L'autre jour, avant hier, 11 février 2009, à 8h44, dans le métro, station beaubien à peu près. (l'unité de mesure du peu est une station de métro. C'est rare que l'on mesure en station de métro. Métro métro.) J'étais, avec beaucoup d'autres gens, silencieux, lecteurs, écouteurs de musique(s) et surtout muet. C'est alors que l'on arrête tous, comme à chaque station de métro prévue sur notre trajet de la vie (ligne orange) que, nous aperçevons un rassemblement syndical d'enfants. Tout le monde lève la tête comme si quelqu'un était en train de se faire tabasser à l'extérieur. C'était pour les enfants. Alors ils entrent tous et chamboulent la vie de tout ces voyageurs. Ça m'a fait bien rire. La réflexion est que tout ces gens n'avait pas l'air à vouloir que ces enfants détruisent leur petit banc de paix. Le métro est un endroit public, visité par des centaines de milliers d'usagers chaque jour, mais dans les wagons, c'est le silence complet. Ça m'impressionne. Plein de personnes, personne se regarde. Peut-être que dans ma parole il y a un discours de communautariste. Loin de moi l'idée que tout le monde devrait communiquer, et véhiculer leur petit bobos à la société, c'est que le silence dans le métro me surpasse.
On est tous des tout-seul ça ben l'air. Deux personnes qui se parlent dans le métro donne que quelqu'un écoute, comme s'il voulait valoriser la sienne.
Je viens de recevoir un courriel du bureau de mon médecin qui dit: Comment contrer la diharée. Merci INTERNETZZZZZ.
Pourquoi qui se "battaient" ses enfants?
RépondreEffacerÇa serait drôle si en plus tu savais qu'il y a un film là-dessus cette session... Le silence du métro.
RépondreEffacer