C'est un de ces dimanches trop nombreux. Celui que tu deviens fatigué de rien faire. De vouloir dormir pour sauver du temps, ou en gagner, c'est selon. Tu fais ton ménage de chambre le matin, tu jettes des trucs et les gens croient que tu ne fais que bouger les choses, de mieux les organisées. C'est en partie vrai. Souvent, il suffit de bouger des objets pour qu'ils paraissent en ordre. L'ordre est un assez subjectif. Assez, c'est comme mais, ça détruit le restant de ta phrase. J'ai toujours pensé que, dès que tu mets un mais dans ta phrase, c'est tout ce qui vient après qui est vrai et non le début. C'est un façon de faussement concédé des choses à l'autre, de lui faire plaisir. Les dimanches sont là pour faire plaisir à notre âme trop souvent au travail. L'âme prend congé le dimanche. Je reviens de vacances en Gaspésie. C'est quétaine, mais c'est vraiment beau. Le rythme de vie véhiculé dans les médias, par les artistes, les têtes pensantes de la société urbaines est bel et bien vrai. Je ne croyais pas au rythme effréné de la ville. Et maintenant de la banlieue. Nous sommes, banlieusards par excellence, aussi stressés qu'eux. Bref, sans t'en rendre compte, ton corps ralenti et prend son aise dans ces grands terrains de verdures parsemés de maisons. Quand je suis revenu, j'étais déprimé de voir notre entassement de nos petit quartier bourgeois de la banlieue, où il fait bon vivre.
En 1 semaine je suis revenu au rythme rapide de la vie banlieusarde. iPod, cellulaire, facebook, télé, radio, voiture, ordinateur et flanage coupable.
P.S. Je me plug: www.flickr.com/photos/f_erazola/
merci de laisser des commentaires ici et là.
Je reviens aussi de Quebec, crissement moins paisible, juste un peu dépaisant, c'est comme un vieux Montréal, à la fois plus authentique, mais trop touristiqué (ouaisouais).
RépondreEffacerLes bonnes vielles constatations d'Éra, ça fait du bien. Je vies pas de Dimanche vu que je suis toujours en congé, assez pour me rendre compte que je perd mon temps, et que mon rythme de vie est tellement différent des autre, pourtant plus libre, que j'ai de la misère a le concorder, je manque trop d'opportunité de faire ce que j'aurais envie.
Je divague trop, anyway, toujours aussi enjoyable, et matière a reflextion.
Si seulement j'aime plus regarder que faire.