À fin de mieux comprendre mon histoire je vais vous raconter en détails se qui m'est arrivé, la VRAI histoire, la voici.
Je viens d'une famille pauvre du nord de Montréal, mon père n'était jamais présent, ma mère nous couvrait tellement que j'ai jamais vraiment eu la chance de me faire des amis, l'école était pénible, les cours ennuyant, j'ai seché tellement de cours de natation que je n'arrive toujours pas à comprendre comment ils ont fait pour avoir une piscine encore pleine quand j'ai fini l'école. Les jeunes m'ont ridiculisés jusqu'à ce qu'ils déménagent tous dans de plus beaux coins du monde, tous rêvant de devenir docteurs, policiers, pompiers, astronautes ou joueurs de hockey. Moi j'avais rien devant moi, aucune éducation, aucune occupations mais surtout aucune passions. Quelques jobs par-ci par-là assez pour payer le loyer de mon appartement dans ce gigantesque hôtel de 47 étages.
Les chambres sont grandes, l'acceuil y est chaleureux, la nourriture délicieuse. J'ai enménagé dans cette hôtel à 19 ans, dans la chambre 19108 au 19 étage. Le jour de mes 20 ans, ont cogna à ma porte, un homme de taille moyenne portant une barbe et un chapeau cylindre m'informa qu'on me déplassait d'une étage, au 20e, au début je n'en n'ai pas trop fait de cas, et j'ai continué à vivre ma vie, appréciant ma nouvelle chambre, une grande fenêtre offrant une vue agréable sur la ville, vue, que je n'ai jamais vraiment eu le temps de prendre pour acquise, puisque le jour de mes 21 ans on cogna encore à ma porte, et encore une fois, l'homme barbue qui décidement était le garçon de chambre m'apprit qu'ont me déplassait d'une étage, au 21e. Déçu de perdre ma nouvelle chambre mais pas vraiment habitué de faire valloir mon opinion, j'ai déménagé dans ma nouvelle chambre du 21e. puis, le jour de mes 22, 23, 24, 25 ans ont continua à me faire monter d'une étage chaque fois, toujours sans raisons valable, mais de toute façon je commencais à apprécier le jeu, si bien que le jour de mes 26, 27, 28, 29, 30 ans j'avais déjà mes valises prètes quand ont m'informa que je devais changer de chambre. 10 ans passèrent, chaque fois le jours de ma fête on me faisait changer de chambre, quelques locataires et habitués m'attendait maintenant devant ma porte, ce rituel étant devenu coutume en choquait plusieurs qui se plaignaient de mon sort, "C'EST INHUMAIN!!" criaient-ils à l'homme au chapeau cylindre. J'esseyais de les calmer en leur disant que tous cela me plaisait, peu importe, certains locataires en sont venu à déménager à cause de ça, la direction semblait pourtant ne pas s'en faire puisque le jour de mes 41, 42, 43et 44 ans ont me déplaça d'une étage encore. Le jours de mes 45 ans, L'homme à la barbe et au chapeau cylindre avait changé pour un jeune à l'allure fringuant, habillé d'un complet noir. Lorsque je lui demandis se qu'était devenu de l'homme qui était là au paravant, il ne pu me répondre. "J'sais pas moi tous s'que j'sais c'est qu'il n'est plus ici et moi j'dois vous transferer de chambre" me dit-il comme si je ne savais pas déjà se qu'il venait faire. Seul dans ma chambre, couché dans mon lit, certaines pensées commencaient à me traverser l'esprit, l'hôtel n'avait que 47 étages et soudain, le si grand bâtiment me semblait trop petit. J'avais entendu dire que le 47e n'avait aucun appartement et qu'il ne servait seulement que de salle de rangement et de bureau pour le directeur, une porte verouillé empechait d'y acceder par les escaliers et il n'existait aucun bouton 47 dans l'ascenseur c'était donc impossible de se rendre là-haut sans y être invité.
Les années passèrent, ma peur grandissait, mes angoisses augmentait mais une étrange attraction m'empèchait de partir. 2 ans passèrent, 2 nouveaux appartement qui semblaient de moins en moins accueillant, les rideaux de satin étaient devenu des draps de coton, les planchers de marbre dans la salle de bain s'étaient transformé en lino bon marché et le matelas du lit aurait probablement pu servir de plancher pour une troupe de danseur à claquettes , mais je ne m'en plaignais pas. Un frisson me traversais le dos par contre quand je pensais à mon sort le jour de mes 47 ans jusqu'à ce que ce jours arrive finalement, comme à l'habitude, on cogna à ma porte en après midi, un jeune homme en habit noir m'attendais, l'air nerveux, me demandant de faire mes valises, sachant trop bien qu'elles étaient déjà faites. Il monta avec moi, enfonça une clé dans la serrure, de sa main tremblante m'invita à entrer, lui, il avait reçu les ordres de ne pas venir avec moi, on m'informerais d'avantage à la porte 47108 15 mètres à ma gauche. Le couloir était froid, les néons blancs enlevaient tous le prestige de l'hôtel, les murs blancs auraient eu besoin d'un coup de pinceau et les fenêtres semblait être inexistantes. Arrivé à la chambre 47108, je cru percevoir des sons étranges émanent de l'intérieur. Une sorte de cris qui pourtant ne m'effrayait pas. après 3 coups la porte s'ouvrit. Mon coeur s'arrêta, mes pieds figèrent sur place, cette image, cette chose restera graver à jamais dans ma tête, la Peur, la vrai peur, celle avec un grand "P" celle qui vous coupe les jambes, celle qui vous glace le sang, celle qui ne s'explique pas, c'est s'que j'ai vécu cette journée là et la porte se referma sur moi me laissant dans le noir total. Que vous me croyez ou que vous ne me croyez pas n'est pas l'important, s'qui compte c'est que cette histoire soit lu quand vous me retrouverez et qu'on empêche tous les locataires de l'hôtel d'aller au 47108 du 47 étages il y a dfes choses i ly a des choses qdans cette chambte DSE CHOSE!
Évidence No. 1
à l'attention de l'Institut Phillippe-Pinel de Montréal
Informations sur le sujet:
Nom: Blanchette, Dominic
Année de naissance: 1989 20 Février
poids/taille: 185 lbs/1.86m
yeux: ----
cheveux: châtain
autres informations:
2 cicatrices sur la cheville droite
aveugle
Commentaire:
Le détenu ayant massacré 47 personnes dont 46 résidents et 1 garçon de chambre avec une arme blanche à l'Hôtel de la tour IMB 1250 René-Levesque Ouest le jour de ses 19 ans pour ensuite s'enlever la vu avec larme en question à l'arrivé des policiers démontre des signes d'extrême agressivité, affirme être âgé de 47 ans et être prisonnier d'une chambre sans lumière.
God, damnée.
RépondreEffacerJ'ai été foutrement stressé par tout ça. J'ai besoin de relire tout ça, maintenant.
J'vais essayer de faire le lien avec la fin, quoi que j'en vois simili un.
Mais sans blague, wow.
....Bravo. Honnêtement, le seul de tes textes qui m'a intrigué avec un certain suspense, sans que jme sente mal pour autant.
RépondreEffacerVive l'autofiction !
tu comprends pas, YA DES CHSOES!!24!Q
RépondreEffacerTout au long je m'attendais a bien des trucs. J'esseyais d'anticiper la fin tout en lisant. J,ai imaginer bien des trucs, mais pas ça.
RépondreEffacergR8/
good job!
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