout-seul ça ben l'air. Deux personnes qui se parlent dans le métro donne que quelqu'un écoute, comme s'il voulait valoriser la sienne. 

Je viens de recevoir un courriel du bureau de mon médecin qui dit: Comment contrer la diharée. Merci INTERNETZZZZZ.


jeudi 12 février 2009

i had a dream


de buenos aeres en passant par la terre de feu pour rejoindre bariloche, jai rencontrer un shitload de gens, tous aussi simpatique les uns des autres. non seulement les gens locaux, mais les touriste de partout a travers le monde, des australiennes Kawai, un americain hippie fan de animal collecitve, 2 irlandaises drunkass, un allemand fan de scotch, un couple de francais expert en vin, une clik d israeliens fumeux de weed, et jen passe. jme rend compte a quel point ya des gens biens partout dans le monde, a quel point ya a découvrir dans chaque culture, dans chaque etre humain, tout le monde peut nous apporter de quoi, nous apprendre, nous ouvrir les yeux, nous faire comprendre. en chacun de nous ya une histoire différente, c ca que jtrouve fucked up, on a dans un sens chacun notre culture, notre compte fantastique a qui personne na gouter! perso, ca mimpressionne...

Mais ca me fache au plus au point de voir kien a ki sont pas ouvert aux propos et gouts des autres. si tu diss constament ton frere de meme culture, kess tu va faire quand un arabe ou un juifs va venir sinstaller a coté de chez toi. quand taura ta ptite femme, tes 2 flos pi ton gros chien dans la ville que taura jamais quitter depuis ta tendre enfance. il va tellement etre con de mettre sa ptite capine ou bin son voile meme a 40 degres, en le criss de tamoul!

jai appris recement que les arabes, p-e pas de tous les pays, navait pas le choix de faire le camp militaire apres le collège. 2 ans pour les femmes et 3 pour les hommes. A 17 ans on toblige a apprendre a tuer sans penser. pas étonnant kjen ai rencontrer tant en voyage, ou qien aille une bunch qui déménage pour quitter le pays. sont pas caves tsé.

jsais pas si ske jécris a un certain sens, mais pour vrai jmen criss, ca me fait du bien dlécrire, de vous écrire!

jmennui dvous bande dartiste a 2 balles héhé

Sup#2

mercredi 11 février 2009

lundi 9 février 2009


Pourquoi la plogue de mon iPod touch est blanche alors que le iPod est noir? Le iPod est parti d'être exclusivement blanc à noir. Ça m'impressionne des trucs comme ça. Des paradigmes. Des affaires qui sont supposées rester comme ça, mais que quelqu'un change juste parce quelqu'un pense qu'il peut faire mieux.

Tsé, la crise économique. À chaque jour on entend que des centaines de personnes perdent leur emploi et on s'en fous. Ça aussi ça m'impressionne. On injecte de l'argent pour nous faire oublier que la récession est bel et bien là. On réinjecte de l'argent dans un système encore plus pourri que l'autre pour protéger un système pourri. Je me dis des fois que la simplicité volontaire doit être pas pire.

J'écris en verdana parce que c'est plus contemporain.

C'est de la marde. Je me forcerai la prochaine fois.




Ok, très urgent...

Je sais, chu late en crisse pis ça a pas rapport à 00essai, mais bon chu late pis j'panique...
J'aurai besoin d'un alter ego pour jouer mon rôle dans ma minute cinématographique (mon alter ego: taille 5p6, fumeur si possib, style classique). Si vous avez des contacts, siou plait, faites-leur parvenir le message. J'en ai besoin pour DIMANCHE (on tourne surtout en soirée mais faut jme prépare dès 13h!)!!!

Ok c bon merci.

-Deaf Junk aka LEGND-R
P.s.: chouette cover oJo.

enracinés dans leurs croyances, les parents et tuteurs crève l'imagination et l'innocence des enfants.

samedi 7 février 2009

le bout du monde

je suis les traces jaune qui me guident vers un endroit que je connais zéro. la pente devient de plus en plus abrute, mes jambes de plus en plus lourdes. jenleve mon manteau, jle remet. jmarete, prend une gorgée deau. ya dla bouette sur mes bottes, dla sueur dans mon dos pi dla morve dans le fond dma gorge. je crache, mais en vain, ma gorge est stock pareil. jdevrais tu arreter de fumer...bah...ji penserai une autre fois.

-¿holla! que tal? tu quieres vino amigos?
2 gars que nous avions rencontrer au pied de la montagne sont bien statch sur un roché et nous proposent une gorgée de vin, pourquoi ils font ca? ils ne nous connaissent meme pas? je refuse et regarde autour de moi. un immense étendu de montagne au pic eneigé mentourent. je respire mieux enfin. je ne peux marreter maintenant.

je vois de la neige au loin. jmennui dla neige, cest beau dla neige, surtout au bout du monde.

Bon! fuck off jtassez loin. une roche en guise de chaise, la vue est malade. le lac est dun bleu perçant et se marient a la perfection avec limmensité des montagnes aux loins. je làche le plus grand cri que jai jamais fait. Je lui dit que je laime...

jouvre mon cahier, 03 fevrier 2009, jecrit ce qui me passe par la tète, surtout des mots lui etant destinés, ca fait juste trois semaine, mais jmrais seulement pvoir sentir son souffle chaud dans mon coup. Il fait froid, le vent souffle, me plisse les yeux.

je cours vers la neige, elle est plus loin que ce que jaurais cru. une fois rendu, je glisse, métend, lance une balle qui se désintegre avant de toucher le sol! un vrai ptit enfant tsé...

jme sent libre et tout petit! si petit...

vendredi 6 février 2009

Moi aussi je rêve, mais rarement.

Je ferme ma deuxième vie ou je vie étrangement dans un monde complètement détruit par l'erreur nucléaire ou va savoir quoi d'autre. La bas y'a rien d'autre qui compte que survivre, parce-que tu sais jamais quand est-ce qu'un clan adverse ou juste quelqu'un de plus déranger que les autres vont te poignarder au tournant de ce qui semble toujours être le restant d'une route d'antant. Anyways... c'est pas ce qui importe vraiment. Je ferme les lumières derrière moi. J'ouvre celles de ma chambre... mon lit est pas fait: j'ai oublier de placer les couvertures que j'ai lavé durant la journée. Trop tard, je place seulement que les grosses douillettes. Là c'est le moment ou j'attend. Je fait le tour involontairement de tout ce que j'ai vue au courant de la journée, de la soirée, de la semaine, des idées que j'ai ou que j'ai pas. J'crois entendre des semblant de voix, fragment des timbres vocaux de gens que je connais ou non. C'est pas très clair tout ça. Je m'endors, sans le savoir.

Maintenant c'est la partie ou je bite Dumb.
On m'offre de la drogue, en cachets. Je peut sois prendre la pillule d'ecstasy, ou les amphets. Je prend les amphets. Ce qui était au départ un petit rond se transforme maintenant en gros carré ressemblant à un bonbon dur. C'est ça du speed? Anyways. Je croque le tout. Je décide de n'avaler que la moitier. Le morceau n'a pas le temps de déscendre jusqu'à mon estomac que ma gorge se met à enfler, ma machoir reste fixe, je suis incapable de respirer. C'est la panique complète.
Je me réveil donc comme c'était si prévisible, le visage trempe à lavette, coucher sur le ventre la tête enfouie dans mon oreiller.

Je me rendors aussitôt.
Deux femmes dans la fin trentaine dans une chambre de motel avec moi. J'suis en vacance je crois. J'en suis pas si sure, mais les deux femmes sont extrêmement jolies. Une quitte la chambre vers l'extérieur, il fait gros soleil de midi. L'autre femme s'assis sur le lit ou je m'y trouve déja. Je l'embrasse, et elle me dit qu'elle aimerais être sur le dessus. J'approuve et elle me fait l'amour d'une façon inimaginable. La femme qui était sortie frappe à la porte au moment de l'apothéose du plaisir charnel que j'éprouve. Nous prennons le temps de nous dégagé et de nous mettre sous les couverte espérant que si la femme entre, elle croira que nous dormons.

Je crois qu'à ce moment je me réveille, j'en suis incertain.

jeudi 5 février 2009

ONF.ca

Juste pour vous informer. Quelques cinéastes en devenir ici présent. 

Allez visiter ONF.ca
La grande majorité des films produits, créés ici par l'ONF est disponible gratuitement sur le net. Assez incroyable.

Bonne journée.

l'Hôtel

À fin de mieux comprendre mon histoire je vais vous raconter en détails se qui m'est arrivé, la VRAI histoire, la voici.

 Je viens d'une famille pauvre du nord de Montréal, mon père n'était jamais présent, ma mère nous couvrait tellement que j'ai jamais vraiment eu la chance de me faire des amis, l'école était pénible, les cours ennuyant, j'ai seché tellement de cours de natation que je n'arrive toujours pas à comprendre comment ils ont fait pour avoir une piscine encore pleine quand j'ai fini l'école. Les jeunes m'ont ridiculisés jusqu'à ce qu'ils déménagent tous dans de plus beaux coins du monde, tous rêvant de devenir docteurs, policiers, pompiers, astronautes ou joueurs de hockey. Moi j'avais rien devant moi, aucune éducation, aucune occupations mais surtout aucune passions. Quelques jobs par-ci par-là assez pour payer le loyer de mon appartement dans ce gigantesque hôtel de 47 étages. 


Les chambres sont grandes, l'acceuil y est chaleureux, la nourriture délicieuse. J'ai enménagé dans cette hôtel à 19 ans, dans la chambre 19108 au 19 étage. Le jour de mes 20 ans,  ont cogna à ma porte, un homme de taille moyenne portant une barbe et un chapeau cylindre m'informa qu'on me déplassait d'une étage, au 20e, au début je n'en n'ai pas trop fait de cas, et j'ai continué à vivre ma vie, appréciant ma nouvelle chambre, une grande fenêtre offrant une vue agréable sur la ville, vue, que je n'ai jamais vraiment eu le temps de prendre pour acquise, puisque le jour de mes 21 ans on cogna encore à ma porte, et encore une fois, l'homme barbue qui décidement était le garçon de chambre m'apprit qu'ont me déplassait d'une étage, au 21e. Déçu de perdre ma nouvelle chambre mais pas vraiment habitué de faire valloir mon opinion, j'ai déménagé dans ma nouvelle chambre du 21e. puis, le jour de mes 22, 23, 24, 25 ans ont continua à me faire monter d'une étage chaque fois, toujours sans raisons valable, mais de toute façon je commencais à apprécier le jeu, si bien que le jour de mes 26, 27, 28, 29, 30 ans j'avais déjà mes valises prètes quand ont m'informa  que je devais changer de chambre. 10 ans passèrent, chaque fois le jours de ma fête on me faisait changer de chambre, quelques locataires et habitués m'attendait maintenant devant ma porte, ce rituel étant devenu coutume en choquait plusieurs qui se plaignaient de mon sort, "C'EST INHUMAIN!!" criaient-ils à l'homme au chapeau cylindre. J'esseyais de les calmer en leur disant que tous cela me plaisait, peu importe, certains locataires en sont venu à déménager à cause de ça, la direction semblait pourtant ne pas s'en faire puisque le jour de mes 41, 42, 43et 44 ans ont me déplaça d'une étage encore. Le jours de mes 45 ans, L'homme à la barbe et au chapeau cylindre avait changé pour un jeune à l'allure fringuant, habillé d'un complet noir. Lorsque je lui demandis se qu'était devenu de l'homme qui était là au paravant, il ne pu me répondre. "J'sais pas moi tous s'que j'sais c'est qu'il n'est plus ici et moi j'dois vous transferer de chambre" me dit-il comme si je ne savais pas déjà se qu'il venait faire. Seul dans ma chambre, couché dans mon lit, certaines pensées commencaient à me traverser l'esprit, l'hôtel n'avait que 47 étages et soudain, le si grand bâtiment me semblait trop petit. J'avais entendu dire que le 47e n'avait aucun appartement et qu'il ne servait seulement que de salle de rangement et de bureau pour le directeur, une porte verouillé empechait d'y acceder par les escaliers et il n'existait aucun bouton 47 dans l'ascenseur c'était donc impossible de se rendre là-haut sans y être invité. 


 Les années passèrent, ma peur grandissait, mes angoisses augmentait mais une étrange attraction m'empèchait de partir. 2 ans passèrent, 2 nouveaux appartement qui semblaient de moins en moins accueillant, les rideaux de satin étaient devenu des draps de coton, les planchers de marbre dans la salle de bain s'étaient transformé en lino bon marché et le matelas du lit aurait probablement pu servir de plancher pour une troupe de danseur à claquettes , mais je ne m'en plaignais pas. Un frisson me traversais le dos par contre quand je pensais à mon sort le jour de mes 47 ans jusqu'à ce que ce jours arrive finalement, comme à l'habitude, on cogna à ma porte en après midi, un jeune homme en habit noir m'attendais, l'air nerveux, me demandant de faire mes valises, sachant trop bien qu'elles étaient déjà faites. Il monta avec moi, enfonça une clé dans la serrure, de sa main tremblante m'invita à entrer, lui, il avait reçu les ordres de ne pas venir avec moi, on m'informerais d'avantage à la porte 47108 15 mètres à ma gauche. Le couloir était froid, les néons blancs enlevaient tous le prestige de l'hôtel, les murs blancs auraient eu besoin d'un coup de pinceau et les fenêtres semblait être inexistantes. Arrivé à la chambre 47108, je cru percevoir des sons étranges émanent de l'intérieur. Une sorte de cris qui pourtant ne m'effrayait pas. après 3 coups la porte s'ouvrit. Mon coeur s'arrêta, mes pieds figèrent sur place, cette image, cette chose restera graver à jamais dans ma tête, la Peur, la vrai peur, celle avec un grand "P" celle qui vous coupe les jambes, celle qui vous glace le sang, celle qui ne s'explique pas, c'est s'que j'ai vécu cette journée là et la porte se referma sur moi me laissant dans le noir total. Que vous me croyez ou que vous ne me croyez pas n'est pas l'important, s'qui compte c'est que cette histoire soit lu quand vous me retrouverez et qu'on empêche tous les locataires de l'hôtel d'aller au 47108 du 47 étages il y  a dfes choses i ly a des choses qdans cette chambte DSE CHOSE!


Évidence No. 1

à l'attention de l'Institut Phillippe-Pinel de Montréal 


Informations sur le sujet:

Nom: Blanchette, Dominic                  

Année de naissance: 1989 20 Février

poids/taille: 185 lbs/1.86m

yeux: ----

cheveux: châtain

autres informations:

2 cicatrices sur la cheville droite

aveugle 


Commentaire:

Le détenu ayant massacré 47 personnes dont 46 résidents et 1 garçon de chambre avec une arme blanche à l'Hôtel de la tour IMB 1250 René-Levesque Ouest le jour de ses 19 ans pour ensuite s'enlever la vu avec larme en question à l'arrivé des policiers démontre des signes d'extrême agressivité, affirme être âgé de 47 ans et être prisonnier d'une chambre sans lumière.


mercredi 4 février 2009

Wire

Brancher wireless
mindless, mindful

Rempli de reflets
rempli de vecteurs
s'adressant esprit à esprit
sans rien d'autre
que des millions de lumières

Brancher wireless
mindless, mindfull

Quitter chaques heures
la prochaine sera la dernière
mais en vain
il sera tard
ou rien

Brancher deep deep
wireless 4ever

Le grand désert
coder, texturer
l'humanité inexistante
à jouer après toute destruction
dans un monde totalement détruit

Brancher wireless
mindfull, mindless.

mardi 3 février 2009

vagues et vies

Comment je suis arrivé si loin? 


J'ai longtemps souhaiter devenir quelqu'un de bien. De tous les rêves que j'me souviens, un m'a spécialement marqué. Je suis à mon école primaire, la ville complète semble s'être réunnie dans la cours, tous regardant vers l'Est l'air triste sachant exactement s'qu'y s'en vient, moi, j'essaye de comprendre mais personne ne veut m'aider. Je commence à sentir la terre trembler, le silence fait place à un vacarme infernal d'arbres et de maisons qui s'écroule qui lui même est enterré par un bruit sourd indescriptible. La peur s'empare de moi et je fige sur place. Une gigantesque vague apparaît de par dessus les arbres et les maisons voisines. Elle approche lentement vers nous, elle doit mesurer 100 km de haut, elle se rapproche, elle s'apprête à me frapper mais c'est là qu'habituellement je me réveil dans un grand choque nerveux, en sueur, avec 20 minutes de fait dans ma nuit. Ce rêve peut revenir de 3 à 4 fois par soir et sa me tue. 


Réçament, je suis arrivé à faire avancer mon moi-même de quelques pas, j'essaye de me faire tuer par la vague, car on m'a dit que mourir dans son rêve est mourir dans la vie, alors je fais le test pour vous mes amis, si un jour je meurt dans mon sommeil, peut-être que le mite était vrai. d'ici là bonne nuit, je vais bientôt manquer d'espace, prochaine étape, apprendre à sauter une clôture dans un rêve.

J'en ai aprler avec simz hier, pis met donc des titres.

gang de lazy vous autres, on fait quoi du feat. ?