Je ferme ma deuxième vie ou je vie étrangement dans un monde complètement détruit par l'erreur nucléaire ou va savoir quoi d'autre. La bas y'a rien d'autre qui compte que survivre, parce-que tu sais jamais quand est-ce qu'un clan adverse ou juste quelqu'un de plus déranger que les autres vont te poignarder au tournant de ce qui semble toujours être le restant d'une route d'antant. Anyways... c'est pas ce qui importe vraiment. Je ferme les lumières derrière moi. J'ouvre celles de ma chambre... mon lit est pas fait: j'ai oublier de placer les couvertures que j'ai lavé durant la journée. Trop tard, je place seulement que les grosses douillettes. Là c'est le moment ou j'attend. Je fait le tour involontairement de tout ce que j'ai vue au courant de la journée, de la soirée, de la semaine, des idées que j'ai ou que j'ai pas. J'crois entendre des semblant de voix, fragment des timbres vocaux de gens que je connais ou non. C'est pas très clair tout ça. Je m'endors, sans le savoir.
Maintenant c'est la partie ou je bite Dumb.
On m'offre de la drogue, en cachets. Je peut sois prendre la pillule d'ecstasy, ou les amphets. Je prend les amphets. Ce qui était au départ un petit rond se transforme maintenant en gros carré ressemblant à un bonbon dur. C'est ça du speed? Anyways. Je croque le tout. Je décide de n'avaler que la moitier. Le morceau n'a pas le temps de déscendre jusqu'à mon estomac que ma gorge se met à enfler, ma machoir reste fixe, je suis incapable de respirer. C'est la panique complète.
Je me réveil donc comme c'était si prévisible, le visage trempe à lavette, coucher sur le ventre la tête enfouie dans mon oreiller.
Je me rendors aussitôt.
Deux femmes dans la fin trentaine dans une chambre de motel avec moi. J'suis en vacance je crois. J'en suis pas si sure, mais les deux femmes sont extrêmement jolies. Une quitte la chambre vers l'extérieur, il fait gros soleil de midi. L'autre femme s'assis sur le lit ou je m'y trouve déja. Je l'embrasse, et elle me dit qu'elle aimerais être sur le dessus. J'approuve et elle me fait l'amour d'une façon inimaginable. La femme qui était sortie frappe à la porte au moment de l'apothéose du plaisir charnel que j'éprouve. Nous prennons le temps de nous dégagé et de nous mettre sous les couverte espérant que si la femme entre, elle croira que nous dormons.
Je crois qu'à ce moment je me réveille, j'en suis incertain.
sans cesse
popwar
vendredi 6 février 2009
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merci, c'est moi ! c'est totalement moi.jme reconnais dans ton texte, j'aime.
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