sans cesse

popwar

mardi 14 octobre 2008

3:31

On étaient quatre. Moi et trois autres. Une fille qu'on avait trouver seul à l'autre bout de la ville, et deux autres gars avec qui j'avait l'habitude d'être. Un des deux était partit voir un homme qui m'est inconnu. C'était, à ce qu'il me disait de lui, un venu de l'extérieur. Il restait dans une region désertique pas très loin de la ville. L'autre était couché sur de vieux matelas pas très loin de moi. Ça fesait déja trois semaines qu'il était malade. Mais depuis trois jours le bas de son dos c'est mis à enfler et à former une sorte de bosse bien rouge qui lui empêchait presque totalement de marcher.



Alors moi et la fille ont restait là, sans se regarder, à côté de lui dans ce viel immeuble abandonner. On avaient décidé de rester ici parce-qu'on ne s'étaient pas encore fait chassé par un des gangs du coin. On avait plus rien pour se défendre. Y'avait pas deux semaine j'avait une arme. Mais je l'ai jeter après avoir tuer une femme. Je vous épargne les raisons qui m'ont poussé à faire ça. Je ne crois pas m'en souvenir. De toute façon le fusil était vide. Bref... nous avons attendu comme ça pendant plusieurs heures. J'ai dormis. Elle aussi. L'autre aussi je crois. Sa respiration ne me permetait jamais de savoir si il dormais vraiment... mais il ne se plaignait pas.

L'autre était enfin arrivé. Il nous expliquait qu'il y avait peut être moyen de guérir notre ami très mal en point. Ce genre de maladie était très fréquente. On ne savait pas qu'est-ce qui la provoquais... mais de toute façon on avait pas les moyens de savoir quoi que ce soit. Mais l'autre il savait. Du moin il connaissait quelqu'un qui connaissait quelqu'un qui savait. L'homme de l'extérieur. Il voulait nous mener là ou il habitait. Son chef pouvait le guérir. D'après ses dires. On ne savait pas trop quoi en penser moi et la fille. S'aventurer en dehors était presque aussi dangereux que de rester à l'intérieur. Après avoir bu longuement un café et fumer quelques herbes on a finalement décider que l'on tenterais le coup. De toute façon c'était pas si loin. Une journée de marche suffirait pour nous y emmener.

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